Les Maîtres du Monde
Depuis mars 2008, la Fed a racheté pour 1 250 milliards de dollars de MBS (ces fameux actifs titrisés adossés sur des crédits hypothécaires) dépourvus de valeur, mais en les payant à leur valeur nominale. [*] Mais le capital de la Fed n'est que de 50 milliards de dollars, ce qui représente donc un effet de levier de 23 pour 1 (1250/50 = 23) rien que pour les MBS, et 40 pour 1 si l'on compte l'ensemble de ses actifs. C'est-à-dire qu'elle est dans un état pire que les banques de Wall Street au moment de la crise. Comme l'a expliqué le Wall Street Journal lui-même, une simple perte de 10 % sur ses MBS suffirait à anéantir le capital et les profits de la Fed.
Omar Souleiman n'est pas un homme apprécié du peuple comme le prétendent certains journalistes aux ordres.
Étroitement lié aux services secrets israéliens pour combattre l'opposition politique égyptienne et pourchasser notamment les Frères musulmans ainsi que les Palestiniens soupçonnés de sympathie avec le Hamas, Souleiman est l'homme des basses œuvres.
La nomination d'Omar Souleiman, si elle satisfait pleinement Tel Aviv, ne paraît pas de nature à apaiser la colère des Égyptiens. Elle doit particulièrement offenser ceux que ses services ont inscrit abusivement sur la « liste terroriste ».
Encore une coïncidence troublante autour du 11-Septembre : parmi les 5 niveaux d'alerte possibles (Normal, Alpha, Bravo, Charlie et Delta) du système informatique de la Défense US, c'est celui le plus bas (Normal) qui a été positionné à peine 24 heures avant les attentats du 11/9. Pour quelles raisons ? Pourquoi juste la veille ? Autant de questions détaillées dans cet article de Shoestring paru sur le site 911Blogger.
Un projet de Loi pourrait donner au président Barack Obama le pouvoir de couper l'Internet dans le cas d'une cyberattaque, une proposition des sénateurs démocrate Joseph Lieberman et républicaine Susan Collins.
Concrètement, le président américain pourrait intervenir pour éteindre les systèmes informatiques privés en cas d'urgence, -en matière de cybersécurité et de sécurité nationale-, et les entreprises seraient tenues de partager leurs informations, rapportent les médias américains.
Dans ce message, les responsables israéliens soulignent qu'il est de "l'intérêt de l'occident" et de "l'ensemble du Moyen Orient de maintenir la stabilité du régime en Egypte", a ajouté journal.
"Il faut en conséquence freiner les critiques publiques à l'encontre du président Hosni Moubarak", a souligné ce message envoyé à la fin de la semaine, selon le journal.
Le régime Moubarak en voie d'effondrement devant un mouvement de contestation nationale... Quel avenir pour l'Egypte et le monde arabe ?
"Les dictateurs ne dictent pas, ils obéissent aux ordres". Ceci est vrai en Egypte, en Tunisie et en Algérie. Les dictateurs sont de maniere invariable des marionnettes politiques. Ils ne décident pas. Le président Hosni Moubarak fut un serviteur fidèle des intérêts économiques occidentaux, tout comme le fut Ben Ali. Le gouvernement national est l'objectif du mouvement de protestation. L'objectif est de se débarrasser de la marionnette plutôt que du marionnettiste. Le slogan en Egypte est "A bas Moubarak, a bas le régime". Aucun posters anti-américains n'ont été notés. Le phagocytage et l'influence destructrice des Etas-Unis en Egypte et a travers le Moyen-Orient est sans précédent. Les puissances étrangères qui operent derrière la scène sont protégées du mouvement de protestation.
Aucun changement politique d'importance ne se fera sans que le problème de l'interférence étrangère ne soit adressée de maniéré conséquente par le mouvement de protestation.
En février 2002, le Renseignement britannique signala que le Mossad israélien dirigeait les cellules de pirates de l'air arabes qui furent ensuite accusées par la Commission sur le 11/9 de l'exécution des attentats aériens du World Trade Center et du Pentagone. Nous avons reçu les détails de ce rapport du Renseignement britanniques, qui avait été étouffé par le régime de l'ancien premier ministre britannique Tony Blair.
Dans les mois précédant le 11/9, une unité du Mossad composée de six Juifs natifs d'Égypte et du Yémen a infiltré les cellules d'Al-Qaïda de Hambourg (la cellule Atta-Mamoun Darkanzali), de Floride du Sud, et de Sharjah dans les Émirats arabes unis. Non seulement le Mossad a infiltré les cellules, mais il a commencé à les organiser et à leur donner les ordres spécifiques qui aboutirait finalement le 11/9 à leur présence à bord des quatre vols réguliers en provenance de Boston, Washington Dulles, et Newark dans le New Jersey.
Formée de six Israéliens, l'équipe d'infiltration du Mossad comptait deux cellules de trois agents. Pour leur futur contrôle et manipulation de cellule Al-Qaïda, tous avaient reçu une formation spéciale dans une de leurs bases du désert du Néguev. Une cellule du Mossad s'est rendue à Amsterdam où elle s'est mise sous le contrôle opérationnel du poste du Mossad Europe, opérant à partir du complexe d'El Al à l'aéroport international de Schiphol. Se rendant ensuite à Hambourg, cette unité de trois hommes du Mossad a pris contact avec Mohammed Atta, qui a cru qu'elle était envoyée par Oussama Ben Laden. Elle était envoyée en réalité par le chef du Mossad, Ephraim Halevy,.
Craig J. Spence, membre du parti républicain, a reconnu qu'il faisait venir des garçons à la Maison Blanche, sous le prétexte que ceux-ci étaient des membres de sa famille. Il a déclaré que ces rencontres de minuit de la Maison Blanche étaient « arrangées » par des personnes politiques de hautes fonctions comme Donald Gregg, secrétaire pour la Sécurité Nationale ou Charles K. Dutcher, directeur associé du personnel de la Maison Blanche.