Les Maîtres du Monde
En abaissant sa perspective de « stable » à « négative » sur la cote AAA des bons du Trésor américain, S&P s'est exprimé lundi au nom de toute la mafia financière qui a ses quartiers généraux sur Wall Street. L'agence de notation a déclaré dans un communiqué de presse que si un accord n'était pas conclu dans les prochains mois sur une réduction du déficit fédéral d'au moins 4 billions de dollars durant la prochaine décennie, « cela pourrait nous amener à abaisser la cote ».
Cela constitue en fait une menace de faire s'écrouler l'économie des États-Unis et du monde et de miner la position du dollar en tant que monnaie de réserve mondiale. Ce geste est une expression de la volonté, organisée internationalement, des grandes banques et des spéculateurs de mettre en ouvre des attaques dévastatrices contre les conditions de vie de la classe ouvrière américaine.
Un krach du billet vert se prépare. Il est inévitable. Le principal risque planétaire actuel, c'est une crise de la dette souveraine américaine. La plus grande économie du monde n'est plus qu'une vaste illusion. Pour produire 1 dollar de richesse, elle a besoin de 6 dollars de dette. Face à leur 14'000 milliards de PIB, les Etats-Unis affichent plus de 50'000 milliards de dette totale, qui coûte au gouvernement, aux entreprises et aux ménages 4'000 milliards d'intérêts par an. Et l'écart entre dette et PIB se creuse encore. La situation des déficits américains est intenable.
Le lendemain du jour où les Etats-Unis ont déployé des drones Predator armés de missiles Hellfire et où l'OTAN a averti les civils de "s'éloigner des troupes et des installations de l'armée de Kadhafi", la télévision d'état libyenne rapportait que neuf personnes avaient été tuées pendant la nuit lors d'une attaque aérienne de l'OTAN sur Sirte, la ville natale du dirigeant libyen Muammar Kadhafi. Le communiqué de al-Jamahiriya disait qu'une partie des personnes tuées travaillaient au service des eaux de l'Etat.
Ce communiqué succédait à un autre qui jeudi faisait état de sept civils tués et 18 blessés dans un raid aérien sur le faubourg de Khellat al-Ferjan au sud-ouest de Tripoli mercredi soir tard dans la nuit, et à un autre encore qui annonçait la mort de quatre civils dans le bombardement des avions de l'OTAN sur la ville de Bir al-Ghanam, à une quarantaine de kilomètres au sud-ouest de la capitale libyenne.
En effet, les autorités japonaises ont été contraintes d'expliquer pourquoi il leur a fallu un mois pour rendre public les rejets à grande échelle de matières radioactives à la mi-Mars, provenant de la centrale nucléaire de Fukushima. Lorsque le gouvernement a annoncé le 12 avril qu'il avait relevé le niveau de la gravité de l'accident dans le complexe nucléaire de Fukushima Daiichi à 7, le pire à l'échelle internationale, le Japon a fondé cette décision en grande partie sur des modèles informatiques montrant les lourdes émissions d'iode radioactif et le césium entre le 14 et le 16 mars, peu de temps après le séisme d'une magnitude de 9,0 et du tsunami qui a rendu les systèmes refroidissement d'urgence de l'usine inopérants. Ce retard de près d'un mois avant de reconnaitre publiquement l'importance de ces émissions est un nouvel exemple de données et d'analyses portant à confusion, ce qui a mis les autorités sur la défensive quant à savoir si elles ont retardé ou bloqué la diffusion de l'information pour ne pas alarmer le public. Seiji Shiroya, un commissaire de la Commission de la sûreté nucléaire du Japon, un groupe indépendant qui supervise l'industrie nucléaire du pays, a suggéré une raison d'ordre public pour avoir gardé le silence. « Certains étrangers ont fui le pays même s'il semblait y avoir que peu de risque, dit-il. Si nous avions immédiatement décidé d'annoncer que la situation était de niveau 7, nous pourrions pu déclencher une réaction de panique». Les émissions de particules radioactives ont atteint un sommet après les explosions d'hydrogène dans trois des réacteurs de Fukushima. (Seattle Times/New York Times)
Invité aux Etats-Unis par le Centre S. Daniel Abraham pour la paix au Moyen-Orient (2) Shimon Peres a été reçu, le 5 avril dernier, à l'USIP - United States Institute for Peace - un think tank créé par le Congrès américain en 1984 pour « prévenir et résoudre les conflits dans le monde ». Il a appelé la « Communauté internationale » a soutenir la « transition en Syrie » (3). Apparemment sur la même longueur d'onde que les anciens chefs des services de renseignements israéliens - Mossad et Shin Beth - qui avaient présenté un nouveau plan de paix quelques jours plus tôt (4), il a offert de restituer à la Syrie le Golan, occupé en 1967 puis annexé en 1981.
vous n'êtes pas hébergeur mais éditeur, votre site est éditorialisé, je
vous invite donc à faire vous-même une recherche sur vos propres pages.
la publication sans accord ni autorisation d'articles de notre fond
constitue un acte de contrefaçon. Ces activités peuvent faire l'objet de
poursuites pénales sanctionnées par deux ans d'emprisonnement et 150 000
Euros d'amende.
Par ailleurs, l'usage non autorisé de notre marque constitue de la même
manière une contrefaçon de nos droits de propriété intellectuelle.
La publication de nos articles ne vous étant pas autorisée, nous vous
demandons expressément de cesser immédiatement toute utilisation de nos
contenus, et d'enlever toute référence à nos marques sur tous les
documents émanant de vos services.
Il nous semble toutefois préférable, avant d'entamer de quelconques
poursuites judiciaires, que nous tentions de trouver ensemble les base
d'un accord économiquement viable pour les deux parties, dans le strict
cadre des dispositions légales en vigueur et comprenant l'antériorité.
Vous voudrez bien vous mettre en rapport avec moi sans délai afin de
discuter des termes d'un tel accord.
A défaut de réaction de votre part dans un délai de une (1) semaine à
compter de la réception de la présente, nous reprendrons notre entière
liberté d'action de manière à faire cesser cette violation de nos droits
de propriété intellectuelle.
En tant que de besoin, nous vous précisons que la présente vaut mise en
demeure au sens notamment des dispositions de l'article 1153 du Code
civil, et fait donc courir les intérêts légaux sur les sommes que nous
serions amenés à vous réclamer à titre de réparation du préjudice que
nous subissons.
Je vous prie d'agréer, chère Monsieur, l'expression de mes salutations
distinguées.
Exactions, massacres, atrocités ! Sarkozy a semé la terreur chez les Ivoiriens favorables à Gbagbo, en provoquant un coup d'Etat, pour installer son copain Ouattara à la tête de la Côte-d'Ivoire.
Une « conquête » néocoloniale criminelle, qui n'a rien d'une fiction celle-là, sur le territoire d'un pays souverain !
Un massacre gratuit, pour redorer son blason et apparaître comme un « grand » chef d'Etat, qu'il n'est et ne sera jamais !
Un désastre humain pour mettre en place un président « convenable » aux yeux de la communauté internationale ultralibérale.
Malgré toutes les dénégations, les documents sont têtus : le département d'État n'a pas cessé de financer l'opposition syrienne. Par conséquent, il ne peut pas prétendre tout ignorer de l'actuelle campagne de déstabilisation de la Syrie.
Le Département d'État des USA a financé secrètement des groupes de l'opposition syrienne pour renverser Assad, et leurs projets parmi lesquels la télévision satellitaire Barada basée à Londres, selon des documents diffusés par Wikileaks et publiés hier par le Washington Post [1].
"Nous allons voir qui va se tenir devant Subaru", en faisant allusion au saut des deux enfants sur la voiture à cause de la forte collision, et a été admise comme une annonce en hébreu de voitures Subaru.
La collision contre ces deux enfants s'est produite dans le passé en Octobre 2010, lorsqu'elle a été exécutée par le Directeur général de l'association des colons "Elad", l'extrémiste David Perry, lors d'affrontements entre les habitants de Selwan et les forces sionistes et des colons extrémistes