Les Maîtres du Monde
Il y a des objectifs stratégiques, géopolitiques et économiques derrière le génocide israélien dirigé contre le peuple palestinien.
Qui sont les auteurs ?
Cui Bono : « Les crimes sont souvent commis au profit de leurs auteurs »
La guerre d'Israël contre le peuple palestinien sert les intérêts de la haute finance (Big Money), du complexe militaro-industriel, des politiciens corrompus...
Le génocide est mis en œuvre par Netanyahu au nom des États-Unis .
L'appareil militaire et du renseignement américain est à l'origine des bombardements criminels et de l'invasion de Gaza par Israël.La guerre qui se déroule au Moyen-Orient est largement dirigée contre l'Iran.
Il vit à Londres pendant que son collègue, Alex Christoforou, basé à Chypres, parcourt l'Europe et nous la fait découvrir avec ses vidéos de plein air, où il commente, avec verve et ironie, les clowneries dramatiques de dirigeants occidentaux incompétents et arrogants, aux prises avec des bouleversements mondiaux qui leur font perdre les pédales.
Parce qu'ils ne pouvaient pas imaginer que l'Ukraine perdrait, les experts occidentaux ne voyaient pas qu'elle était en train de perdre. Ils n'ont pas compris qu'à partir du moment où la majorité mondiale non occidentale refusait d'accepter les sanctions américaines contre la Russie, tout était effectivement terminé. La quasi-totalité de la guerre s'est déroulée dans l'ombre d'une inévitable victoire russe. Ce n'était qu'une question de temps.
Commentaire : Bien que cet article ait été publié en novembre 1996, il demeure toujours d'actualité pour comprendre la pensée et les actions de M. Nétanyahou.
L'intransigeance de M. Benyamin Nétanyahou a surpris certains. De ce premier ministre mal élu, théoriquement ficelé par la signature de ses prédécesseurs au bas des accords d'Oslo et en principe soumis à la volonté de l'Europe comme des Etats-Unis de voir avancer les négociations, ils attendaient un minimum de réalisme. Il n'en a rien été. En quatre mois, les décisions du dirigeant du Likoud ont provoqué parmi les Palestiniens une explosion de colère sans précédent depuis l'Intifada. « Chassez le naturel, il revient au galop. » Le proverbe s'applique ici on ne peut mieux. Car, si son entrée en politique remonte à moins de quinze ans, le chef du gouvernement israélien est un pur produit du sérail « révisionniste », mâtiné il est vrai d'ultralibéralisme américain.
Le crime d'apartheid et de discrimination raciale s'aggrave en Cisjordanie tandis que le génocide se poursuit à Gaza. Les horreurs qu'Israël continue de commettre sont une moquerie du droit international. Aujourd'hui, la situation à Gaza est catastrophique car elle passe à un stade supérieur de carnage : de la mort soudaine et des blessures des civils par des bombardements sans avertissement à la mort par soif, famine, manque d'hygiène et effondrement des services de soins de santé (politiques israéliennes d'assassinat de masse par le déni des éléments essentiels de la vie).
Interrogé sur la question de savoir qui devrait gouverner Gaza une fois la guerre terminée, M. Netanyahou a répondu : « Israël sera responsable de la sécurité pendant une période indéterminée, car lorsque nous n'avons pas cette responsabilité, nous assistons à l'explosion de la terreur exercée par Hamas ».
Alors qu'Israël massacre la population palestinienne, l'Europe et les États-Unis négocient avec le gouvernement de Netanyahou pour s'assurer le contrôle du gaz de Gaza.
« Les entreprises sélectionnées se sont engagées à réaliser un investissement sans précédent dans l'exploitation du gaz naturel au cours des trois prochaines années, ce qui devrait aboutir à la découverte de nouveaux gisements de gaz naturel. » Le ministre israélien de l'énergie, Israel Kartz, a clôturé dimanche 29 octobre l'octroi de 12 licences d'exploitation de gaz fossile au large de la côte méditerranéenne du pays. En pleine offensive militaire contre la bande de Gaza, des sociétés comme l'italien Eni, le britannique BP ou l'azéri Socar développent leur activité gazière. Quelques mois plus tôt, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avait assuré qu'il fallait « accélérer les exportations vers l'Europe » pour mettre fin à la dépendance énergétique à la Russie. Cette photographie montre que les projets expansionnistes d'Israël à Gaza concernent également les réserves énergétiques de la mer palestinienne.

Octobre 2023 - Les destructions dans la bande de Gaza défient l'imagination. Assuré d'une impunité totale grâce au soutien des gouvernements occidentaux, l'état sioniste, terroriste, raciste et colonialiste, mène une campagne de bombardements dévastatrice sur une population désarmée, dans le but évident de provoquer une nouvelle Nakba
Alors que les forces israéliennes commençaient à effectuer des incursions terrestres limitées dans le nord de la bande de Gaza au cours du week-end, des informations ont abondé selon lesquelles Israël préparait des plans visant à expulser une grande partie ou la totalité de la population de l'enclave assiégée vers le territoire égyptien voisin du Sinaï.
C'est ce qu'Ariane Bilheran propose, avec cet essai psychologique et philosophique sur le pouvoir total en politique. Elle démontre que le totalitarisme est un système paranoïaque dans lequel les pathologies perverses, sadiques, transgressives et psychopathes sont à l'honneur.
La condition de survie de ce système est un mensonge premier qui est maintenu dans le secret, l'endoctrinement des masses à l'idéologie, la mise sous terreur des individus et des collectifs, entraînant tout à la fois sidération traumatique, jouissance pour certains et horreur pour d'autres.
L'accent est mis sur l'alliance pathologique entre la paranoïa et la perversion pour casser les liens et détruire la subjectivité et les corps des individus, réduits à l'état d'instruments ou pire, d'objets de marchandises inertes et interchangeables.