Bienvenue à Sott.net
ven., 29 sept. 2023
Le Monde pour les Gens qui Pensent

Les Maîtres du Monde
Carte

Dollar

La Fed est aussi en faillite !

Bon, on le savait déjà, mais là c'est plus qu'officiel pour qui veut bien le voir : alors que la Réserve fédérale américaine imprime 600 milliards de dollars (cf. QEII) et alimente la spéculation hyperinflationniste sur les matières premières, elle vient de procéder à une légère « modification comptable » pour transférer ses actifs toxiques sur le compte du Trésor américain !

Depuis mars 2008, la Fed a racheté pour 1 250 milliards de dollars de MBS (ces fameux actifs titrisés adossés sur des crédits hypothécaires) dépourvus de valeur, mais en les payant à leur valeur nominale. [*] Mais le capital de la Fed n'est que de 50 milliards de dollars, ce qui représente donc un effet de levier de 23 pour 1 (1250/50 = 23) rien que pour les MBS, et 40 pour 1 si l'on compte l'ensemble de ses actifs. C'est-à-dire qu'elle est dans un état pire que les banques de Wall Street au moment de la crise. Comme l'a expliqué le Wall Street Journal lui-même, une simple perte de 10 % sur ses MBS suffirait à anéantir le capital et les profits de la Fed.

Bad Guys

Manœuvres américaines contre la révolution égyptienne

Image
© Inconnu
La place Tahir, lieu emblématique du Caire
Comme c'était prévisible, eu égard à l'importance stratégique du pays dans l'architecture géopolitique régionale, la révolution démocratique en Égypte allait devoir faire face à des manœuvres américaines sans précédent. La désignation du patron des services de renseignement, le général Omar Souleiman, au poste de vice-président, vise d'ores et déjà, à parer à un vide constitutionnel après un probable départ de Moubarak et à barrer la route à la révolution démocratique en marche. Cette grossière manœuvre américaine a été rejetée par le peuple égyptien qui a défié pour la seconde nuit consécutive le couvre-feu et continue d'exiger la chute du régime.

Vader

La nomination d'Omar Souleiman par Moubarak : une dangereuse provocation

Image
© AP
Omar Souleiman avec Tzipi Livni
Omar Souleiman, nommé au poste de vice-président par Hosni Moubarak, est un cadeau empoisonné pour le peuple égyptien. Patron des services de renseignements il a sur les mains le sang de nombreux Egyptiens morts sous la torture après avoir été arrêtés arbitrairement pour des raisons politiques par ses agents.

Omar Souleiman n'est pas un homme apprécié du peuple comme le prétendent certains journalistes aux ordres.

Étroitement lié aux services secrets israéliens pour combattre l'opposition politique égyptienne et pourchasser notamment les Frères musulmans ainsi que les Palestiniens soupçonnés de sympathie avec le Hamas, Souleiman est l'homme des basses œuvres.

La nomination d'Omar Souleiman, si elle satisfait pleinement Tel Aviv, ne paraît pas de nature à apaiser la colère des Égyptiens. Elle doit particulièrement offenser ceux que ses services ont inscrit abusivement sur la « liste terroriste ».

Evil Rays

L'armée américaine a abaissé son niveau d'alerte de sécurité informatique le soir précédant le 11-Septembre

Introduction : ReOpen911
Image

Existe-t-il un lien entre l’abaissement du niveau d’alerte informatique
du Département de la Défense US et les attentats du 11-Septembre ?
Encore une coïncidence troublante autour du 11-Septembre : parmi les 5 niveaux d'alerte possibles (Normal, Alpha, Bravo, Charlie et Delta) du système informatique de la Défense US, c'est celui le plus bas (Normal) qui a été positionné à peine 24 heures avant les attentats du 11/9. Pour quelles raisons ? Pourquoi juste la veille ? Autant de questions détaillées dans cet article de Shoestring paru sur le site 911Blogger.

Display

Obama pourrait user de la loi pour désactiver l'Internet

Alors que le gouvernement égyptien plonge dans le noir le pays, depuis la semaine dernière, en désactivant la quasi-totalité de l'accès à Internet dans l'espoir d'arrêter la propagation des protestations contre le président Moubarak, aux États-Unis, un projet de Loi controversé qui va dans ce même sens, fait actuellement polémique.

Un projet de Loi pourrait donner au président Barack Obama le pouvoir de couper l'Internet dans le cas d'une cyberattaque, une proposition des sénateurs démocrate Joseph Lieberman et républicaine Susan Collins.

Concrètement, le président américain pourrait intervenir pour éteindre les systèmes informatiques privés en cas d'urgence, -en matière de cybersécurité et de sécurité nationale-, et les entreprises seraient tenues de partager leurs informations, rapportent les médias américains.

Gear

Laurent Gbagbo, le piège pour Obama en Côte d'Ivoire

Image
Les résultats provisoires de la CEI pour le deuxième tour de l'élection présidentielle n'ont jamais existé. Les résultats proclamant la victoire de Ouattara sont non seulement illégaux, mais aussi une pure invention de Youssouf Bakayoko et ses trois commanditaires. La « certification » fut utilisée pour enflammer la crise. Choi a aidé les fraudes au Nord. Les violences commises au Nord par les rebelles armés sont une preuve évidente que Choi Young-jil n'a jamais désarmé les forces rebelles avant l'élection. Les « forces impartiales » de l'ONUCI et de Licorne ont failli à leur mission de désarmement des FN avant l'élection. La décision d'annulation des résultats, prise par le Conseil Constitutionnel sur ces zones du Nord que les rebelles FN ont terrorisées le jour de l'élection, est la meilleure qui pouvait être prise. En divisant le pays en deux et en imposant autant les FN que Alassane Ouattara comme acteurs politiques, la France a été capable d'imposer sa domination sur la Côte d'Ivoire. L'élection du 28 novembre 2010 fut la meilleure opportunité préparée par Nicolas Sarkozy pour couronner Alassane Ouattara comme président. Sarkozy, comme son prédécesseur Jacques Chirac, sait manipuler le « machin » en usant de sa position de membre du Conseil de Sécurité. Avec des responsables américains comme complices, il était capable de manipuler Obama...

Star of David

« Israël » presse Washington et l'Europe de soutenir Moubarak

Image
« Israël » a fait parvenir un message secret aux Etats-Unis et à des pays européens leur demandant de soutenir la stabilité du régime égyptien d'Hosni Moubarak en butte à une vague de contestation, c'est ce qu'a rapporté, lundi, le quotidien Haaretz.
Dans ce message, les responsables israéliens soulignent qu'il est de "l'intérêt de l'occident" et de "l'ensemble du Moyen Orient de maintenir la stabilité du régime en Egypte", a ajouté journal.
"Il faut en conséquence freiner les critiques publiques à l'encontre du président Hosni Moubarak", a souligné ce message envoyé à la fin de la semaine, selon le journal.

USA

Le mouvement de protestation en Egypte: les dictateurs ne dictent pas, ils obéissent aux ordres

Traduit par Résistance 71

Image
Le régime Moubarak en voie d'effondrement devant un mouvement de contestation nationale... Quel avenir pour l'Egypte et le monde arabe ?

"Les dictateurs ne dictent pas, ils obéissent aux ordres". Ceci est vrai en Egypte, en Tunisie et en Algérie. Les dictateurs sont de maniere invariable des marionnettes politiques. Ils ne décident pas. Le président Hosni Moubarak fut un serviteur fidèle des intérêts économiques occidentaux, tout comme le fut Ben Ali. Le gouvernement national est l'objectif du mouvement de protestation. L'objectif est de se débarrasser de la marionnette plutôt que du marionnettiste. Le slogan en Egypte est "A bas Moubarak, a bas le régime". Aucun posters anti-américains n'ont été notés. Le phagocytage et l'influence destructrice des Etas-Unis en Egypte et a travers le Moyen-Orient est sans précédent. Les puissances étrangères qui operent derrière la scène sont protégées du mouvement de protestation.

Aucun changement politique d'importance ne se fera sans que le problème de l'interférence étrangère ne soit adressée de maniéré conséquente par le mouvement de protestation.

Cult

11 septembre 2001 - Le Mossad dirigeait les « pirates de l'air » de l'opération terroriste

Traduction copyleft de Pétrus Lombard pour Alter Info

Image
En février 2002, le Renseignement britannique signala que le Mossad israélien dirigeait les cellules de pirates de l'air arabes qui furent ensuite accusées par la Commission sur le 11/9 de l'exécution des attentats aériens du World Trade Center et du Pentagone. Nous avons reçu les détails de ce rapport du Renseignement britanniques, qui avait été étouffé par le régime de l'ancien premier ministre britannique Tony Blair.

Dans les mois précédant le 11/9, une unité du Mossad composée de six Juifs natifs d'Égypte et du Yémen a infiltré les cellules d'Al-Qaïda de Hambourg (la cellule Atta-Mamoun Darkanzali), de Floride du Sud, et de Sharjah dans les Émirats arabes unis. Non seulement le Mossad a infiltré les cellules, mais il a commencé à les organiser et à leur donner les ordres spécifiques qui aboutirait finalement le 11/9 à leur présence à bord des quatre vols réguliers en provenance de Boston, Washington Dulles, et Newark dans le New Jersey.

Formée de six Israéliens, l'équipe d'infiltration du Mossad comptait deux cellules de trois agents. Pour leur futur contrôle et manipulation de cellule Al-Qaïda, tous avaient reçu une formation spéciale dans une de leurs bases du désert du Néguev. Une cellule du Mossad s'est rendue à Amsterdam où elle s'est mise sous le contrôle opérationnel du poste du Mossad Europe, opérant à partir du complexe d'El Al à l'aéroport international de Schiphol. Se rendant ensuite à Hambourg, cette unité de trois hommes du Mossad a pris contact avec Mohammed Atta, qui a cru qu'elle était envoyée par Oussama Ben Laden. Elle était envoyée en réalité par le chef du Mossad, Ephraim Halevy,.

Wolf

Le scandale Franklin, ou les orgies pédophiles de la Maison Blanche

Image
Le 29 juin 1989 a éclaté un des plus grands scandales de l'histoire des USA. Dans la fameuse publication Washington Times est apparue une série d'articles sur les actes homosexuels de la Maison Blanche. On avait découvert que les VIP de l'administration Reagan, qui venaient de finir leur mandat, apportaient après minuit des garçons à l'intérieur de la Maison Blanche, et qu'ils en abusaient sexuellement. Ces faits ont été repris par d'autres publications américaines, mais à cause des pressions politiques, la télévision et la radio n'ont pas diffusé la nouvelle.

Craig J. Spence, membre du parti républicain, a reconnu qu'il faisait venir des garçons à la Maison Blanche, sous le prétexte que ceux-ci étaient des membres de sa famille. Il a déclaré que ces rencontres de minuit de la Maison Blanche étaient « arrangées » par des personnes politiques de hautes fonctions comme Donald Gregg, secrétaire pour la Sécurité Nationale ou Charles K. Dutcher, directeur associé du personnel de la Maison Blanche.