Les Maîtres du Monde
Le nombre de morts se compte par milliers et non par centaines, a affirmé l'ambassadeur adjoint de la mission libyenne à l'ONU, Ibrahim Dabbashi. D'autres sources évoquent entre 300 et un millier de morts.
Critiqué à l'étranger, attaqué de toutes parts par une opposition armée qui contrôle désormais plusieurs villes, dont tout l'Est, le Guide de la révolution libyenne a pris la parole pour la première fois devant une foule de plusieurs centaines de partisans dans le centre de Tripoli.
Bonjour. C'est James Corbett de corbettreport.com avec la dernière info sur le terrorisme.
Tôt ce mois-ci, dans une interview avec Bloomberg concernant le déroulement des troubles politiques en Égypte, Henry Kissinger a fait au moins une déclaration très révélatrice (regardez à partir de 7:10).
Le fait que Kissinger assimile le nassérisme à du terrorisme est particulièrement pénible pour ceux qui sont encore très familiers de l'histoire de la région. Comme c'est typique dans les déclarations du porte-parole de l'élite * mondiale, la vérité aisément démontrable est précisément le contraire de ce qu'affirme Kissinger. Il pense que son public ignore trop l'histoire pour qualifier cela de mensonge.
[* Ndt : Dans ce contexte, élite veut toujours dire pathocratie.]
Les mouvements de masse qui ont forcé le renvoi de Moubarak révèlent à la fois la force et les faiblesses des soulèvements spontanés.
D'une part, les mouvements sociaux ont démontré leur capacité de mobiliser des centaines de milliers, sinon des millions de personnes, dans une lutte soutenue et menée à bien, culminant par le renversement d'un dictateur et ce, d'une façon dont auraient été incapables - ou peu désireuses - les partis et personnalités d'opposition pré-existants.
D'autre part, vu l'absence de la moindre direction politique nationale, les mouvements n'ont pas été à même de prendre le pouvoir politique et de concrétiser leurs revendications, permettant ainsi au haut commandement militaire de Moubarak de s'emparer du pouvoir et de définir le processus de l'« après-Moubarak » et garantissant de la sorte le maintien de la subordination de l'Égypte aux États-Unis, la protection de la richesse illicite du clan Moubarak (70 milliards de dollars), la pérennité des nombreuses sociétés appartenant à l'élite militaire et la protection de la classe supérieure.
Son allocution a été prononcée au moment où de violents combats entre manifestants anti-Kadhafi et forces loyales au colonel dans les villes de Zaouiyah, à l'ouest de la capitale, et de Misourata, à l'est.
Dans ce message, livré depuis un endroit inconnu, le leader libyen a d'abord présenté ses condoléances aux « enfants de la Libye » qui ont perdu la vie dans les affrontements des derniers jours.
C'est en fait ce qu'ont révélé des témoignages de soldats engagés dans la guerre afghane, a rapporté l'AFP. D'après les multiples témoignages de ces soldats, l'usage de la torture est largement répandu dans l'armée et la police afghanes, mais leurs formateurs de l'Otan, bien qu'informés, ferment souvent les yeux quand ils ne sont pas accusés d'y recourir eux-mêmes, a ajouté l'AFP.
Après la troisième injection, elle avait commencé à enchaîner les pertes de connaissance et cessé de se développer normalement. La plus haute juridiction des Etats-Unis a confirmé une décision de justice précédente qui avait déjà rejeté la plainte des Bruesewitz.
« C'est un massacre - un massacre, » criaient les médecins. Trois morts. Quatre morts. Un homme a été transporté sur une civière dans la salle des urgences, du sang giclant sur le plancher d'une grosse blessure par balle dans la cuisse.
A quelques pas de là, six infirmières tentaient de sauver la vie d'un homme au visage pâle et barbu avec du sang suintant de sa poitrine. « Je dois l'emmener au bloc maintenant, » a crié un docteur. « Il n'y a pas de temps à perdre - il est en train de mourir ! »
D'autres étaient plus proches de la mort. Un pauvre gamin - 18, 19 ans, peut-être - avait une blessure terrible, un trou par balle dans la jambe et une plaie sanglante sur la poitrine. Le docteur près de lui s'est tourné vers moi en pleurant, ses larmes éclaboussant sa blouse tachée de sang. « Une balle a éclaté dans sa tête et je ne peux pas sortir les fragments, et les os du côté gauche de son crâne sont complètement écrasés. Toutes ses artères sont broyées. Je ne peux rien faire. » Le sang coulait en cascades sur le plancher. C'était pitoyable, indigne, scandaleux. Ce n'étaient pas des hommes armés mais des personnes en deuil qui revenaient d'un enterrement, des musulmans chiites naturellement, abattus par leur propre armée hier après-midi.
Bonjour. C'est James Corbett de corbettreport.com avec la dernière info concernant la surpopulation.
En tant qu'êtres humains, nous sommes câblés pour être en permanence à l'affût des dangers potentiels : Ceci est à prévoir. Il y a des milliers d'années, nos ancêtres devaient rester vigilants, quitte à en subir les conséquences, face à la menace des prédateurs naturels, des maladies contagieuses et des intempéries. Aujourd'hui, nous surmontons en grande partie de nombreux dangers naturels qui tourmentaient nos ancêtres, mais les mêmes instincts nous obligent à nous protéger de menaces tant réelles qu'imaginaires, et à écouter les cris des annonceurs de nouvelles menaces possibles.
Cette idée est bien comprise depuis des milliers d'années par ceux qui cherchent à contrôler les populations.
L'hebdomadaire Le Point rappelle d'abord, sur son site internet, que MAM, lorsqu'elle était ministre français de l'Intérieur en 2007, a conclu un accord de coopération avec la police de cette pétro-monarchie du Golfe arabo-persique, qui réprime sauvagement la contestation dans les rues de Manama, la capitale.
In extremis, la France a annoncé ces derniers jours la suspension des livraisons de matériels anti-émeutes (gaz lacrymogènes, matraques, etc.) à Bahreïn et à la Libye. Ce dont ces dictatures se moquent éperdument : qu'ils aient ou pas épuisé leurs stocks d'armes non mortelles, le roi de Bahreïn et le colonel Kadhafi font tirer sur leurs foules à balles réelles, quand ce n'est pas au missile anti-char (made in France ?) comme l'ont rapporté dimanche des médias italiens et israéliens.
Commentaire:
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