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ven., 08 déc. 2023
Le Monde pour les Gens qui Pensent

Les Maîtres du Monde
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Objectif euro mondialiste : destruction du Travail à l'horizon 2030

Beaucoup de Français n'ont pas encore pris conscience du plan d'ensemble qui s'abat depuis 3 ans sur le pays entier et qui va s'abattre sur leur propre personne sur les 7 prochaines années : le Great Reset, l'horizon 2030 promis par le mondialiste Klaus Schwab, signifie la destruction progressive du travail indépendant, du CDI, de l'industrie, et derrière, de la production nationale au profit d'une économie tertiaire numérisée qui rend la masse des travailleurs corvéable à merci, soit le retour au XIXe siècle de Marx.
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La crise énergétique a déjà mis à genoux des milliers de TPE.

Biohazard

Les armes nucléaires américaines en Europe : un moyen de pression sur la Russie ?

Les États-Unis jouent avec le feu en ayant déployé secrètement environ 150 ogives nucléaires dans plusieurs pays. La Russie a tenu à revenir sur cette grave information en réfutant les accusations venant de l'Occident de vouloir provoquer une course à l'arme nucléaire, en dénonçant, ainsi, une inversion accusatoire qui donne le feu vert aux États-Unis et à ses alliés pour dispatcher, non légalement, sans le respect des traités internationaux, des armes nucléaires dans de nombreux pays.
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Image du film de Kubrick "Docteur Folamour"
Washington a déployé secrètement approximativement 150 ogives nucléaires. Observateur Continental a rapporté l'affirmation d'Alicia Sanders-Zakre, coordinatrice des politiques et de la recherche à la Campagne internationale pour l'abolition des armes nucléaires (ICAN), qui a annoncé que Washington avait déployé secrètement environ 150 ogives nucléaires en Belgique, en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas et en Türkiye.

Attention

Utiliser des armes nucléaires pour sauver l'humanité ? Analyses et réponses de Boris Karpov (partie 3)

La suggestion faite dans le second article de déclencher plusieurs explosions nucléaires d'avertissement (sans faire de victime donc) a suscité beaucoup de réactions, tant positives que négatives. Ces dernières sont justifiées en fait par le "tabou" des armes nucléaires dans l'inconscient collectif.
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Or, on constate que depuis plusieurs semaines les Américains diffusent régulièrement une "information", ou plutôt un "sentiment" disant que les armes nucléaires russes sont pour la plupart (on a lu le chiffre de 80%, tiré, on ne sait d'où) inutilisables car "mal entretenues".

Biohazard

Utiliser des armes nucléaires pour sauver l'humanité ? Analyses et réponses de Boris Karpov (Partie 2)

Avertissement : Ceci est le second article d'une série de 3. Dans l'article précédent, une analyse de Sergueï Karaganov, Président honoraire du Présidium du Conseil de la politique étrangère et de défense (SVOP) Russe

Sergueï Karaganov dans l'article d'hier parle donc de frappes nucléaires russes contre l'ennemi occidental pour régler une fois pour toutes la question de la sécurité de la Russie. Cette position est compréhensible, mais je pense qu'il devrait y avoir un échelonnement de l'usage d'armes nucléaires qui, en fin de compte, devrait rendra inutile les frappes directes contre les pays occidentaux.
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Sergueï Karaganov a tout à fait raison lorsqu'il écrit : "La situation est aggravée par le 'parasitisme stratégique' - en 75 ans de paix relative, les gens ont oublié les horreurs de la grande guerre, ils ont cessé d'avoir peur même des armes nucléaires. Partout, mais surtout en Occident, l'instinct de conservation s'est affaibli." Et pourquoi ne pas commencer à raviver en Occident la peur des armes nucléaires, qui y était présente chez la majorité de la population dans les années 50 et 60. En effet, à bien des égards, c'est cette peur de la population qui a contraint les dirigeants américains à négocier avec l'Union soviétique sur la limitation des armes nucléaires et sur la politique de détente.

Bulb

Utiliser des armes nucléaires pour sauver l'humanité ? Analyses et réponses de Boris Karpov (1re partie)

Avertissement : Il y aura une série de 3 articles. Dans ce premier article, une analyse de Sergueï Karaganov, Président honoraire du Présidium du Conseil de la politique étrangère et de défense (SVOP) Russe. Ce texte servira de base pour mon analyse dans un second article, quelque peu différente sur la forme, mais identique sur le fond. Un troisième et dernier article décrira ce que sera très vraisemblablement l'évolution du conflit actuel entre la Russie et l'OTAN, en utilisant des sources au plus haut niveau.
Boris Karpov
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Le décodage du nom du “Yars” domestique parle de lui-même – “Missile de dissuasion nucléaire”
Partie 1 [Sergueï Karaganov; il s'adresse aux dirigeants de la Russie]

Je partagerai quelques réflexions que je nourris depuis longtemps et qui ont pris forme après la récente Assemblée du Conseil de la politique étrangère et de défense, l'une des plus brillantes de ses 31 ans d'histoire.

Chess

Comment les États-Unis vont-ils réagir à l'échec de la contre-offensive de Kiev soutenue par l'OTAN ?

La contre-offensive de Kiev, soutenue par l'OTAN, est désastreuse, ce que même les grands médias sont contraints de reconnaître après qu'il soit devenu impossible de le nier. CNN a révélé que l'Ukraine avait déjà perdu environ 15 % de ses véhicules de combat d'infanterie Bradley au cours de la première semaine, tandis que Forbes a rapporté qu'environ le même pourcentage de chars allemands Leopard avait été détruit, ainsi que la moitié de ses véhicules blindés si "uniques". Le président Poutine a quant à lui affirmé que 25 à 30 % de l'ensemble des équipements étrangers avaient été détruits.
hjkl
La réélection de Joe Biden dépend du succès de la plus importante campagne militaire menée par l'Occident depuis la Seconde Guerre mondiale, ce qui soulève la question de savoir comment les États-Unis réagiront en cas d'échec.

Eye 2

Meurtres de masse en Ehpad : l'état meurtrier

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L'horreur banalisée sous Macron ("on achève bien les vieux") reste une terrible tache aveugle dans le champ de vision collectif. Il faut pourtant bien appeler un chat un chat, et donc un meurtre un meurtre, fût-il un meurtre de masse et d'état. Émission du 14 juin 2023.

Dollars

« La guerre en Ukraine, c'est la guerre du dollar » (2e partie)

Second volet de notre interview en trois volets consacrée à la guerre en Ukraine avec Oleg Nesterenko. On a coutume de dire que, transposant le fameux aphorisme de Carl von Clausewitz. « L'économie n'est que la continuation de la guerre par d'autres moyens ». Et si elle en était le moteur ? C'est ce que défend le président du Centre de commerce et d'industrie européen (CCIE), un homme rompu aux affaires et à la politique internationale.

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A rebours des médias occidentaux, nous avons fait le choix de lui donner la parole, non pas pour présenter et défendre une certaine vision du conflit, au risque de propagande - ce n'est pas et ne sera pas notre rôle - mais pour que cet autre point de vue permette de mieux éclairer toutes les facettes d'une guerre qui est aussi celle de l'information.

L'Éclaireur - Alors que la question se pose de la fin de la suprématie du dollar, vous dites que la guerre en Ukraine est non seulement la guerre du dollar mais qu'elle n'est pas la première...

Oleg Nesterenko - Je vois que vous faites allusion à mon analyse sur les guerres du dollar, publiée cela fait quelque temps. En effet, ce n'est pas la première, ni même la deuxième, mais la troisième guerre du dollar. La première, c'était la guerre contre l'Irak de Saddam Hussein. La deuxième, celle de la guerre contre la Libye de Kadhafi. Et la troisième, donc, contre Moscou sur le territoire de l'Ukraine, menée sur le territoire d'un État tiers, tout simplement parce qu'on ne peut pas mener la guerre contre les Russes directement chez eux. Et ce n'est que la guerre hybride et par procuration qui peut avoir lieu face à la Russie.

Network

« Sans le coup d'État de 2014, l'Ukraine vivrait en paix » (1re partie)

Attention, publication russophiiiile ! Plus sérieusement, pour la version officielle, la voix de la France, de l'Union européenne, des États-Unis, du Canada, du Japon... bref de l'Occident à propos de la guerre en Ukraine, vous avez l'embarras du choix dans les mass médias. Nous vous proposons d'écouter une autre voix, que l'on n'entend que peu en France, qui n'est pas celle d'un diplomate mais d'un Russe vivant et travaillant dans l'Hexagone depuis des années.
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Oleg Nesterenko connait bien son sujet, lui qui, après avoir enseigné plus de dix ans en école de commerce en France, préside à Paris le Centre de commerce et d'industrie européen. Un centre de soutien et d'accompagnement africano-franco-russe, un peu à la manière des chambres de commerce et d'industrie, dont le cœur de métier est le conseil économique, mais aussi sécuritaire auprès des acteurs politiques et économiques. Ce n'est donc pas le Russe de la rue qui nous a répondu, mais un homme rompu aux affaires et à la politique internationale, et jusqu'en Afrique où il endosse parfois le costume de conseiller politique.

Oleg Nesterenko connait également bien l'Ukraine. Il a été le directeur exécutif d'un institut de recherche scientifique dans l'extrême-ouest du pays, une région pas vraiment russophile, où la mouvance ultra-nationaliste et néonazie est particulièrement active.

Ce qu'il nous dit là, décliné en trois volets, sur le passé, le présent et le futur tel qu'il le voit se dessiner, il dit le tenir de son expérience, de ses échanges et de sources parmi des hauts responsables à Moscou, mais aussi à Kiev, à Donetsk, en Crimée, au sein de l'armée russe comme dans l'armée ukrainienne.

Attention

Le «quatrième tournant» qui définira notre siècle

Les économies européennes sont ébranlées par l'inflation et le spectre de la désindustrialisation, alimentés par la renonciation auto-imposée à toutes les importations d'énergie russe bon marché.
ghjk
Zbig Brzezinski, alors conseiller du président américain (1997), l'a dit sans ambages : « L'Eurasie est le plus grand continent de la planète, et l'Europe est la tête de pont indispensable de l'Amérique dans ce Heartland. Par conséquent, chaque fois que le champ d'action de l'Europe s'élargit, la sphère d'influence des États-Unis s'élargit également ». Et pour ce qui est de la domination de l'Eurasie, il a ajouté : L'Ukraine est l'État clé.