Les Maîtres du MondeS


Star of David

Israël ne signera aucun nouvel accord avec l'UE faisant référence à la circulaire sur les colonies

Traduit de l'anglais par JPB pour Campagne Civile Internationale pour la Protection du Peuple Palestinien (CCIPPP)

L’ex-ministre israélien de la défense Ehud Barak, psychopathe et criminel de guerre multirécidiviste, prend un immense plaisir à essayer ici une nouvelle arme issue de l’industrie mortifère. Rappelons que les industries européennes coopèrent depuis longte
© InconnuL’ex-ministre israélien de la défense Ehud Barak, psychopathe et criminel de guerre multirécidiviste, prend un immense plaisir à essayer ici une nouvelle arme issue de l’industrie mortifère. Rappelons que les industries européennes coopèrent depuis longtemps avec l’État sioniste dans le domaine de l’armement, parmi d’autres.

Israël refusera de signer de futurs accords excluant les financements de l'UE aux organismes israéliens liés à Jérusalem Est, à la Cisjordanie et au Golan syrien, et ne reconnaîtra pas l'absence de souveraineté au-delà des lignes de 1967.

Israël signifiera clairement à l'union européenne qui ne signera pas d'accord futurs restreignant l'aide, les subventions ou les investissements européens à des entités israéliennes sans lien indirect ou direct avec la Cisjordanie, Jérusalem Est ou les hauts du Golan. Israël n'acceptera pas non plus d'inclure dans les accords avec l'Union européenne une clause territoriale exigeant qu'il reconnaisse le fait que sa souveraineté ne va pas au-delà des lignes de 1967.

Les nouvelles directives de l'UE concernant les colonies ont été pour la première fois rapportées par Haaretz le 15 juillet. Les nouvelles directives ont ensuite été publiées par écrit le 18 juillet et prendront effet au 1er janvier 2014. D'après les directives, toute subvention ou investissement financier, attribution de salaire, de bourse ou de prix par des agences ou fondations européennes à des groupes israéliens liés directement ou indirectement aux colonies sera prohibée. Les directives déterminent aussi que dans tout accord entre Israël et l'Union européenne doit figurer une clause indiquant que les colonies de Cisjordanie, de Jérusalem Est et des Hauts du Golan ne font pas partie de l'État d'Israël.

La décision israélienne est arrivée en conclusion d'une discussion très fournie convoquée par le premier ministre Benyamin Netanyahou jeudi matin à son bureau du QG de la défense de Kirya à Tel-Aviv. La discussion a été convoquée en vue des négociations qui doivent débuter le mercredi 14 août avec des représentants de l'UE sur l'accord de coopération scientifique Horizon 2020. Dans le cadre de l'accord, l'UE devait investir plus de 600 millions d'euros dans des compagnies israéliennes high-tech dans les années à venir. Aux discussions ont participé les ministres des finances Yair Lapid (Yesh Atid), de l'éducation Shay Piron (Yesh Atid), de la science Yaakov Perry (Yesh Atid), de la justice Tzipi Livni (Hatnuah), de l'économie Naftali Bennett (Habayit Hayehudi), de l'agriculture Yair Shamir (Likoud) et le vice-ministre des affaires étrangères Ze'ev Elkin (Likoud).

Snakes in Suits

Alstom accusé de corruption au Brésil

Une usine Alstom au Brésil en mars 2012.
© Yasuyoshi Chiba. AFPUne usine Alstom au Brésil en mars 2012.

Un quotidien de Sao Paulo rapporte que le groupe français est visé par la justice pour des pots-de-vin présumés lors de l'attribution du contrat sur le développement du métro de la ville

Le groupe industriel français Alstom est accusé d'avoir versé des pots-de-vin pour décrocher des contrats dans l'Etat de Sao Paulo, a rapporté jeudi le quotidien brésilien O Estado de Sao Paulo. Citant des documents de la police régionale, le journal indique que dix personnes sont impliquées dans cette affaire de corruption, dont deux ex-ministres de cet Etat du sud-est du Brésil, deux dirigeants de l'entreprise énergétique publique EPTE et des responsables d'Alstom.

L'entreprise française s'est refusé à tout commentaire mais a affirmé, dans un communiqué adressé à l'AFP, qu'elle « suivait un strict code éthique ». En 2008, des procureurs fédéraux brésiliens et les autorités fiscales françaises et suisses avaient enquêté sur de supposés pots-de-vin versés par Alstom entre 1995 et 2003 afin de remporter les contrats pour équiper le métro.

Snakes in Suits

Sanofi accusé de corruption en Chine

Le groupe pharmaceutique français aurait versé des pots-de-vin à des docteurs chinois pour doper ses ventes.

Sanofi, Chine
© Reuters
Le groupe pharmaceutique français dit prendre l'affaire "très au sérieux". La presse chinoise accuse Sanofi d'avoir versé des pots-de-vin à des médecins chinois pour augmenter les ventes des produits issus de ses laboratoires. Au total, plus 200.000 euros auraient été versés à ces praticiens, dont l'image auprès des Chinois est déjà écornée.

Près de 10 euros la prescription

Les faits évoqués par le quotidien 21st Century Business Herald remonteraient à 2007. Un témoin anonyme a raconté au journal chinois que des représentants locaux de Sanofi avaient versé 80 yuans, soit 9,70 euros, à chaque médecin de Pékin, Shanghai, Canton et Hangzhou prescrivant à ses patients un médicament du laboratoire. Environ 500 médecins et 79 hôpitaux seraient concernés par ces pots-de-vin appelés "frais à titre de recherche".

Des médecins payés 200 euros

Ces pots-de-vin s'élèveraient au total à 1,69 million de yuans, soit 207.000 euros. Un docteur aurait par exemple empoché 11.200 yuans, soit 1.360 euros, grâce à ce système. Une somme loin d'être négligeable dans un pays où un médecin gagne en moyenne 200 euros par mois. Par ailleurs, une quarantaine d'autres docteurs de la région de Pékin auraient reçu en tout plus de 20.000 yuans (2.440 euros) "sous forme de versements en liquide, de cadeaux et dépenses diverses", sur plusieurs mois en 2007. D'après le 21st Century Business Herald, ces sommes ne constitueraient cependant que le "sommet de l'iceberg".

Airplane

Les Etats-Unis lancent une nouvelle attaque de drones au Yémen

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Mercredi et jeudi matin, les Etats-Unis ont lancé au Yémen leur cinquième et sixième frappe de drone en l'espace de deux semaines, tuant sept militants présumés d'al Qaïda lors de la première attaque et au moins trois autres lors de la seconde. L'attaque de mercredi a ciblé les membres d'une tribu de bédouins de la province de Shabwa. Celle de jeudi a touché une voiture transportant de présumés membres d'al Qaïda dans la région d'Erq al Shabwan dans la vallée Abeidah au Marib.

Mardi, cinq missiles tirés par un drone américain ont touché un véhicule qui circulait dans la province de Marib, tuant jusqu'à six personnes.
Les Etats-Unis ont mené les attaques de drone dans un intervalle très rapproché sur ordre du gouvernement Obama, mettant fin à une interruption de sept semaines des frappes contre le Yémen. Il devient de plus en plus évident que l'alerte terroriste mondiale annoncée vendredi dernier est liée tout autant à des objectifs étrangers que domestiques.

Sur le plan intérieur, la menace terroriste est avancée pour justifier les programmes de surveillance d'Etat policier divulgués par le lanceur d'alerte Edward Snowden. Le gouvernement Obama comme les députés démocrates et républicains affirment que les opérations massives d'espionnage visent exclusivement des personnes soupçonnées de terrorisme et qu'elles sont essentielles à la « guerre contre le terrorisme. » L'évocation permanente d'une attaque imminente, vague et totalement sans fondement, sert à créer un climat de peur de façon à intimider et à dissiper le soutien populaire pour Snowden et l'opposition populaire contre les programmes de surveillance de type Big Brother.
Entre-temps, de nouvelles révélations concernant des programmes d'espionnage et basées sur des documents divulgués par Snowden exposent l'ampleur générale des opérations et montrent que les déclarations officielles sur leur caractère soi-disant juridique et étroitement ciblé sont des mensonges.

Crusader

Syrie : l'échec saoudien en Russie dévoile le vrai visage des monarchies du golfe

C'est la bérézina, un coup de massue asséné avec une violence inouïe sur la tête de l'envoyé spécial du roi de l'Arabie saoudite en la personne de Bandar ben Sultan. En effet, l'homme fort de Russie, le président Vladimir Poutine a rejeté une proposition saoudienne de lâcher Bachar al-Assad en échange d'un énorme contrat d'armement d'une valeur de 15 milliards de dollars et d'une plus grande influence dans le monde arabe. Rien que ça.

Le prince saoudien Bandar bin Sultan
© InconnuLe prince saoudien Bandar bin Sultan
C'est bien la preuve que ces gens sont sans foi ni loi, des goujats qui ne respectent rien. c'est aussi un échec américain car, la main de Washington n'est jamais loin quand il faut pratiquer le faux quelque part, entre le mensonge et l'intimidation. Derrière le wahhabisme saoudien qui veut montrer un visage de rigorisme religieux, se cache en réalité du satanisme. Il faut lâcher le dernier état arabe où l'œcuménisme est encore respecté. Pour eux, le monde arabe n'appartient pas aux autres terriens, mais uniquement à cette religion galvaudée par leurs bons soins.

Pourquoi depuis des décennies, alors que ces Saoudiens sont assis sur des puits de pétroles, n'ont jamais fait pareille proposition à Israël pour que les Palestiniens aient, enfin, un état fiable et viable ? Parce que, là, on aurait compris que ces gens veulent le bien des arabes, comme ils prétendent le faire en Syrie. Et puis, comment un état totalitaire, où la femme est mise en esclavage et des petites filles en danger de mort parce qu'elles peuvent être violées tandis que leur violeur s'en sort toujours peut-il vouloir donner des leçons à un pays millénaire comme la Syrie ? C'est vraiment le monde à l'envers que de croire à une fable aussi minable...

Eye 1

Yemen : la menace terroriste est une pure fabrication selon le diplomate français Gilles Gauthier

Au sujet de la menace terroriste présentée par les États-Unis comme imminente au Yémen et des fermetures d'ambassades occidentales, M. Gilles Gauthier (*), ancien ambassadeur de France au Yémen, a déclaré sur les ondes de France Culture, que les dirigeants européens se sont couverts de ridicule.

Au journaliste [1] qui demandait si les éléments qui ont permis aux États-Unis de faire état d'une menace imminente au Yémen étaient crédibles et si la fermeture des ambassades et l'évacuation des ressortissants américains ne servaient pas à justifier les écoutes généralisées dénoncées par Edward Snowden M. Gilles Gauthier a répondu :
Gilles Gauthier
© Inconnu

« Je voulais d'abord vous dire que j'ai beaucoup aimé votre présentation [2] parce que depuis quelques jours je suis ahuri par la présentation des évènements [...] touchant le Yémen par la presse, par tous les médias.

Effectivement on a un évènement totalement fabriqué ; une communication américaine qui devient un évènement [...] et à ce moment là tout le monde commence à s'affoler [...]. Je crois qu'il y a un emballement ; c'est-à-dire que nos chancelleries à nous, nos dirigeants européens, sont pris dans le mouvement, ne savent plus trop ce qu'ils font et ils suivent et ils ferment eux aussi les ambassades [...]. C'est un peu dérisoire tout ça...Je suis très content que votre radio, votre émission remette un peu les choses d'aplomb... ».

[...]

« J'étais ambassadeur au Yémen jusqu'à il y a 3 ans ; et j'y suis retourné au mois de janvier [...] Il y avait eu un moment où le mouvement d'Al-Qaïda avait entièrement contrôlé une assez importante région proche d'Aden. Depuis, le président yéménite a réussi très intelligemment à la récupérer entièrement. On n'en a pas beaucoup parlé ; c'était un évènement positif. [...] Les Américains avec leurs drones ne sont pas capables de faire ça. Cela a été fait en coopération avec le président et les tribus du sud. Du coup les gens d'Al-Qaïda se sont trouvés dispersés [...] Donc effectivement il y a un danger de ce type ... pour les Américains, mais ils sont en danger aussi à cause de leur politique... »

À la question de savoir si la méthode des États-Unis - l'usage des drones pour combattre le terrorisme - n'est pas contreproductive et si on ne créé pas du terrorisme avec les drones, Obama étant sur la même ligne que George Bush junior, Gilles Gauthier a répondu :

« Bien sûr, la politique des drones est une façon de fabriquer les terroristes [...] Oui c'est dommage, c'est regrettable. Il (Obama) est totalement sur la même ligne ; il l'a même accentuée [...] ; les États-Unis, un pays qui a des valeurs démocratiques, sont totalement en dehors de tout droit international ; l'usage des drones en dehors des situations de guerre [...] les opérations de guerre sur un territoire étranger, sont une monstruosité. [...] Le Yémen n'est pas les État-Unis ; ils n'ont aucun accord militaire officiel qui les autorise à faire cela ; ils sont dans un cadre tout à fait illégitime qui peut être qualifié d'opération terroriste [...] ce sont des opérations qui n'entrent dans le cadre d'aucune légitimité internationale. »
Notes

(*) Après plusieurs postes au Liban, en Tunisie, en Algérie, au Bahreïn et en Egypte, Gilles Gauthier devient ambassadeur de France au Yémen en octobre 2006.
[1] Lors de l'émission « Les Matins d'été » de France Culture, du 8 août.
[2] Nous avions nous aussi été agréablement surpris par l'honnêteté rare de la part du journaliste

MIB

OTAN - La guerre secrète en Allemagne

Si l'existence du Gladio allemand avant l'adhésion de la RFA à l'Otan est parfaitement documentée grâce au travail du Premier ministre de Hesse de l'époque, August Zinn, son action après 1955 a fait l'objet de vastes mensonges d'État. Malgré la découverte, ici ou là, de caches d'armes, jamais la police fédérale ne mena d'enquête sérieuse et toujours le gouvernement fédéral protégea son secret.

Klaus Barbie
Klaus Barbie (1913-1991). Après avoir joué un rôle important dans l’assaut du ghetto d’Amsterdam, il devient chef de la Gestapo à Lyon où il lutte contre la Résistance et parvient à arrêter et torturer Jean Moulin. Après la guerre, il est recherché par les Nations Unies, mais est secrètement enrôlé par la CIA pour créer le Gladio allemand. Mis en cause en Allemagne, il est transféré en Bolivie, en 1951. Il devient rapidement le chef des services de renseignement boliviens et l’homme fort du pays, où il arrête et exécute Che Guevara. Cependant, après un changement de régime, il est expulsé à son insu vers la France où il est jugé et condamné à la prison à perpétuité. Il meurt en prison d’un cancer.

Le 27 février 1933, vers 21 h, un incendie commença à ravager le Reichstag, le Parlement allemand, à Berlin. Bien que les pompiers soient parvenus à sauver une partie du bâtiment, le Parlement et la démocratie allemande succombèrent à cet attentat pernicieux. Adolf Hitler du parti national-socialiste (Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei, NSDAP, communément abrégé en « nazi »), nommé au poste de chancelier à peine un mois plus tôt, incrimina immédiatement le parti communiste allemand (Kommunistische Partei Deutschlands, KPD). Le lendemain matin, avec le ministre de l'Intérieur Wilhelm Frick et le ministre en charge des Forces de police Hermann Göring, tous deux du NSDAP, le chancelier Hitler ordonna sans attendre l'arrestation de quelque 4 000 opposants politiques et journalistes critiques à l'égard du régime, dont beaucoup étaient membres du KPD ou du SPD, le parti social-démocrate.

Un mois après le mystérieux incendie, la mise au ban des communistes et l'arrestation d'un grand nombre de socialistes, le Parlement allemand adopta à la majorité, et en dépit des protestations des quelques rares socialistes restants, une nouvelle loi cruciale (Gesetz zur Behebung der Not von Volk und Reich) qui abolissait de fait le Parlement et transférait l'intégralité des pouvoirs à l'exécutif dirigé par Hitler. Le même mois, les premiers camps de concentration furent aménagés en Allemagne et, dès avril 1933, ils reçurent plus de 25 000 opposants politiques arrêtés par les forces spéciales de Hitler, les Schutzstaffel ou SS, et la police secrète du régime, la Gestapo.

Star of David

Négociations israélo-palestiniennes : des discussions inutiles, mais aussi lourdes de danger

Traduction : Info-Palestine.eu - Claude Zurbach

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Violente répression d’une manifestation pacifique contre l’extension du mur d’apartheid à Bi’lin, en août 2005. Cette photo est plus conforme à la façon dont l’occupant israélien conçoit le “dialogue” avec les Palestiniens – Photo : Mahmoud Burnat
Cela n'égale sans doute pas l'attente fiévreuse déclenchée par cette fameuse poignée de main entre les dirigeants israéliens et palestiniens sur la pelouse de la Maison Blanche en 1993, mais le sentiment d'espoir inspiré par la reprise tant souhaitée de pourparlers de paix, est à la fois tangible et profondément déplacé.

Les pourparlers dont il a été convenu qu'ils commenceraient pour de bon dans la région à la mi-août, ont lieu non pas parce que le Premier ministre d'Israël, Benjamin Netanyahu, ou l'ex-président palestinien, Mahmoud Abbas, estiment qu'un accord est à portée de main. Les deux parties acceptent de discuter juste pour éviter d'être critiquées pour avoir mis dans l'embarras John Kerry, le secrétaire d'État américain.

L'ambiance factice d'un « changement qui est dans l'air » a été illustrée la semaine dernière par un sondage révélateur montrant que 55% des Israéliens voteraient pour un accord si on lui en soumettait un, avec 25% qui y seraient opposés. Ce qui est totalement négligé, c'est le fait que beaucoup plus d'Israéliens - 70%- croient qu'un accord ne peut être atteint, tandis que 60% disent que la raison en est que Netanyahu n'acceptera jamais de céder une portion de territoire.

Star of David

Israël : les solutions finales

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Les "pourparlers de paix" israélo palestiniens sont un écran de fumée servant à cacher l'intensification de la guerre régionale menée par des proxis takfiristes al Qaeda & C°pour le compte de l'entité coloniale juive sioniste et son complice l'Empire américain corrompu et sur le déclin. Un film de l'Israélien Yotam Feldman intitulé " Le Lab" révèle comment la guerre en Israël est devenu une source permanente de profits avec la complicité active des concepteurs et vendeurs d'armes mais aussi des universitaires juifs sionistes comme ce professeur au département des sciences sociales de l'Université de Tel Aviv, Isaac Ben Israel,* travaillant sur des "solutions finales " : des modèles mathématiques pour prédire le taux de succés des assassinats extrajudiciaires ou le nombre d'individus à tuer pour faire s'effondrer toute une organisation ou tout un système politique.

Le nouveau film de l'Israélien Yotam Feldman "The Lab" ( Le Lab) présente les hommes qui font des territoires palestiniens occupés le plus grand et plus moderne des laboratoires de tests d'armement : les concepteurs et vendeurs d'armes les experts militaires les dirigeants de l'industrie de l'armement mais aussi des universitaires et intellectuels juifs sionistes qui non seulement cautionnent les guerres le bizness de l'armement et ses immenses profits mais participent activement à la recherche de "solutions finales" pour détruire ceux qui sont considérés comme ennemis de l'entité coloniale juive sioniste.

"Le Lab" réaffirme ce que Naomi Klein avait déjà affirmé dans son livre "The Shock Doctrine" : la principale raison de la prospérité économique d'Israël à une époque d'instabilité politique et de crise économique mondiale n'est pas dans le capital intellectuel et les prouesses dans le secteur des hight techs des Juifs sionistes mais bien plutôt des immenses profits tirés des conflits régionaux. On peut y ajouter les profits tirés des mini conflits à l'échelle mondiale grâce aux exportations d'armes et de savoir faire en matière de répression militaire policiaire ect.... qui se perpétuent à l'instigation du régime juif sioniste et de ses alliés chez les élites corrompues.

USA

Washington pense que vous êtes stupides

Traduction : Avic

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Il y a un vieux dicton qui dit que si le gouvernement craint le peuple, il y a la liberté, mais si le peuple craint le gouvernement, il y a tyrannie. Les criminels à Washington, non seulement ne nous craignent pas, ils ne nous respectent pas. Washington voit les Américains comme un troupeau de moutons stupides.


Washington estime qu'il peut dire n'importe quoi à la population et les gens vont le croire. Par exemple, la ligne officielle est que la récession, qui a commencé en Décembre 2007, s'est terminée en Juin 2009. Beaucoup d'Américains le croient alors même qu''ils n'ont pas personnellement vécu la reprise économique. En effet, ils s'enfoncent davantage dans la pauvreté et côtoient la misère.

Et n'oubliez pas ces armes de destruction massive qui n'existent pas et que Saddam Hussein a été accusé par Washington de posséder. Ou le faux événement du golfe du Tonkin lorsque Washington a affirmé que son navire avait été attaqué par le Nord-Vietnam. Oui, la liste des mensonges officiels est très longue. Toute personne qui croit tout ce que Washington dit est trop naïve pour qu'on la laisse sortir de chez elle toute seule. Mais les Américains croient aux mensonges, parce qu'ils pensent que le patriotisme l'exige.

S'appuyant sur la crédulité éprouvée de la majeure partie de la population américaine, Washington prétend avoir découvert un complot d'Al-Qaïda pour attaquer les ambassades américaines en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Pour déjouer le complot, Washington a fermé 19 ambassades pour le week-end passé et pour cette semaine aussi.