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Rafik Abdessalem, le ministre tunisien des Affaires étrangères, se rendra samedi à Gaza. Ceci n'empêchera pas Israël de poursuivre son offensive sur Gaza. D'ailleurs, malgré la présence du Premier ministre égyptien Hicham Qandil, il n'a pas respecté la trêve. Le plus radical semble être celui que, urbi et orbi, on défend bec et ongles, nous, soi-disant défenseurs autoproclamés des libertés et de la démocratie. Nous venons d'apprendre que le président français rencontrera demain, le nouveau représentant de la nouvelle opposition syrienne. C'est un vrai paradoxe, une folie. Pendant ce temps, celui qui fait semblant de se préoccuper du cas des Syriens s'en contrefiche du sort des Palestiniens de Gaza et parle de retenu. Retenu, alors qu'Israël a le soutien affiché des États-Unis ?