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Libye : l'OTAN veut faire oublier ses crimes

Traduction : Info-Palestine.net

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Les gens en deuil se tiennent autour des cercueils de 28 personnes tuées lorsque leurs maisons ont été bombardées par les forces de l’OTAN, à Majar, au sud de Zlitan, à 160 km à l’est de Tripoli - Photo : Reuters
L'OTAN a omis d'enquêter sur plusieurs dizaines de morts parmi les civils au cours de ses sept mois de campagne militaire en Libye, a déclaré Amnesty International. L'OTAN a exprimé ses « regrets » pour les victimes civiles, mais n'a pris aucune mesure pour ouvrir une enquête.

« Il est profondément décevant que plus de quatre mois après la fin de la campagne militaire, les victimes et les proches des personnes tuées par des frappes aériennes de l'OTAN restent dans l'ignorance de ce qui s'est passé et de qui était responsable », a déclaré ce lundi Donatella Rovera, Conseillère principale à Amnesty international.

Elle a souligné que si l'OTAN est vraiment vouée à la protection des civils, alors elle ne peut pas simplement « écarter la mort de dizaines de civils avec une vague déclaration de regrets ».

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SOTT Focus: Agro-Business, Big Pharma, Trafic d'armes, sectes suicidaires et MIVILUDES - ce que cache la politique de chasse aux sectes en France

Traduction : SOTT

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Avertissement au lecteur : Rien dans cet article d'investigation ne devrait être interprété comme une preuve que Sott.net approuve les activités manipulatoires d'organisations telles que la scientologie ou toute autre organisation qui profite de la fragilité humaine. Non seulement nous reconnaissons la nécessité de protéger les personnes vulnérables, au sein de la société, de ce genre d'escrocs « New Age », mais en outre, depuis ces 10 dernières années, nous nous efforçons sans relâche de démasquer ces prédateurs. Ce sont d'ailleurs les escrocs New Age que nous avons démasqués qui ont commencé à nous calomnier en nous affublant de l'étiquette « secte ». Le problème s'avère toutefois que les groupes financés par l'État et prétendument créés dans le but de protéger les citoyens des « manipulations mentales » ont leurs propres motivations ; des motivations qui, au final, sont tout aussi pernicieuses que celles des groupes promoteurs de charlatans qu'ils prétendent combattre. Preuve en est le fait que la MIVILUDES n'a opéré qu'une attaque symbolique contre la scientologie ; les scientologues n'ont jamais subi de descente de police ni d'interrogatoire (au contraire de nombreux groupes inoffensifs) et, à l'issue d'un procès hyper-médiatisé, ont été condamnés à une amende de seulement 600 000 €, ce qui, pour une organisation aussi riche, équivaut à une petite tape sur les doigts. Pendant ce temps-là, et à plusieurs occasions, le président Sarkozy faisait ami-ami avec le représentant de la scientologie, Tom Cruise. En bref, les actions menées par la MIVILUDES contre la scientologie ne sont rien d'autre que de l'esbroufe.

Depuis les années 1970, les gouvernements français qui se sont succédés ont utilisé à outrance et exagéré le danger posé par les groupes New Age, dans le but d'imposer au peuple français un conformisme oppressif en matière de croyance : il s'agit de croire en l'État lui-même. Il s'agit ni plus ni moins que de remplacer une idéologie destructrice et manipulatrice par une autre. Comme l'a déclaré la principale organisation anti-secte en France - la MIVILUDES :
« Une répression de la part de l'Etat est donc nécessaire si un certain nombre de critères doivent être satisfaits :
- Une ou plusieurs personnes commencent à croire en certaines idées qui s'écartent de celles généralement acceptées par la société. »
C'est-à-dire, lorsque des personnes ordinaires commencent à adopter des idées qui pourraient, de façon générale, menacer le contrôle qu'exercent les psychopathes au pouvoir sur la masse des êtres humains normaux [1].

L'inquiétant état des lieux que nous exposons dans les paragraphes qui suivent ne concerne toutefois pas que le peuple français. Le phénomène est mondial, et ses racines remontent aux années 1960 et 1970, période marquée par les tentatives des « agences de renseignement » occidentales et de certains éléments au sein des gouvernements occidentaux de récupérer et de discréditer le « Mouvement du potentiel humain » et son rejeton - le mouvement New Age - et d'imposer un conformisme de pensée et de croyance à des centaines de millions de personnes.

À l'origine, cette stratégie impliquait l'infiltration et le détournement de tout groupe qui commençait à distinguer (et à évoquer) les problèmes inhérents aux gouvernements et grosses sociétés qui dominaient (et détruisaient) le monde. Il s'agissait - et c'est toujours le cas - de contrôler la population - mentalement, physiquement et spirituellement - de tout pays donné. Mais l'objectif ne se limitait pas à infiltrer ces groupes. Après tout, garder constamment à l'œil chaque nouveau groupe et tenter de le corrompre via l'infiltration nécessiterait beaucoup d'efforts et d'effectifs. L'idéal était donc de pouvoir diaboliser automatiquement tout groupe qui « déviait » des normes sociales ou proposait des idées qui étaient contraires aux plans des gros gouvernements et des grosses sociétés. En gangrénant ces groupes, la réponse logique fut trouvée.

Une fois qu'un groupe avait été infiltré (ou créé de toutes pièces par une agence de renseignement), il était facile de faire passer ses membres pour des malades. Les groupes qui ont perdu pied avec la réalité finissent par recourir à des mesures extrêmes, comme le suicide - du moins c'est le raisonnement. Quel meilleur moyen de diaboliser l'idée même de « modes de vie alternatifs » que de médiatiser quelques cas où de tels groupes commettent un « suicide collectif » ?

Mais les individus impliqués dans ce genre de subterfuge sont toujours à l'affut d'une opportunité pour maximiser leurs profits en un minimum d'efforts. Les groupes sélectionnés pour se voir transformer en « secte » ne sont au final que des atouts sacrifiables, et ces atouts des agences de renseignement servent traditionnellement de couverture aux activités illégales de certains responsables politiques ou dirigeants de grosses sociétés.

Si des individus influents bénéficiant de certaines relations veulent s'engager dans des activités lucratives illégales, ils s'organiseront en secret et tenteront de garantir pour eux-mêmes la possibilité d'un démenti. S'ils veulent s'engager dans des activités HAUTEMENT illégales (comme la vente d'armes prohibée par le droit international, le blanchiment d'argent, le renversement de gouvernements, les fausses attaques terroristes, les réseaux pédophiles, etc.), ils s'organiseront sous le couvert d'une organisation qui pourra, si nécessaire, être dénoncée comme « secte apocalyptique ». Après tout, les « suicidés collectifs » ne risquent pas de parler, et on s'interroge peu sur leurs motivations : ce sont juste des malades, point final.

En outre, ces « suicides sectaires » établissent de manière très efficace la « réalité » des sectes dangereuses dans l'esprit du public, et cette « réalité » peut alors être utilisée pour diffamer, menacer et, si possible, détruire tout groupe qui menace le statu quo, à savoir les psychopathes au pouvoir qui utilisent la population comme esclaves.

La « secte » et le « suicide collectif » de Jonestown (qui étaient manifestement une opération de la CIA) illustrent cette stratégie, mais il y a eu beaucoup d'autres opérations similaires, qui, ensemble, ont donné naissance au mème « sectaire » dans la société moderne. Mais à notre époque moderne, c'est en France - où l'adhésion et l'admiration pour les « normes » culturelles françaises sont vues comme la quintessence de l'équilibre mental et de la raison - que le mème « sectaire » a été utilisé avec le plus de succès.


Commentaire: [1] Au sens où l'entend le psychiatre A. Lobaczewski, à savoir les individus non psychopathiques.


Bomb

Et comment appeler ça, sinon du terrorisme ?

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Une des premières photos, fournies par Sana, de l'attentat d'Alep
Alors que la Syrie et Damas sont évidemment toujours sous le choc du nouveau double attentat-suicide à la voiture piégée qui a visé, samedi matin des bâtiments liés aux services de sécurité syrien, un nouvel acte de terrorisme ensanglante et inquiète le pays. Cette fois, c'est Alep - le quartier de Souleimaniyah - qui a été frappé ce dimanche 18 mars : il y a des tués et des blessés, mais on n'en sait pas plus à l'heure où nous écrivons.

Un mode opératoire très identifiant

Nous ne pouvons que nous répéter : les groupes armés et ceux qui les soutiennent et les manipulent, une fois écrasés militairement, n'ont d'autre ressource que de se « reconvertir » dans le terrorisme des bombes et des attentats-suicides. On sait - même les Américains le disent, après le gouvernement irakien - que des hommes d'al-Qaïda sont entrés ces dernières semaines en Syrie. Qu'ils tirent leur inspiration d'al-Zawahiri, de l'émir du Qatar, du cheikh Arroor, ceux qui se sont fait exploser à Damas relèvent bien de l'extrémisme islamiste, le plus nihiliste et méprisant la vie humaine, à commencer par la leur. C'est bien de terrorisme djihadiste qu'il s'agit, et on ne pourra souligner que l'indécente mauvaise foi de nombre de médias français qui mettent les guillemets et le conditionnel de rigueur quand ils citent les accusations du gouvernement syrien. Il est vrai que quand on a pris l'habitude de répéter les absurdités de l'OSDH et des divers cyber-opposants qui ont, lors de précédents attentats de ce type à Damas (en décembre et en janvier), accusé le régime de les avoir lui-même organisés (avec des chabihas volontaires pour jouer les kamikazes ?) on ne peut que s'enfoncer dans la partialité la plus grotesque !

Gear

Syrie - Désinformation massive selon Thierry Meyssan

La propagande visant au renversement du régime syrien en préparation de la guerre néo-sioniste contre l'Iran se poursuit, et les attentats d'Al CIA Qaïda ont fait 30 nouvelles victimes ces dernières heures à Damas, tandis qu'un diplomate en fonction dans les Emirats confirme, sous couvert d'anonymat, que l'Arabie Saoudite (patrie de Ben Laden faut-il le rappeler ?) fait transiter des armes aux rebelles pro-NWO...


Audio-Vidéo de la mi-mars 2012 : Au micro d'une radio iranienne, Thierry Meyssan présente une situation en Syrie à des années lumières de la propagande quotidienne des grands médias alignés - Youtube

USA

L'Inde menacée de sanctions par les USA


Eye 1

Un centre d'espionnage gigantesque en construction aux Etats-Unis

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© WiredCapture de Wired.com
Dans la petite ville de Bluffdale, au creux d'une vallée reculée de l'Utah, cœur du pays mormon américain, la National Security Agency (NSA) construit actuellement le plus grand centre de collecte et d'analyse de données des Etats-Unis, auquel le magazine Wired consacre sa couverture cette semaine.

Ce centre puissamment gardé devrait être opérationnel en septembre 2013. La NSA a consacré 2 milliards d'euros au chantier, qui doit permettre d'abriter quatre halls à serveurs de 2 300 mètres carrés chacun, plus 8 hectares de bâtiments destinés au support technique et à l'administration du site. L'ensemble sera complètement autosuffisant. Des réservoirs d'essence seront capable d'alimenter des générateurs de secours trois jours durant ; des installations de pompage d'eau pourront produire 6,4 millions de litres d'eau par jour, un système d'égouts et d'air conditionné aidera à maintenir ces serveurs à une température raisonnable. L'électricité sera fournie par une station autonome de 65 mégawatts, pour un coût total énergétique de 40 million de dollars par an (30 millions d'euros), selon une estimation publiée par Wired.

L'objectif de cette Babel du renseignement est de capter, décoder et analyser des données issues de communications classiques (courriels, conversations téléphoniques, recherches sur Google), de tous types de données personnelles (factures de parking, itinéraires de voyages, achats en librairies...) et de données issues du "Web profond", non directement accessible (informations financières, transactions boursières, accords commerciaux, communications militaires et diplomatiques étrangères, documents légaux, informations personnelles confidentielles...).

Commentaire: Quel degré de désinformation ? Si la NSA annonce officiellement qu'une "percée technologique" a été faite, il y a de bonnes chances que celle-ci est été faite en vérité depuis trèèèès longtemps.


Vader

Meilleur du Web: Plusieurs soldats auraient participé au massacre des 17 civils afghans

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De nombreux reportages réfutent la thèse voulant que le massacre de 17 civils afghans dimanche dernier soit l'œuvre d'un seul et unique tireur fou.

Le réseau iranien Press TV rapporte que « les forces étasuniennes ont ouvert le feu sur des civils afghans à l'intérieur de leurs domiciles » et que les résidents du village où la tuerie a eu lieu ont affirmé que « les forces étasuniennes ont ramassé par la suite 11 corps, dont ceux de quatre filles âgées de moins de six ans, et les ont brûlés ». ('US forces burned bodies of Afghans after massacre', Press TV, 12 mars 2012.)

Le PakTribune, un média pakistanais, rapporte également que des corps d'enfants ont été brûlés par des soldats étasuniens :
Un père afghan, affirmant que ses enfants ont été tués dans la folie meurtrière, a accusé des soldats d'avoir brûlé leurs corps après la tuerie. Des témoins ont déclaré à Reuters avoir vu un groupe de soldats étasuniens arriver vers 2 heures du matin dans leur village du district de Panjwai dans la province de Kandahar, entrer dans des maisons et ouvrir le feu. (US soldier opens fire, kills 16 Afghan civilians, PakTribune, 12 mars 2012.)

Cult

D'un ex journaliste d'Al Jazeera: « Il n'y a plus de journalisme indépendant »

Traduit par Résistance 71

Les chaînes de télévision se sont transformées en partis politiques, poussant l'agenda de forces extérieures, a dit à RT l'ancien correspondant de la chaîne Al Jazeera à Beyrouth, Ali Hashem. Hashem s'est vu être mis sous les feux de la rampe après avoir démissionné de la chaîne de télévision citant sa partialité dans la couverture de l'information.

Dans des courriers électroniques fuités par des hackers syriens, Ali Hashem laissait passer sa colère contre la couverture unidimensionnelle d'Al Jazeera sur la Syrie et son refus de couvrir les évènements de Bahreïn. Dans une interview exclusive avec RT, l'ancien correspondant à Beyrouth Hashem n'a pas voulu en dire plus sur sa démission, mais a insisté sur le fait que de nos jours, l'idée que les médias sont indépendants est un mythe.

"Il n'y a plus de médias indépendants. Tout est fait pour l'agenda de ceux qui paient, financent le média", a t-il dit. "La politisation des médias veut dire qu'aujourd'hui, ceux-ci sont des partis politiques. Tout le monde prend partie, se bat pour son point de vue et utilise tous les outils et moyens possibles à leur disposition afin que leur vue touche le plus grand nombre possible."

Dollar

L'arnaque du prix de l'essence

Explication illustrée de l'arnaque du prix de l'essence.


Vader

L' Australie conduit une guerre secrète en Afrique


C'est la première fois que l'Australie coordonne des actions secrètes en temps de paix de ses services de renseignement avec une unité militaire. Cette évolution suit celle des États-Unis qui font désormais travailler ensemble la CIA et le Commandement des opérations spéciales dans des États avec lesquels ils ont officiellement des relations pacifiques.

L'Australie avait assisté les Etats-Unis durant l'attaque de l'Irak, en 2003, et les SAS avaient été les premières troupes étrangères à entrer au sol, pour fixer les cibles des bombardements.

Selon les quotidien, les SAS australiens du 4ème escadron auraient reçu en Afrique principalement des missions de repérage et d'exfiltration de ressortissants australiens victimes de groupes terroristes.