Les Maîtres du Monde
« jusqu'au dernier ukrainien » ? Les bandéristes ukropithèques sont indéniablement bien partis pour exaucer ce vœu si cher au cœur (aussi bien qu'au porte-monnaie...) de leurs sponsors, héritiers de la doctrine Truman, sinistre personnage qui, alors qu'il n'était encore que sénateur, avait recommandé en 1941 (au moment même où Washington faisait économiquement et diplomatiquement pression sur le Japon pour qu'il se joigne à la croisade militaire antibolchévique du Reich), de laisser l'Allemagne nazie et l'Union Soviétique s'entre-détruire mutuellement et de les y aider, comme étant la meilleure méthode pour favoriser les intérêts américains...
4 septembre 2022 : voilà deux jours que l'ancienne ministre française Ségolène Royal est critiquée de toutes parts pour avoir dénoncé sur BFM TV ce qu'elle présentait comme de la propagande de guerre ukrainienne dans le cadre du conflit militaire en cours. Dans un silence tranchant avec le grondement politico-médiatique qui la vise, l'ex-candidate à la présidentielle de 2007, se retrouve dans le même temps, et sans le savoir, fichée sur le site internet d'une ONG ukrainienne baptisée Myrotvorets center, à traduire en français par « centre pacificateur ».
« La dictature des États-Unis repose sur la force brute, c'est la loi du plus fort ». Poutine a imputé ce sabotage aux États-Unis qui « font pression » sur les pays européens pour qu'ils coupent complètement leur approvisionnement en gaz russe « afin de s'emparer (eux-mêmes) du marché européen ».
Pendant que vous restiez à la maison et croyiez protéger le NHS, votre gouvernement prenait délibérément des décisions qui allaient assurer la mort prématurée de milliers de personnes âgées et vulnérables dans des maisons de soins.
De même que Mikhaïl Gorbatchev avait vu dans la catastrophe de Tchernobyl la dislocation inévitable de l'URSS, de même nous pensons que le sabotage des gazoducs Nord Stream marque le début de la chute économique de l'Union européenne.
Le combat des États-Unis pour maintenir leur hégémonie mondiale a franchi sa troisième étape.
Alors que la police locale enquête toujours sur la cause du décès, les grands médias occidentaux affirment qu'elle a été battue à mort. La réaction ici en Irlande et au Royaume-Uni a été presque instantanée et universelle. Des rassemblements et des marches pour défendre le droit des femmes à choisir de porter ou non le hijab ont lieu dans les villes et les villages du Royaume-Uni et d'Irlande.
Entre le 14 et le 28 octobre 1962, le monde est au bord du gouffre. Un sentiment profond et extrême d'insécurité, découlant de la présence des moyens militaires de destruction massive de l'adversaire nucléaire à proximité de ses propres frontières, est à l'origine de cette crise.
L'Otan craint que la prochaine mission du Belgorod, long de 184 m pour 18 m de largeur et 9 de hauteur, soit de tester les surpuissantes torpilles Poseidon, également connues sous le nom de « torpilles de l'Apocalypse ». Ces dernières mesureraient 24 m de long, 2,5 m de diamètre pour un poids d'environ 100 tonnes.
Rouletabille continue son enquête
Nous avons dit dans ces colonnes que la responsabilité des États-Unis dans cette opération était plus que probable. Une foultitude d'éléments convergent pour donner à ce scénario une certaine solidité. À cela s'ajoute aujourd'hui nombre d'informations complémentaires qui sembleraient pointer le rôle de la secte « néoconservatrice » de Washington. Depuis la chute de l'Union soviétique ce courant, dont le clan Kagan est l'emblème, entend peser lourdement sur la politique internationale de l'État américain. Concernant toutes les violations du droit international commise par les USA depuis 1991, on retrouve la patte de ce groupe furieusement belliciste et dont certains représentants sont carrément des fanatiques illuminés. Le fameux tweet du parlementaire polonais ancien ministre de la Défense et des Affaires étrangères Radek Sikorski constitue une sacrée indication. Cette personne est très liée depuis longtemps au groupe néoconservateur et ses remerciements aux États-Unis pour le sabotage n'ont pas été exprimés par hasard ou à la suite d'un mouvement d'humeur. La situation actuelle du pouvoir aux États-Unis est quand même très particulière avec un président manifestement atteint de démence sénile et dont on apprend qu'en 2021, 50 % de son temps a été consacré à ses vacances et son repos... Les différents groupes et institutions de la haute administration américaine, parfois très divisés essaient de profiter de cette situation pour avancer leurs pions. Il semblerait qu'avec l'opération de la mer Baltique les « néocons » aient marqué un point.