Les Maîtres du Monde
Les USA envisageraient de bombarder la centrale pour la noyer dans l'océan.
L'expert nucléaire Chris Busby a révélé aujourd'hui dans une interview au Alex Jones Show, que les conseillers nucléaires américains et français se sont affrontés sur les mesures d'urgence à prendre à Fukushima.
Selon Chris Busby, la situation serait bien plus tragique que ce que les autorités reconnaissent, et justifient amplement le passage de l'accident au niveau 7. En effet, plusieurs réacteurs seraient à l'air libre et leur réaction hors de contrôle, impliquant un rejet permanent de radionucléides notamment du plutonium provenant du coeur n°3 qui était alimenté au MOX
On dit souvent que les généraux ne voient pas venir les changements et préparent la prochaine guerre comme si elle devait ressembler à la précédente. Il en va de même pour les commentateurs politiques : ils interprètent les nouveaux événements non pour ce qu'ils sont, mais comme s'ils répétaient ceux qui les ont précédés.
Lorsque des mouvements populaires ont renversé Zine el-Abidine Ben Ali en Tunisie et Hosni Moubarak en Égypte, beaucoup ont cru assister à une « révolution du jasmin » [1]et une « révolution du lotus » [2], à la manière des révolutions colorées que la CIA et la NED ont organisées à la chaine depuis la disparition de l'URSS. Certains faits semblaient leur donner raison, comme la présence d'agitateurs serbes au Caire ou la diffusion de matériels de propagande [3]. Mais la réalité était toute différente. Ces révoltes étaient populaires et Washington tentait sans succès de les détourner à son profit. En définitive, les Tunisiens et les Égyptiens n'aspiraient pas à l'American Way of Life, mais au contraire à se débarrasser de gouvernements fantoches manipulés par les États-Unis.
Cela pourrait être le plus grand vol de l'histoire, plus lucratif que les vols les plus fameux de bijoux, d'oeuvres d'art, de banques, d'or ; le plus audacieux et le mieux planifié et jamais exécuté, bien au-delà du maximum imaginé dans les romans et les films, et, jusqu'à aujourd'hui, aucun des responsables n'a été arrêté ni encore moins, jugé.
Pour le moment, c'était le crime parfait. Ce vol continue aujourd'hui, à la face et à la vue de tous, et les responsables et leurs complices ne sont même pas cachés, n'ont pas pris d'autres identités. Presque tout ce qu'ils ont fait est public et connu.
Les documentalistes les plus connus et primés du pays l'ont saisi. Michael Moore a affirmé que devant toute la rhétorique politique sur le fait qu'il faut faire des ajustements pour réduire le déficit et la dette gouvernementale, le fait est qu'il n'y a aucune banqueroute à affronter, puisque « le pays est inondé de richesse et de cash. C'est seulement qu'il n'est pas entre vos mains. Il a été transféré, dans le plus grande braquage de l'histoire, des travailleurs et consommateurs vers les banques et les portefeuilles des super riches ».
"Ce qui est en train de se passer en Syrie découle d'agissements malfaisants de la part de l'Occident, et notamment des Américains et des sionistes", a déclaré Ramin Mehmanparast, porte-parole du ministre iranien des Affaires étrangères, lors de son point de presse hebdomadaire.
"Avec l'aide de leurs médias, ils (les Occidentaux) cherchent à créer un mouvement artificiel de protestation quelque part tout en gonflant les revendications parcellaires d'un groupuscule pour en faire une demande de la majorité", a-t-il dit. "Personne ne devrait être dupe de ce subterfuge téléguidé par l'Amérique".
Il y a presque un an, la Belgique et la France commémoraient le cinquantenaire des « indépendances » africaines. Le géant Congo-Kinshasa était officiellement à la fête chez les Belges ; 17 pays d'Afrique du Nord et de l'Ouest, chez les Français. En ce triste jubilé, l'omission politique des-vérités-qui-dérangent étaient bien sûr de rigueur. Suivie des habituels mensonges servis au dessert : « Il y a en Afrique toutes les formes de gouvernement. La France n'a pas pour vocation de s'ingérer dans les affaires locales ; elle travaille avec les gouvernements reconnus (...) La relation entre la France et l'Afrique ne serait jamais banale, mais elle est en train de devenir normale » (1) ... Tenus en février dernier par l'ex-ministre UMP Jacques Toubon, ces propos confirment l'ampleur de la déconnexion du personnel politique françafricain. Des mots ubuesques émis tandis que la crise électorale ivoirienne battait son plein, que l'État français - lourdement impliqué dans la partition de ce pays d'Afrique de l'Ouest depuis 2002 - réaffirmait son soutien à Allassane Ouattara et que Sarkozy jouait, sur la scène européenne, le barde des sanctions économiques contre Laurent Gbagbo. En termes de « vocation à ne pas s'ingérer », on allait voir pire et beaucoup plus sanglant.
L'une de ses propositions, a-t-il expliqué au journaliste libanais travaillant en France, Nidal Hémadé, avait été suggérée par un homme d'affaires syrien, naturalisé par un pays européen. Il était venu le rencontrer dans un café parisien, accompagné de trois autres hommes, dont en employé d'une chaîne de télévision satellitaire financée par un pays du Golfe. Tandis que les deux autres propositions d'armements ont été formulées par une partie libanaise en rivalité avec les autorités syriennes.
Les parties intéressées par le recours armé contre le régime syrien sont au nombre de trois selon Mannaa :
- des parties syriennes entretenaient des liens étroits avec l'administration américaine ;
- des parties libanaises s'estimant avoir essuyé dernièrement un coup fatidique de la part du régime syrien ;
- Des syriens ayant fait fortune à l'étranger et en animosité avec le régime, sans entretenir aucun lien, ni de près ni de loin avec la situation interne syrienne.

L’attaque israélienne de décembre 2008-janvier 2009 a coûté la vie à plus de 1400 Palestiniens, dont des centaines d’enfants. Cette opération terroriste à grande échelle a été tolérée, cautionnée et dans certains cas épaulée par les puissances occidentales - Photo : Hatem Omar/MaanImages
Au cours des dernières semaines une escalade dans la violence entre Israël et les organisations de la résistance palestinienne dans la Bande de Gaza sous occupation israélienne, ont coûté la vie à plus d'une dizaine de Palestiniens, le plus jeune d'entre eux étant Mahmoud Jalal Al-Hilu âgé de 10 ans.
Cette escalade augmente-t-elle la probabilité d'un autre assaut à grande échelle sur Gaza, semblable à l'opération Cast Lead de l'hiver 2008-2009 qui a tué plus de 1400 Palestiniens ? Il y a des signes inquiétants venant d'Israël - dans les paroles comme dans les actes - qui pourraient préparer le terrain pour une attaque. Le sursaut de violence a pris une autre dimension aux premières heures du 2 avril quand Israël a lancé une attaque aérienne contre la Bande de Gaza, assassinant trois militants de l'aile militaire du mouvement Hamas.
"Laurent Gbagbo a été arrêté par les Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI, pro-Ouattara) et conduit à l'Hôtel du Golf (QG du camp Ouattara) par les FRCI", a déclaré à l'AFP l'ambassadeur de France, Jean-Marc Simon.
M. Gbagbo, 65 ans, au pouvoir depuis 2000, a été arrêté en compagnie notamment de son épouse Simone, considérée comme une "dure" du régime, et de son fils Michel, né d'un premier mariage.
La télévision pro-Ouattara TCI a diffusé des images de l'ex-président, qui était retranché dans sa résidence face à l'offensive des forces pro-Ouattara entrées dans Abidjan le 31 mars, en bonne santé mais l'air visiblement fatigué. Il a selon des sources concordantes été examiné par un médecin.
Lors de sa tournée dans le sud d'Israël, le ministre Aharonovitch a également averti les résidents sur place de se préparer à plus de roquettes depuis la bande de Gaza.
Ses remarques sont intervenues après les tirs de mortier des Palestiniens dans la matinée et à la mort d'un Palestinien par des soldats israéliens alors qu'il s'aventurait près de la barrière entre Gaza et Israël.
"Le ministre a voulu dire exactement ce qu'il a dit, qu'il croit qu'il y aura bientôt une autre guerre avec la bande de Gaza", a déclaré à Xinhua le conseiller en communication d'Aharonovitch.
Depuis que l'OTAN, le 31 mars, a pris le commandement de la guerre en Libye, rebaptisée « Opération protecteur unifié », sa Task force conjointe, dont le quartier général est à Naples, a effectué plus de 1.500 raids aériens, c'est-à-dire plus de 150 par jour. Y participent - avec les chasseurs bombardiers anglais Typhoon, les français Mirage et Rafale, et d'autres avions- des avions étasuniens passés de l'US Air Force à l'OTAN. Parmi ceux-ci les A-10 Thunderbolt et AC-130 Specter, dotés de canons qui tirent jusqu'à 6.000 projectiles à la minute, en majorité à l'uranium appauvri. Participe aussi à l'opération, avec le bombardier stratégique B-2 Spirit d'attaque nucléaire qui a frappé Tripoli avec des bombes non-nucléaires d'une tonne chacune, le sous-marin Uss Florida de la classe Ohio : doté de 24 rampes de lancement pour missiles nucléaires Trident, il est maintenant armé de 154 missiles Tomahawk non-nucléaires (mais avec une tête à l'uranium appauvri) et transporte 100 commandos qui effectuent des incursions en mini-sub.
Tout cela pourtant ne suffit pas. Le contre-amiral britannique Russell Harding, commandant-adjoint de l'opération, a déclaré dans une conférence de presse à Naples que les bombardements aériens et navals ont réduit de 30% la capacité militaire libyenne, rendant l'aviation inopérante, et réduisant fortement les défenses anti-aériennes. Mais il a ajouté que les forces gouvernementales ont recours à des « tactiques non conventionnelles », en se mêlant au trafic routier. Les accusant ainsi d'être eux-mêmes les responsables du fait que les avions OTAN ont touché des forces rebelles, en les prenant pour ennemies.