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Gear

Syrie - Désinformation massive selon Thierry Meyssan

La propagande visant au renversement du régime syrien en préparation de la guerre néo-sioniste contre l'Iran se poursuit, et les attentats d'Al CIA Qaïda ont fait 30 nouvelles victimes ces dernières heures à Damas, tandis qu'un diplomate en fonction dans les Emirats confirme, sous couvert d'anonymat, que l'Arabie Saoudite (patrie de Ben Laden faut-il le rappeler ?) fait transiter des armes aux rebelles pro-NWO...


Audio-Vidéo de la mi-mars 2012 : Au micro d'une radio iranienne, Thierry Meyssan présente une situation en Syrie à des années lumières de la propagande quotidienne des grands médias alignés - Youtube

USA

L'Inde menacée de sanctions par les USA


Eye 1

Un centre d'espionnage gigantesque en construction aux Etats-Unis

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© WiredCapture de Wired.com
Dans la petite ville de Bluffdale, au creux d'une vallée reculée de l'Utah, cœur du pays mormon américain, la National Security Agency (NSA) construit actuellement le plus grand centre de collecte et d'analyse de données des Etats-Unis, auquel le magazine Wired consacre sa couverture cette semaine.

Ce centre puissamment gardé devrait être opérationnel en septembre 2013. La NSA a consacré 2 milliards d'euros au chantier, qui doit permettre d'abriter quatre halls à serveurs de 2 300 mètres carrés chacun, plus 8 hectares de bâtiments destinés au support technique et à l'administration du site. L'ensemble sera complètement autosuffisant. Des réservoirs d'essence seront capable d'alimenter des générateurs de secours trois jours durant ; des installations de pompage d'eau pourront produire 6,4 millions de litres d'eau par jour, un système d'égouts et d'air conditionné aidera à maintenir ces serveurs à une température raisonnable. L'électricité sera fournie par une station autonome de 65 mégawatts, pour un coût total énergétique de 40 million de dollars par an (30 millions d'euros), selon une estimation publiée par Wired.

L'objectif de cette Babel du renseignement est de capter, décoder et analyser des données issues de communications classiques (courriels, conversations téléphoniques, recherches sur Google), de tous types de données personnelles (factures de parking, itinéraires de voyages, achats en librairies...) et de données issues du "Web profond", non directement accessible (informations financières, transactions boursières, accords commerciaux, communications militaires et diplomatiques étrangères, documents légaux, informations personnelles confidentielles...).

Commentaire: Quel degré de désinformation ? Si la NSA annonce officiellement qu'une "percée technologique" a été faite, il y a de bonnes chances que celle-ci est été faite en vérité depuis trèèèès longtemps.


Vader

Meilleur du Web: Plusieurs soldats auraient participé au massacre des 17 civils afghans

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De nombreux reportages réfutent la thèse voulant que le massacre de 17 civils afghans dimanche dernier soit l'œuvre d'un seul et unique tireur fou.

Le réseau iranien Press TV rapporte que « les forces étasuniennes ont ouvert le feu sur des civils afghans à l'intérieur de leurs domiciles » et que les résidents du village où la tuerie a eu lieu ont affirmé que « les forces étasuniennes ont ramassé par la suite 11 corps, dont ceux de quatre filles âgées de moins de six ans, et les ont brûlés ». ('US forces burned bodies of Afghans after massacre', Press TV, 12 mars 2012.)

Le PakTribune, un média pakistanais, rapporte également que des corps d'enfants ont été brûlés par des soldats étasuniens :
Un père afghan, affirmant que ses enfants ont été tués dans la folie meurtrière, a accusé des soldats d'avoir brûlé leurs corps après la tuerie. Des témoins ont déclaré à Reuters avoir vu un groupe de soldats étasuniens arriver vers 2 heures du matin dans leur village du district de Panjwai dans la province de Kandahar, entrer dans des maisons et ouvrir le feu. (US soldier opens fire, kills 16 Afghan civilians, PakTribune, 12 mars 2012.)

Cult

D'un ex journaliste d'Al Jazeera: « Il n'y a plus de journalisme indépendant »

Traduit par Résistance 71

Les chaînes de télévision se sont transformées en partis politiques, poussant l'agenda de forces extérieures, a dit à RT l'ancien correspondant de la chaîne Al Jazeera à Beyrouth, Ali Hashem. Hashem s'est vu être mis sous les feux de la rampe après avoir démissionné de la chaîne de télévision citant sa partialité dans la couverture de l'information.

Dans des courriers électroniques fuités par des hackers syriens, Ali Hashem laissait passer sa colère contre la couverture unidimensionnelle d'Al Jazeera sur la Syrie et son refus de couvrir les évènements de Bahreïn. Dans une interview exclusive avec RT, l'ancien correspondant à Beyrouth Hashem n'a pas voulu en dire plus sur sa démission, mais a insisté sur le fait que de nos jours, l'idée que les médias sont indépendants est un mythe.

"Il n'y a plus de médias indépendants. Tout est fait pour l'agenda de ceux qui paient, financent le média", a t-il dit. "La politisation des médias veut dire qu'aujourd'hui, ceux-ci sont des partis politiques. Tout le monde prend partie, se bat pour son point de vue et utilise tous les outils et moyens possibles à leur disposition afin que leur vue touche le plus grand nombre possible."

Dollar

L'arnaque du prix de l'essence

Explication illustrée de l'arnaque du prix de l'essence.


Vader

L' Australie conduit une guerre secrète en Afrique


C'est la première fois que l'Australie coordonne des actions secrètes en temps de paix de ses services de renseignement avec une unité militaire. Cette évolution suit celle des États-Unis qui font désormais travailler ensemble la CIA et le Commandement des opérations spéciales dans des États avec lesquels ils ont officiellement des relations pacifiques.

L'Australie avait assisté les Etats-Unis durant l'attaque de l'Irak, en 2003, et les SAS avaient été les premières troupes étrangères à entrer au sol, pour fixer les cibles des bombardements.

Selon les quotidien, les SAS australiens du 4ème escadron auraient reçu en Afrique principalement des missions de repérage et d'exfiltration de ressortissants australiens victimes de groupes terroristes.

Wall Street

« Pourquoi je quitte Goldman Sachs »

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Le directeur général de Goldman Sachs, Lloyd C. Blankfein, témoigne devant une sous-commission du Sénat américain en juin 2010, dans le cadre d'une enquête sur le rôle des banques d'investissement dans la crise financière de 2007. Chip Somodevilla/Getty Images/AFP
Greg Smith n'est pas un banquier anarchiste. Directeur exécutif chargé des marchés des produits dérivés en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique pour la banque d'affaires Goldman Sachs, il a cru pendant près de douze ans à l'intégrité de son entreprise. Mais aujourd'hui, il démissionne et, démarche rare dans cette institution puissante et secrète, il annonce son départ avec fracas, dans une tribune publiée mercredi par le New York Times, en dénonçant un fonctionnement de l'entreprise "plus toxique et destructif que jamais".

M. Smith ne dit pas grand-chose des agissements cyniques de la banque révélés lors de la crise financière de 2008, de son système d'influence (lien abonnés), de la coexistence problématique en son sein d'activités de montages financiers classiques et de spéculation immodérée.

Non, M. Smith est inquiet pour ses clients, à tel point qu'il "n'arrive plus à regarder les stagiaires dans les yeux" lorsqu'il leur vante le travail de sa banque. Il accuse les responsables de Goldman Sachs de "mettre de côté" les intérêts de leurs clients, de les considérer comme des vaches à lait imbéciles et de ne plus chercher qu'à s'enrichir sur leur dos. Il blâme directement le directeur général de la banque, Lloyd C. Blankfein, et son président, Gary D. Cohn, pour avoir laissé s'installer cette culture, qui ne peut mener l'entreprise qu'à sa perte, selon lui. "Des gens qui se préoccupent uniquement de faire de l'argent ne peuvent maintenir cette entreprise à flots - ou garder la confiance de leurs clients - pour encore bien longtemps", écrit-il.

Dollar

Les BRICS sur le point de lâcher le dollar

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Le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud ont l'intention non seulement de réduire la part de la monnaie américaine dans leurs transactions, mais ils veulent aussi passer à un système de crédits mutuels en monnaies nationales.L'accord entre les membres du groupe pourrait être signé lors du prochain sommet à New Delhi, le 29 mars prochain.

Les tentatives des pays BRICS à réduire l'utilisation du dollar sont tout à fait fondées et ne portent pas de risques importants, considèrent les experts russes. Le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud ont l'intention non seulement de réduire la part de la monnaie américaine dans leurs transactions, mais ils veulent aussi passer à un système de crédits mutuels en monnaies nationales.L'accord entre les membres du groupe pourrait être signé lors du prochain sommet à New Delhi, le 29 mars prochain. Les experts notent que le refus des transactions en dollars deviendra une étape importante du point de vue de développement des pays BRICS.

C'est la Chine qui est l'initiateur de ce genre de «retrait» de la monnaie américaine. Car Pékin qui est à l'heure actuelle le plus grand détenteur des réserves en dollars. Et l'Empire du Milieu tente de réduire les risques potentiels associés à la position de l'économie américaine. La dette nationale des Etats-Unis a déjà dépassé 15 trillions de dollars, et la monnaie en soi était émise de façon presque incontrôlable au cours de ces dernières années. Dans ce contexte, l'initiative de Pékin est tout à fait compréhensible et logique, explique l'économiste Alexandre Ossine dans un entretien à Voix de la Russie.

Star of David

Ces soldats qui brisent la loi du silence

« Je vais vous dire quand j'ai vraiment flippé. On était en train d'intervenir à Gaza ; on se trouvait dans une tranchée et des enfants se sont approchés et ont commencé à nous lancer des pierres. Les instructions stipulaient que lorsqu'il [un Palestinien] se trouve dans un périmètre où il peut nous toucher avec une pierre, il peut aussi nous atteindre avec une grenade ; alors je lui ai tiré dessus. Il devait avoir entre 12 et 15 ans. Je ne pense pas l'avoir tué, j'essaie de m'en persuader pour avoir l'esprit tranquille, pour mieux dormir la nuit. J'ai flippé lorsque, pris de panique, je suis venu raconter à mes amis et à ma famille que j'avais visé quelqu'un et que je lui avais tiré dans la jambe, dans le derrière. Ils étaient tout contents : je suis devenu un héros, et ils ont tout raconté à la synagogue. Moi, j'étais en état de choc (1). »

« Que vouliez-vous que les parents de ce soldat disent à leur fils ?, interroge M. Avihai Stoler, un ancien soldat qui a recueilli certains témoignages du livre Occupation of the Territories. « Ne t'inquiète pas, fiston ; tu as tué un gosse, et alors ? » Les parents préfèrent ne pas s'intéresser à son tourment.