Les Maîtres du MondeS


Bad Guys

Insurgés syriens : les connexions américaines et israéliennes, encore et encore

Nouvelles révélation publiées par WikiLeaks, révélant les connexions américaines et israéliennes de l'insurrection syrienne :

Ce n'est pas seulement la société Black Water qui lui offre ses services mais aussi deux autres sociétés de sécurité américaine. C'est ce que révèle la messagerie piratée du centre d'intelligence américain Stratford, rapporté par le site en ligne AlHakika, de l'opposition syrienne.

Font l'objet de cette « prise en charge » américaine les insurgés syriens résidents en Turquie, en l'occurrence le Conseil national syrien (CNS) et son bras armé l'Armée syrienne libre (ASL).

Le SCG international fait partie de ces sociétés, comme le dévoile une messagerie signée par son directeur exécutif Jamie Smith, datant du mois de décembre, avant que les Hackers n'attaquent le site et ne confisquent ses dizaines de milliers de ses messageries. Selon le site Wikipédia, cette société traite avec quelques 1.200 clients dans au moins 14 pays. Elle a fait partie des quelques sociétés américaines privées qui ont participé à l'invasion de l'Afghanistan et des sociétés qui ont contribué à l'entrainement des forces armées irakiennes et afghanes.

USA

La guerre en Libye est toujours en cours

On a récemment fêté le premier anniversaire du début de la révolution. Il y a quelques mois, le Secrétaire général de l'OTAN, Rasmussen, a annoncé que la 'mission' en Libye a été « une des missions les mieux réussie de l'histoire de l'OTAN ». Cependant, dans beaucoup d'endroits dans le pays, des milices armées règnent de sorte que les tensions et la violence augmentent.
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© Dessin : Gervasio Umpiérrez
L'opération Unified Protector (Protecteur Unifié), comme l'on a nommé la guerre de l'OTAN contre la Libye, a officiellement pris fin le 31 octobre 2011. Nous pouvons lire sur le site web de l'OTAN que « la mission de l'Alliance de protéger les civils contre des attaques ou des menaces a ainsi été achevée ».

Cela fait penser un peu au moment mémorable le 1 er mai 2003 où le président Bush prononce trop vite les mots 'mission accomplie' de son porte-avions Abraham Lincoln. Le régime de Saddam Hussein était tombé. Toutefois, quelques années plus tard il semblera que le pays s'était retrouvé dans un chaos avec de nombreux massacres.

Depuis que la mission a réussi avec 'succès', on constate le silence du côté de l'OTAN. Quatre mois après la changement de pouvoir, il semble que la Libye est tombée dans les mains des centaines de milices qui ont pris les rênes. Le problème est connu dans les quartiers généraux de l'ouest, mais on préfère ne pas trop en parler. Il s'agit de milices soutenues et même armées par l'OTAN et ses alliés dans leur combat contre le régime libyen. Quand le ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders, a rendu visite au pays au début du mois de février, il a promis de libérer des fonds pour aider au désarmement. D'après ce qu'on dit, le ministre trouvait qu'il était trop dangereux d'y passer la nuit et donc il a continué son voyage vers Tunis.

Star of David

Le mystérieux déplacement de Mohamed Merah en Israël

Alors qu'Israël a interdit l'accès à son territoire à plusieurs militants des droits de l'homme, dont le seul tort est de défendre la cause palestinienne, Mohamed Merah qui était fiché notamment en France, a pu se rendre en Israël, selon une information divulguée dans un article du Monde: "En revanche, un officier supérieur américain, en poste à Kandahar, a assuré au Monde, mercredi, que sur le passeport de l'intéressé figurait un certain nombre de tampons révélant ses derniers déplacements. Le plus ancien mentionnait sa présence en Israël, puis en Syrie, en Irak et en Jordanie. Avant d'être arrêté, il se serait rendu au consulat d'Inde à Kandahar en vue d'obtenir un visa pour se rendre dans ce pays."

Une question se pose: que faisait Mohamed Merah en Israël?

Pistol

La France championne européenne de la vente d'armes à l'Arabie Saoudite

Selon un article de la revue allemande Der Spiegel, l'Union européenne est le plus important exportateur d'armes vers l'Arabie Saoudite. De tous les membres de l'Union, la France arrive au premier rang des exportations avec 2168,6 millions d'euros en 2010. En seconde position, loin derrière, vient l'Italie avec 435,3 millions d'euros, devançant la Grande-Bretagne avec 328,8 millions d'euros en exportations.
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En armant le royaume saoudien, les membres de l'Union transgressent les règles européennes sur le contrôle des exportations, rappelle Der Spiegel citant la section du règlement sur la non-prolifération et le désarmement intitulée Contrôles des exportations à des fins de sécurité II - Équipements militaires, laquelle stipule :
[...] les États membres [sont] déterminés à empêcher les exportations de technologie et d'équipements militaires qui pourraient être utilisés à des fins indésirables telles que la répression interne ou l'agression internationale, ou pour contribuer à l'instabilité régionale.
Or, une partie des armes que les pays de l'Union ont vendues à l'Arabie Saoudite se sont ultimement retrouvées dans les mains de « rebelles » libyens et syriens, contribuant ainsi considérablement à l'agression internationale et à l'instabilité régionale : « L'Arabie Saoudite et surtout le Qatar ont contribué au développement des événements en Syrie et en Libye en fournissant des armes, un appui financier, des combattants clandestins, ainsi qu'un appui diplomatique solide aux soi-disant "conseils de transitions". »

Eye 1

Un répertoire d'identifiants pour tous les élèves

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Le gouvernement a créé ce répertoire d'identifiants par arrêté ministériel. | AFP/JOEL SAGET
Elèves, étudiants, apprentis : tous seront listés dans ce gigantesque répertoire d'identifiants. Le gouvernement a créé cette grande base de données par arrêté ministeriel, publié vendredi au Journal officiel .

Le Répertoire national des identifiants élèves, étudiants et apprentis (RNIE) fournit une immatriculation unique et nationale à chacun. Il doit permettre de "mieux évaluer l'efficacité du système éducatif, tout en offrant à ses différents acteurs des indicateurs de pilotage de meilleure qualité", a annoncé dans un communiqué le ministère de l'éducation nationale. Celui-ci sera notamment "en mesure de suivre des cohortes d'élèves et de mener des études sur ces cohortes afin de mieux évaluer les politiques éducatives qu'il met en place".

Alors que les critiques contre les fichiers informatiques sont nombreuses depuis 2007, le communiqué précise que "les ministères concernés mettent en œuvre toutes les procédures garantissant la confidentialité des informations". D'abord, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) a "délivré un récépissé de la déclaration du RNIE en date du 6 octobre 2011", explique le ministère. Les informations seront ensuite détruites une fois l'élève sorti définitivement du système éducatif selon ce fonctionnement.

Cult

La police française dans une confrontation armée avec un présumé tireur armé

Hier soir (le 22 mars), la confrontation armée entre Mohamed Merah, tireur présumé d'une série de fusillades dans le midi de la France, et des unités d'élite de la police s'est poursuivie à Toulouse. Les responsables officiels affirment qu'il est responsable de la mort de sept personnes lors de trois attentats commis depuis le 11 mars - trois parachutistes dans deux attentats à Toulouse et, à quelques kilomètres de là, à Montauban ainsi que quatre civils lors de l'attaque d'une école juive Ozar Hatorah lundi à Toulouse.

Une unité du Raid (Recherche Assistance Intervention Dissuasion) a attaqué Merah dans son appartement hier, peu après 3 heures du matin. Il a riposté à l'arme à feu en blessant apparemment deux policiers. Après une journée de confrontation, la police a attaqué à nouveau l'appartement vers minuit en faisant sauter une porte et en créant une brèche dans le mur.

Les autorités croient que Merah, âgé de 23 ans, est proche d'al Qaïda. Elles insistent pour dire qu'il a commis les tueries tout seul. Sur la base de rapports totalement contradictoires circulant dans les médias, on ne sait toutefois pas si ces rapports sont vrais.

Physiquement, Merah n'a guère de ressemblance avec les descriptions faites par les témoins oculaires de l'auteur de la fusillade à Montauban. Les témoins ont dit que le tireur était « corpulent ». Ils ont aussi dit qu'ils avaient vu un tatouage et une cicatrice sur sa joue gauche lorsque la visière de son casque s'était brièvement relevée. Les images de Merah publiées par les médias représentent toutefois un jeune homme svelte n'ayant ni barbe ni tatouage.

Red Flag

Meilleur du Web: A Mini-11 Septembre en zone France, Mini-Patriot Act en zone France ?

Dès le début de cette triple tuerie de Toulouse, une ombre étrange planait sur cette affaire : Le Timing en pleine campagne électorale, la personnalité du terroriste, les cibles visées, les enjeux liés au Moyen Orient et au Nouvel Ordre mondial, le siège tragi-comique du forcené et le dénouement très attendu dans l'assaut final, après 30 heures (presque) inutiles, tout dans cette horrible affaire ramenait au 11 Septembre 2001, avec une magnitude bien plus faible, mais avec un but précis :

Faire basculer l'opinion publique française qui est l'une des seules opinions publiques (avec l'Allemagne) à ne pas avaler dans son ensemble tout cru les bobards des Etats-Unis et des élites néo-mondialistes sur le Moyen Orient et le Nouvel Ordre Mondial.

Il ne manquait plus qu'un mini-Patriot Act pour finaliser ces bien étranges attentats qui servent avant tout et surtout les élites néo-mondialistes, voilà qui est fait :


Vidéo : Après le Mini-11 Septembre de Toulouse, Nicolas Sarkozy annonce un Mini-Patriot Act pour la zone France (et ensuite l'Europe ?) - Youtube

Wall Street

Merah était interdit de vol aux États-Unis

(Extrait) Mohamed Merah, le principal suspect des tueries de Montauban et Toulouse, abattu ce jeudi par les hommes du RAID après 31 heures de négociations, était interdit de vol au États-Unis selon CNN.

Magic Wand

Aucune trace du séjour de Mohamed Merah en Afghanistan et Pakistan

"Le Pakistan et l'Afghanistan, mais aussi les forces américaines et celles de l'Otan dans ce pays, assurent n'avoir aucune trace des séjours de Mohamed Merah, contrairement aux déclarations des autorités françaises", a rapporté jeudi l'AFP.

Aucune trace du séjour "du tueur de Toulouse" n'a été retrouvée dans ces pays. Même les forces américaines, fortement présente dans cette région du monde, n'ont trouvé aucune trace du séjour de Mohamed Merah dans un camp d'entraînement djihadiste. Et pourtant, le procureur de la République de Paris, François Molins, avait évoqué un séjour en Afghanistan - en 2010-, et au Pakistan pour deux mois en 2011.

Intercepté lors d'un contrôle routier par la police afghane, il avait été remis aux militaires Américains qui l'avaient renvoyé en France par le premier avion, selon lui. «De la mi-août à la mi-octobre 2011», il s'est rendu, au Pakistan cette fois, un séjour écourté car il a contracté l'hépatite A.

Gear

Meilleur du Web: Attaques terroristes en France : Tous les stigmates d'une opération psychologique des services de renseignement et d'actions fausses-bannières

Traduit par Résistance 71

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Mohamed Merah, le suspect dans les meurtres de sept personnes dont celles d'une école juive de Toulouse, France, correspond au profil d'un membre d'Al Qaïda manipulé par les services de renseignement. D'après la BBC, il était sur le radar des autorités françaises à cause de ses visites en Afghanistan et dans le "nid à militants" de la province du Waziristan au Pakistan. De manière plus spécifique, Merah était contrôlé par la DCRI française "depuis des années", d'après les dires de Claude Guéant, ministre de l'intérieur français.

Merah, un citoyen français d'origine algérienne, a été arrêté le 19 Décembre 2007 et condamné à trois ans de prison pour avoir posé des bombes dans la province du sud Afghanistan de Kandahar. En Avril 2011, les Etats-Unis ont admis avoir opéré des prisons militaires secrètes en Afghanistan où des suspects de terrorisme étaient détenus et interrogés sans avoir été inculpés de quoi que ce soit.

Le tristement célèbre centre de détention de la base aérienne de Bagram est géré par le Joint Special Operation Command et le Defense Counterintelligence and Human Intelligence Center (DCHC). Celui-ci "est responsable de développer une capacité d'opérations offensives de contre-espionnage pour le ministère de la défense, qui pourrait comprendre des efforts pour pénétrer, corrompre et mettre hors d'état de nuire, des activités du renseignement des forces étrangères, dirigées contre les Etats-Unis", rapporta Secrecy News en 2008 après que le gouvernement ait annoncé la création du DCHC.