Nicolas Bonnal note dans un de ses derniers articles,
L'occident et le démon des organisations, que les institutions supranationales ont été créées et sont utilisées par des puissants de ce monde pour dominer et exploiter les populations à leur profit. Il cite Marco Della Luna et Paolo Cioni qui écrivent dans
Neuro-esclaves — techniques et psychopathologies de la manipulation politique, économique et religieuse :
« Pour les organisations économiques, mais aussi de nos jours pour les organisations politiques et en règle générale pour les organisations religieuses, le désir de dominer les autres, de conquérir, de commander, de s'emparer, de soumettre, de manipuler, d'exploiter, à l'échelle mondiale, nationale, de l'entreprise ou de la famille, est une tendance objectivement inévitable qui est depuis toujours le principal moteur de l'histoire collective, voire individuelle. »