Les Maîtres du Monde
1. Le mode opératoire des serial killers
Qu'est ce qu'un serial killer ?
C'est un tueur en série qui utilise généralement le même mode opératoire. C'est d'ailleurs ce qui finit par le perdre, car on arrive ainsi à le coincer.
Tous les gouvernements européens sont en train de tuer la protection sociale. Le gouvernement français vient de donner un coup potentiellement mortel à la retraite par répartition, à la demande expresse de tous les financiers, spéculateurs, assureurs, patronats...
À peine la besogne est-elle accomplie que le serial killer tisse les fils de sa toile dans laquelle il prendra l'assurance maladie pour l'assassiner. Ne doutons pas que l'affaire sera rondement menée. Et selon un scénario connu : on tarit les ressources de la Sécurité sociale, on la met en déficit chronique et croissant, on la déclare incapable de répondre aux besoins, on limite la prise en charge de ces derniers abandonnés aux assureurs, qui guignent d'un œil vorace les centaines de milliards d'euros par an que constitue la protection sociale.
Les serial killers à la tête des États ne commettent pas leurs forfaits sans un réseau de complicités dont les fils s'étendent du monde de la finance - banques, institutions financières de toutes sortes et agences de notation - à celui de la presse bien-pensante, sans oublier la mafia des paradis fiscaux. Les pièges sont tendus.

Selon cet article, le réseau est composé de 4058 organisations locales et d'État. Au moins 935 d'entre elles ont été créées depuis le 11 septembre, souligne le quotidien.
Ce très vaste réseau d'informateurs a été mis en place après les attentats du 11 septembre 2001 et continue de s'étendre à l'heure actuelle, observe le quotidien.
Les informateurs -parmi lesquels des agents du FBI, des polices locales et des inspecteurs de l'armée- ont pour tâche de rassembler, stocker et analyser des informations concernant plusieurs milliers d'Américains et de personnes résidant aux États-Unis, sans qu'il leur soit nécessairement reproché quoi que ce soit, continue le Post dans cette enquête intitulée «Surveiller l'Amérique».

« ...pensais que c'était une bombe... sortie à travers le trou... débris en feu... pas de pièces d'avion... menacée de garder le silence »
Selon des sources confirmées du gouvernement nigérian, afin d'éviter la prison à l'ancien vice-président Cheney pour des crimes impliquant le Nigeria, l'ancien président George HW Bush a négocié la promesse de 500 millions de dollars en pots-de-vin. Aujourd'hui, à peine un jour plus tard, Cheney fait face à de possibles accusations, des accusations si nombreuses qu'elles ne peuvent être juste imaginées, d'élaboration de l'attaque du 11/9 contre le Pentagone.
Dans un documentaire d'une heure à un moment de grande écoute à la télévision zunienne, l'animateur de télévision Jesse Ventura, ancien membre de la marine de guerre, ancien gouverneur du Minnesota, rend claire l'affaire criminelle liant Cheney, Rumsfeld et des responsables au sein de toute l'administration, à la complicité de planification, exécution et dissimulation ultérieure de l'attaque du 11/9 contre le Pentagone.
Selon des experts, ingénieurs, pilotes, officiers du Renseignement et membres de notre armée, Jesse Ventura « a frappé dans le mille. » Grâce à des évidences développées durant 9 ans par des centaines de gens, Ventura expose la totale invraisemblance de la version du gouvernement concernant les événements du 11/9 et la déboulonne avec méthode à l'aide de témoignages et preuves scientifiques.
Lors d'un entretien avec un commissaire du 11/9, Ventura cite un motif possible de l'inclusion de l'attaque du Pentagone dans les attentats contre le World Trade Center. Évoqués la veille lors d'une déclaration télévisée par le ministre Rumsfeld, 2.300.000.000.000 de dollars, oui 2,3 billions de dollars, « ont disparu » de la comptabilité du Pentagone. La partie du Pentagone touchée par un missile ou détruite à l'explosif ou les deux, contenaient l'ensemble des dossiers relatifs à cet argent perdu.
L'escroquerie prit une telle ampleur que la banque de New-York finit par négocier, avec les faussaires, le rachat des plaques. Au même moment, des agents du KGB écoulaient, à prix d'or, à Potsdam, des microfilms jaunis, témoignant de durs combats, en Afghanistan... C'est entre ces deux histoires qu'il faudrait ranger, aujourd'hui, le phénomène WikiLeaks et la bande d'internautes, dirigés par l'australien Julian ASSANGE.
Selon eux, c'est toujours pour notre bien que nos gouvernements suppriment nos libertés. Ce serait un mal nécessaire face à la menace de nos éternels ennemis. Autrefois c'était le communiste. Aujourd'hui, ce sont les islamistes. Peu importe. L'important est de disposer d'un ennemi. La peur est un bon moyen de contrôler les mécanismes d'analyse et de réflexion d'une population. Quand vous avez peur, vous êtes incapables de réfléchir sereinement.
Sous l'effet de la peur, nos capacités naturelles à nous prendre en charge, et nos ressources, la confiance, le bien-être, le discernement, l'optimisme, l'héroïsme, la joie se volatilisent comme de la neige en plein soleil. La peur est profondément enfouie dans nos esprits, plus précisément dans une région appelée l'amygdale cérébrale, et gouverne toutes nos réactions, souvent à notre insu.
Des chercheurs de l'Université de New York ont montré qu'entre ce que nous disons et ce que nous ressentons fondamentalement, l'écart est parfois très grand. Elisabeth Phelps a mis en évidence un paradoxe humain fort intéressant : ce n'est pas parce qu'une personne dit ne pas être raciste (sujet de l'étude) qu'elle ne l'est pas au fond d'elle, bien au contraire !
Dans cette conférence, Michael Ruppert propose un décryptage du livre de Zbigniew Brzezinski, intitulé "Le grand échiquier", paru en 1997. En effet, Brzezinksi y affirmait qu'un nouveau "Pearl Harbour" serait nécessaire aux USA pour justifier aurpès de l'opinion publique les projets militaires et impérialistes américains.
Actuellement l'ONU fait l'objet de pressions de la part d'un certain nombre d'états membres pour créer en son sein un organisme pour «faire la police» sur internet. Ces pays évoquent les fuites de Wikileaks comme raison principale d'un contrôle plus strict d'internet.
La demande vise la création d'un « groupe de travail » qui comprendrait seulement des responsables gouvernementaux qui discuteraient entre eux comment établir un consensus dans leur « politique publique internationale « pour internet. En d'autres termes les gouvernements seraient amenés à décider de ce qui serait effectivement publié sur internet.
Alors il y a-t-il derrière tout le buzz médiatique des « fuites « de Wikileaks un plan visant à limiter la liberté de publication sur internet ? Le Pentagone a déjà qualifié Assange de « cyber terroriste » on parle de poursuites contre lui aux US pour « espionnage ».
D'après un article, un procureur de l'Union européenne, selon qui Israël est en cheville avec un réseau de trafic d'organes au Kosovo, a porté l'affaire devant la Cour du district de Pristina.
Selon Associated Press, Jonathan Ratel, qui sert au Kosovo dans le cadre de la mission d'État de droit de l'UE, a annoncé que les sept Kosovards soupçonnés de travailler comme médecins d'une clinique appelée Medicus dans la capitale Pristina, appartiennent à un réseau international qui fait commerce d'organes de gens affligés de pauvreté extrême.
Venant de Moldavie, du Kazakhstan, de Russie et de Turquie, les donneurs étaient attirés par la fausse promesse d'une rétribution de pas moins de 20.000 dollars. Seulement, ils n'ont jamais eu cet argent.
Finalement, le Titanic fut un navire où la démocratie régnait : transposé à la société française, voila que certains font la loi, pilotent le navire à vue d'œil, d'autres se reposent sur leur épargne, et le reste travaille, espérant toucher une maigre pension de retraite, pour engraisser les actionnaires propriétaires de la concession du bateau. Et l'on veut nous faire croire que le 4 Août 1789 a supprimé les privilèges et la féodalité.
Commentaire: Excellente analyse de Michel Collon. Un petit bémol toutefois concernant la source et les objectifs des fuites Wikileaks. Posons-nous la question suivante : "A qui profite le crime ?"
Certes, les USA sont peu égratignés par Wikileaks, mais Israël est le grand vainqueur. Absolument aucune fuite sur ses nombreuses exactions et parallèlement les fuites stigmatisent ses ennemis.
L'autre bénéficiaire des fuites est la censure d'Internet. En effet, Wikileaks offre une excellente excuse (sécurité d'État, sécurité des militaires et des agents secrets,...) pour verrouiller Internet car il représente le dernier espace où des informations objectives peuvent encore circuler.
La véritable raison est qu'Internet représente une menace majeure pour nous chères élites. La révélation de leurs petits et grands secrets pourraient en effet remettre en cause leur hégémonie.