Les Maîtres du MondeS


MIB

Désinformation sur l'affaire Mérah : « services secrets incompétents »


Commentaire : Ces derniers jours les médias de masse reprennent en cœur une vaste opération de "damage control". Les Français ayant noté de nombreuses incohérences dans la thèse officielle relative à l'affaire Mérah, il était nécessaire de faire front et d'offrir une nouvelle théorie permettant d'expliquer lesdites incohérences et détourner l'attention suspicieuse d'un nombre grandissant de Français.

L'interviewé, évidemment expert du secteur du renseignement (ce titre étant censé augmenter sa crédibilité aux yeux du lecteur) invoque l'incompétence des services de renseignement français pour expliquer que Mérah n'ait pas été surveillé après ses nombreux voyages au Moyen-Orient.

Évidemment, il ignore nombre d'autres questions bien plus dérangeantes au sujet de cette affaire. Selon Sott.net les services de renseignement français ont bien fait leur travail, du moins aussi bien que la CIA avec son bouc-émissaire Lee Harvey Oswald.

Si les services de renseignement français ont péché, ce n'est pas dans la manière de gérer Mérah mais dans la mise en scène grandguignolesque des assassinats et de l'assaut final. Dans ce domaine, un stage de formation intensive des cadres de la DCRI auprès des experts du Mossad devrait être organisé de toute urgence.

Info

Mort de Richard Descoings, directeur de Sciences-Po Paris : ce que les grands médias ne vous diront pas

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Nicolas Sarkozy salue la « carrière exceptionnelle d'un grand serviteur de l'Etat »
"En 2004, il a également signé un accord de coopération avec l'université de Tel-Aviv et n'a cessé de renforcer le partenariat avec Israël. Il appartient d'ailleurs au comité d'honneur de l'Association des amis français de l'université Ben Gourion de Tel Aviv. Après son voyage, il présentera une vision idyllique (Actualité juive, 19 mai 2005) : « A un passage entre Israël et les territoires, il y avait, certes, une guérite avec des militaires armés, mais on ne s'est même pas arrêté. On pourrait parler d'une sorte de simplicité qu'on ne voit jamais sur les écrans de télévision. J'ai vu aussi, entre Jérusalem et Tel-Aviv, que les colonies de peuplement étaient souvent dans la continuité d'agglomérations qui sont en territoire israélien. C'est évidemment douloureux de voir le mur qui traverse certains quartiers de Jérusalem, etc. » En juin 2005, il organisera même une Journée franco-israéliennes à Sciences-Po à l'initiative de l'Union des étudiants juifs de France."

(...)

Très proche de Guillaume Pépy, énarque, aujourd'hui directeur de la SNCF, qui fut son témoin de mariage, il a épousé, le 27 mai 2004, à la surprise générale, avec son « égérie » (Le Nouvel économiste), Nadia Marik, à qui il avait fait passer le « grand oral » de l'Ena. En effet, il n'hésitait pas jusqu'alors « à déclarer en amphi qu'il était "le premier pédé de Sciences-Po" » (Le Point, 9 mars 2007)"

USA

Obama a-t-il signé un décret de loi martiale ?

Le 16 mars dernier, Barack Obama a signé en toute discrétion un "ordre exécutif" lui octroyant le pouvoir de réquisitionner les ressources en énergie, en eau, en capacité de production, en nourriture, dans le cas d'une urgence nationale aux Etats-Unis, mais aussi, et cela fait peur à beaucoup, en temps de paix. Après le vote en décembre 2011 de la loi National Defense Authorization Act (NDAA) permettant à l'administration américaine d'emprisonner indéfiniment et sans procès tout citoyen américain soupçonné de représenter une menace pour le pays, ce nouvel ordre exécutif, en plus de ridiculiser l'institution du Prix Nobel de la Paix, est interprété par certains comme le signe de la préparation des USA à un conflit avec l'Iran.
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Obama a-t-il signé un décret de loi martiale ?

Source RussiaToday, le 19 mars 2012

Traduction GV pour ReOpenNews


A l'heure où les gens s'apprêtaient à profiter des Happy Hours vendredi dernier, le président Obama apportait sa signature au bas d'un ordre exécutif qui pourrait bien lui fournir le pouvoir d'instituer la loi martiale aux États-Unis en temps de paix, ou pour faire face à une menace nationale.

L'ordre exécutif sur la préparation des ressources de la Défense nationale (National Defense Resources Preparedness Executive Order) donnera à Obama « le pouvoir de superviser les ressources et les services nécessaires pour appuyer de tels plans et de telles politiques. »

USA

Washington et la déstabilisation politique de l'Afrique : Après le coup d'État, une guerre séparatiste menace le Mali

Traduction : Julie Lévesque pour Mondialisation.ca

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KUALA LUMPUR - Alors que la communauté internationale et les membres voisins de la Communauté économique des États d'Afrique occidentale (CEDEAO) condamnent le coup d'État militaire au Mali, mené par des protagonistes inexpérimentés, des milliers de personnes ont pris les rues de la capitale malienne de Bamako en appui à la nouvelle junte. Les citoyens brandissaient des pancartes et des banderoles affichant: « À bas la communauté internationale » et « À bas Sarkozy », en chantant des slogans à la gloire du chef de la junte, le capitaine Amadou Sanogo. [1]

Bien que Sanogo ait visité les États-Unis à plusieurs reprises après avoir été choisi par le Pentagone pour participer à un programme international d'éducation et d'entraînement militaire parrainé par le département d'État étasunien [2], les représentants des États-Unis ont appelé les dirigeants du coup d'État au Mali à démissionner et permettre la tenue d'élections.

Question

L'étrange mort subite de Richard Descoings, patron de Science Po richement doté

Décidément, les hôtels new-yorkais ne réussissent pas aux élites de la zone France, du moins à certaines d'entre elles :

Un peu comme le Directeur du FMI DSK qui avait chuté dans l'hôtel Sofitel de New York avec l'affaire de la soubrette prétendument abusée, c'est cette fois-ci dans l'hôtel Michelangelo de New York, à Manhattan, que le Directeur en exercice de Science po a chuté.

Une chute médiatique pour le premier, mais fatale pour le second.


Vidéo : Le réformateur de Science Po retrouvé mort à New York dans des circonstances étranges - EuroNews par Youtube

Star of David

Début d'un entraînement militaire israélien pour une nouvelle attaque sur Gaza

Traduction : MR pour ISM

Le chef d'Etat-Major de l'armée israélienne, Benny Gantz, a ordonné le démarrage d'un entraînement militaire pour des opérations dans la Bande de Gaza, a révélé le journal Ha'aretz dimanche.
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Le quotidien en hébreu a cité le Major Yariv Ben-Ezra, commandant du bataillon 50 de la brigade Nahal, qui est stationnée à la frontière avec Gaza, disant que les brigades d'infanterie devraient avoir terminé leur préparation pour ces exercices rapidement.

Il a souligné que la nature des opérations de la résistance avaient changé depuis la libération du caporal Shalit en octobre dernier.

Black Cat

Goldman Sachs finance la prostitution des mineures

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Goldman Sachs, la plus pourrie des banques. Au menu du jour, le trafic des prostituées mineures. L'info ne vient pas d'un site alter, allumé à l'anti-US primaire, mais du New York Times de ce samedi, et sous la signature d'un journaliste de renom, Nicholas D. Kristof.

Kristof écrit : « La plus grande plateforme du trafic sexuel de jeunes filles mineures aux Etats-Unis semble être un site Internet appelé Backpage.com ». Ce site gère les annonces pour les escort girl. Mais écrit Kristof, Backpage joue un rôle majeur dans la prostitution des mineurs. Le journaliste fait état de nombreuses démarches de la justice et de parlementaires, et il évoque notamment une affaire judiciaire en cours à New York concernant une jeune fille de 15 ans « droguée, ligotée, violée et vendue à travers Backpage »

Ce véritable magasin de femmes et de fille est la propriété de la société Village Voice Media, et comme pour nombre de sociétés US, il est difficile d'en connaitre les propriétaires. C'est sur cette question que Kristof a enquêté... et a trouvé : « Nous avons résolu le mystère. Il apparaît que les vrais propriétaires incluent des sociétés financières, parmi lesquelles figure Goldman Sachs dans une proportion de 16% ».

Star of David

La triple alliance contre la Syrie

Alors que l'aile médiatique du dispositif pour la guerre en Syrie conforme sa version des événements au storytelling de l'OTAN, la réalité documentée sur le terrain est toute autre. Pour le professeur James Petras, il ne s'agit pas d'une guerre civile, mais d'une attaque coordonnée menée par une coalition internationale. Le gouvernement syrien ne réprime pas des manifestants pacifiques, mais combat les groupes armés des mercenaires d'Al-Qaïda.
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Quelques-unes des armes saisies lors de la libération du quartier de Baba Amr à Homs.
L'indignation exprimée par les politiciens occidentaux, les États du Golfe ainsi que par les médias au sujet du « massacre des citoyens syriens manifestant pacifiquement contre l'injustice » est cyniquement conçue pour couvrir les rapports établis sur la conquête violente de quartiers, de villages et de villes entières par des bandes armées, brandissant des fusils d'assaut et semant des bombes le long des routes.

L'assaut contre la Syrie est soutenu par des fonds, des armes et un encadrement étrangers. Du fait du manque de soutien à l'intérieur du pays, une intervention militaire directe provenant de l'extérieur sera de toute façon nécessaire pour assurer le succès de l'opération. C'est dans cette perspective qu'une immense campagne de diplomatie et de propagande a été mise en place afin de diaboliser le gouvernement légitime en Syrie. L'objectif est d'imposer un régime fantoche et de renforcer le contrôle impérial de l'Occident au Moyen-Orient. À court terme, cela permettra d'isoler l'Iran en prévision d'une attaque par Israël et les États-Unis et, à long terme, on élimine de nouveau un gouvernement laïque, indépendant, et proche de la Chine et de la Russie.

Afin de mobiliser l'opinion publique mondiale derrière ce coup de force des Occidentaux, d'Israël et des États du Golfe, plusieurs stratagèmes de propagande ont été utilisés, justifiant une nouvelle fois la violation flagrante de la souveraineté d'un pays, dans le prolongement des destructions réussies des gouvernements laïcs d'Irak et de Libye.

Cult

La famille de Mohamed Merah nie que celui-ci soit le tueur de Toulouse

La famille de Mohamed Merah, celui que la police française accuse des fusillades meurtrières de Toulouse et Montauban entre le 11 et le 19 mars, a catégoriquement nié qu'il soit un terroriste ou qu'il ait perpétré les tueries. Merah a été tué jeudi 22 mars par une unité du corps d'élite de la police après un siège de 32 heures de son appartement.

Son demi-frère Rachid Merah qui vit en Algérie a dit à France Info: «Je n'ai aucune idée de ce que disent les médias et les politiciens français sur Mohamed. Ils disent que Mohamed a été en Afghanistan et au Pakistan et qu'il a été en contact avec Al Qaida. Mais ça, je le nie formellement. Et je doute qu'il ait eu un lien avec Al Qaieda ou les Talibans ou n'importe quelle organistion terroriste dans le monde. Et ce qui prouve ça, c'est que la France l'a tué avant qu'il ne puisse parler devant la justice, alors qu'ils auraient pu l'attraper vivant. »

Les déclarations de Rachid Merah viennent après que des questions similaires ont été soulevées par des experts de la police, tel Claude Prouteau du GIGN (Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale) qui a fait remarquer que l'unité de police spéciale qui a tué Merah aurait pu aisément le capturer vivant. Au lieu de cela, la police a pris d'assaut l'appartement de Merah et l'a tué sous une pluie de près de 300 balles. Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant avait néanmoins affirmé que tout serait fait pour capturer Merah vivant de façon à ce qu'il puisse être jugé.

Dollar

Les BRICS lâchent le dollar

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Les pays du bloc des BRICS (1) regroupant le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud, ne devraient plus utiliser le dollar américain dans leurs échanges bilatéraux. C'est ce qui a été décidé au terme 4e sommet des dirigeants de ces cinq pays, jeudi dernier dans la capitale indienne. Un document intitulé "Déclaration de Delhi" a été adopté par les BRICS dont les banques centrales ont signé, rapporte l'agence de presse Xinhua (2), « un accord-cadre sur les facilités de crédit entre les monnaies des cinq pays et une convention multilatérale de confirmation des facilités de crédit au sein des BRICS ».

Selon la même source, les deux accords consacrent le principe d'une coopération bilatérale dans un cadre multilatéral, afin de promouvoir les activités liées au commerce, aux services et aux investissements dans les monnaies nationales des cinq pays membres à l'intérieur de leurs frontières. Les BRICS peuvent ainsi utiliser leur propre monnaie dans le cadre des échanges commerciaux, des investissements bilatéraux et des activités de financement, ce qui pourrait, à terme, leur permettre de réduire leur dépendance par rapport au dollar américain, d'éviter les risques liés à la fluctuation des devises internationales et de réduire leurs frais commerciaux.