Les Maîtres du MondeS


Star of David

Les sionistes assassinent trois Palestiniens, les négociations de paix en péril

Des gardes-frontières israéliens ont abattu lundi trois Palestiniens près de Jérusalem, entraînant l'annulation d'un round de discussions entre les deux parties.

Des soldats israéliens ont tué trois Palestiniens lundi durant des heurts dans le camp palestinien de Qalandiya, ont indiqué des sources médicales et de sécurité palestiniennes, entraînant l'annulation d'une réunion de négociateurs palestiniens et israéliens. "La rencontre qui devait se tenir à Jéricho aujourd'hui a été annulée après le crime commis par Israël dans le camp de Qalandiya" près de Jérusalem, a dit un responsable palestinien qui a requis l'anonymat. Selon la police israélienne, les heurts ont eu lieu après l'arrivée dans le camp d'une unité de gardes-frontières israéliens venue arrêter un Palestinien.

Trois Palestiniens, Robin Fares, 30 ans, Younès Jahjouh, 22 ans, et Jihad Aslan, 20 ans, ont été tués, selon les sources palestiniennes qui font état d'une vingtaine de personnes blessées par des balles réelles. Une porte-parole de la police israélienne a indiqué que les gardes-frontières avaient utilisé des "moyens anti-émeutes" pour disperser quelque 1 500 Palestiniens qui leur jetaient des pierres, mais elle n'a pas évoqué de morts dans l'immédiat, ni confirmé l'utilisation de balles réelles.

Bomb

Syrie : des terroristes en train de tirer des obus chimiques




Une vidéo tournée en Syrie montre de la façon la plus claire possible, des mercenaires islamistes, entrain de charger un canon, avec une bombonne de substances chimiques. On remarquera que les terroristes utilisent un système de mise à feu à distance censé les protéger des gaz qui s'échapperaient lors du départ de l'obus chimique.


Justement, on peut voir l'artificier actionner le dispositif de mise à feu puis s'éloigner en courant. Et même après le tir on ne voit aucun de ces criminels revenir rapidement vers le canon.

Pour rappel, en mai 2013, à la Radio-Télévision suisse-italienne (RSI), Carla Del Ponte, membre, on ne peut plus crédible de la commission d'enquête sur la Syrie dépendant du Conseil des droits de l'homme de l'ONU, a fait une déclaration fracassante qui n'était pas du goût des puissances occidentales qui interviennent directement en Syrie. "Nous disposons de témoignages sur l'utilisation d'armes chimiques en particulier le gaz sarin. Pas de la part du gouvernement, mais des opposants", a affirmé l'ex-procureure générale du Tribunal pénal international pour les crimes commis en ex-Yougoslavie (TPIY).

Pistol

Syrie : le convoi des inspecteurs de l'ONU touché par un tir de sniper

Les tireurs d'élite ont ouvert le feu sur un convoi de inspecteurs de l'ONU se dirigeant vers les sites des attaques d'armes chimiques suspectés dans la capitale de la Syrie.

L'ONU n'a pas dit qui a tiré les coups de feu, mais la première voiture du convoi a été touché et l'équipe est revenue à un point de contrôle.

Le gouvernement syrien et les rebelles avaient accepté un cessez-le feu afin de permettre aux inspecteurs de recueillir des preuves.

Les experts disent qu'ils vont continuer l'enquête sur les attentats de mercredi à Damas, où il y a eu des centaines de morts.

Bomb

Michel Collon sur la propagande de guerre contre la Syrie




Michel Collon interrogé au sujet de la propagande occidentale sur les conflits au Moyen-Orient, fomentés depuis des années par les Etats-Unis et les psychopathes qui les dirigent.


Cette vieille propagande qui essaye encore de maintenir la population occidentale dans son illusion de démocratie et d'interventions humanitaires du gentil occident auprès des gentils opprimés dans les pays où vivent des méchants musulmans barbus. Cette bonne vieille propagande qui tente encore de camoufler la répugnante kakistocratie contemporaine.

Vader

Sous le prétexte d'une attaque chimique, les Etats-Unis préparent une attaque militaire contre la Syrie

Un enfant syrien saute d’un char détruit, à Atareb, à 25 km à l’est d’Alep, le 31 juillet 2012
© Ahmad Gharabli/AFPUn enfant syrien saute d’un char détruit, à Atareb, à 25 km à l’est d’Alep, le 31 juillet 2012

Les responsables ont présenté une série d'options qui sont envisagées pour une attaque directe lancée par les forces militaires américaines et alliées contre la Syrie en utilisant comme prétexte l'attaque aux armes chimiques présumée de mercredi. L'accélération des préparatifs militaires montre clairement que les événements de mercredi font partie d'une provocation servant à justifier une nouvelle guerre coloniale de plus au Moyen-Orient.

La menace grandissante d'une intervention directe américaine dans la guerre pour un changement de régime menée contre le président syrien Bachar al-Assad a aussi été soulignée vendredi par le président Obama qui a profité d'une interview accordée à CNN pour indiquer qu'il cherchait à mobiliser le soutien international et une certaine forme de couverture juridique pour une attaque menée par les Etats-Unis.

Le journal New York Times a affiché vendredi à la Une un article selon lequel de hauts responsables du Pentagone, du ministère des Affaires étrangères et des agences de renseignement ont rencontré jeudi pendant trois heures et demie des responsables de la Maison Blanche pour ébaucher de possibles mesures militaires. L'article cite des responsables anonymes disant qu'aucune décision n'a été prise, en raison de divergences internes, quant au lancement ou non d'une action militaire américaine directe dans les prochains jours.

Eye 1

Meilleur du Web: La note confidentielle au cœur de la crise financière mondiale

Traduit de l'anglais pour Le Grand Soir

La note confidentielle au cœur de la crise financière mondiale
© Inconnu

Lorsqu'un petit oiseau a déposé la note confidentielle « Fin de Partie » (End Game memo) à ma fenêtre, son contenu était tellement explosif, tellement fou et maléfique que je n'arrivais pas à le croire.

La note confirme les délires conspirationnistes les plus fous : à la fin des années 90, de hauts responsables du Trésor US ont secrètement conspiré avec une petite cabale de gros banquiers pour détruire la régulation financière à travers la planète. Quand vous voyez 26,3 pour cent de chômage en Espagne, le désespoir et la faim en Grèce, les émeutes en Indonésie et Detroit en faillite, remontez à la note « Fin de Partie » qui est la genèse de tout ce sang et toutes ces larmes.

Le fonctionnaire du Trésor qui jouait secrètement à cette « Fin de Partie » des banquiers s'appelle Larry Summers. Aujourd'hui, Summers est le candidat favori de Barack Obama pour la présidence de la Réserve Fédérale américaine, la banque centrale du monde. Si la note confidentielle est authentique, alors Summers ne devrait pas siéger à la Réserve Fédérale mais moisir au fond d'un donjon réservé à tous ces aliénés criminels du monde de la finance.

La note est authentique.

Vader

Irak : La CIA a aidé Saddam Hussein à gazer les troupes iraniennes

La CIA a aidé Saddam Hussein à mener des attaques chimiques contre l'Iran en 1988. C'est ce qu'affirme Foreign Policy, documents déclassifiés et témoignages de hauts-gradés américains à l'appui.

Des rapports jusqu'à présent secrets, qui prouvent que, dès 1984, les renseignements américains savaient que leur allié officieux de l'époque, l'Irak de Saddam Hussein, en guerre contre l'Iran de 1980 à 1988, détenait un stock d'armes chimiques, composé de gaz moutarde et de sarin. Deux substances létales, dont l'usage est interdit par le protocole de Genève, ignoré par l'Irak, mais ratifié par les Etats-Unis dès 1975.

"Les Irakiens ne nous ont jamais dit qu'ils comptaient utiliser des gaz neurotoxiques. Ils n'en avaient pas besoin. Nous le savions déjà", a confié à Foreign Policy le colonel retraité Rick Francona, spécialiste du Moyen-Orient pour les renseignements américains.

CIA Confirms Iraq Used Nerve Agent


http://www.scribd.com/doc/163048832/CIA-Confirms-Iraq-Used-Nerve-Agent

Bad Guys

Nicolas Maduro, président du Vénézuela : « Les États-Unis veulent commencer une guerre mondiale »

Nicolas Maduro
© Inconnu

Le président vénézuélien Nicolas Maduro a accusé les Etats-Unis de leur intention de déclencher une troisième guerre mondiale, et s'est prononcé contre toute intervention de Washington en Syrie, selon le site d'information libanais elnechra.com.

« Il semble que les États-Unis veulent déclencher une grande guerre mondiale et veulent diviser la Syrie en quatre territoires », a déclaré Maduro.

« Nous sommes au bord d'une guerre ouverte contre la Syrie, mais nous n'allons pas abandonner le peuple syrien » a-t-il poursuivi.

Il a estimé que « les Etats-Unis semble vouloir mettre la pression contre la Syrie et le monde arabe ». Il a ajouté que « les médias dans le monde attaquent le gouvernement syrien, et nous sommes sur le seuil d'une guerre internationale contre la Syrie ».

Il a souligné que « la Syrie représente la base pour la stabilité du monde arabe, car elle lutte contre l'impérialisme américain et le colonialisme européen ».

Maduro a exprimé ses condoléances à la Syrie et au peuple syrien victime des « attentats terroristes chimiques », soulignant son rejet de l'utilisation des armes chimiques.

Control Panel

Armes chimiques en Syrie : l'hypothèse d'une troisième force

Au moment même où les experts en armes chimiques des Nations unies arrivaient en Syrie, le gouvernement s'est vu accusé par les « rebelles » d'un massacre de civils à l'arme chimique dans la banlieue de Damas. Les gouvernements qui cherchent depuis plus de deux ans à renverser le président Assad ont immédiatement repris à leur compte ces accusations.

Entretien avec Bahar KiMyongür par Sylvia Cattori

Il en va de même des médias traditionnels qui, dans leur ensemble, répercutent massivement ce point de vue en ne donnant que très rarement la parole à ceux qui élèvent des doutes sur la fiabilité des « preuves » avancées, ou posent la question de bon sens « À qui profite le crime ? ». Nous avons demandé à Bahar Kimyongür comment il percevait cette situation.

USA

Dangereuse montée aux extrêmes au Moyen-Orient

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En confiant depuis juin dernier la conduite de la guerre en Syrie à l'Arabie Saoudite - en remplacement du Qatar, viré pour incompétence - , le Bloc occidental a aussi opté pour la surenchère sanglante. Massacres dans les villages alaouites autour de Lattaquié ; vraie-fausse attaque chimique pour tenter de justifier l'intervention du Bloc au moment où ses mercenaires s'essoufflent : l'accélération est phénoménale.Mais elle déborde désormais sur le Liban voisin. Après l'attentat perpétré dans la banlieue chiite de Beyrouth il y a une semaine, une nouvelle attaque a frappé hier les sunnites à Tripoli, dans le nord du pays. La stratégie est cousue de fil blanc. Il s'agit de précipiter le Pays du Cèdre dans une nouvelle guerre confessionnelle pour «fixer» le Hezbollah, soutien de Damas.

La sanglante empreinte des Saoud en Syrie...

Le Bloc atlantiste semble avoir joué sa dernière carte en confiant la gestion de la guerre en Syrie à la Maison des Saoud. Matrice du terrorisme international islamiste, le Royaume sait qu'il n'a pas droit à l'erreur et a immédiatement donné le ton.

Dans les environs de Lattaquié, des villages entiers d'Alaouites ont récemment été massacrés dans un déferlement d'horreurs soigneusement ignorée par la presse-Système. L'idée est simple : susciter les désertions en faisant comprendre aux officiers de l'armée syrienne que tant qu'ils combattront sur le front, leurs familles seront décimées à l'arrière.