Les Maîtres du Monde
Georges Orwell, le nom de plume de l'écrivain Eric Blair, avait le don de la prophécie, ou il était sacrément chanceux. En 1949, dans son roman "1984", il décrivit l'Amérique d'aujourd'hui et j'en ai bien peur, également sa Grande-Bretagne natale, qui n'est plus grande depuis un moment et suit Washington, lui léchant les bottes et se soumettant a son hégémonie sur l'Angleterre et l'Europe et s'épuisant fnancièrement et moralement afin de supporter l'hégémonie américaine sur le reste du monde.
Dans la prophécie d'Orwell, le gouvernement du Grand Frère gouverne sur des sujets qui ne posent pas de questions, incapables de pensées indépendantes et qu'on espionne en permanence. En 1949, il n'y avait pas d'internet, de facebook, de twitter, de GPS etc. L'espionage de Big Brother se faisait par le moyen de caméras, de microphones dans les endroits publics, comme en Angleterre aujourd'hui, et par le truchement de télévisions qui étaient équipées de matériel de surveillance pour surveiller les gens à la maison. Comme tout le monde pensait ce que le gouvernement voulait qu'il pense, c'était facile d'identifier le peu de gens qui avaient des doutes sur le système.

L’image a fait scandale aux Etats-Unis : lors du G20, le président Obama s’incline devant le souverain saoudien et lui baise la main.
Ces changements de régime s'accompagnent de manifestations contre la domination états-unienne et le sionisme. Ils profitent politiquement à l'Axe de la Résistance, incarné au plan étatique par l'Iran et la Syrie, et au plan infra-étatique par le Hezbollah et le Hamas.
Pour mener la contre-révolution dans cette région, Washington et Tel-Aviv ont fait appel à leur meilleur soutien : le clan des Sudairi, qui incarne plus que nul autre le despotisme au service de l'impérialisme.
Ouattara. L'homme n'a manifestement ni vision ni charisme, ni épaisseur ; pis, lorsqu'il parle des Ivoiriens, on ne sent, dans sa voix monocorde de bureaucrate de la bourse mondiale, nulle présence de celui qui veut unir le passé, le présent et l'avenir. Impossible unité, impossible liaison donc de cet homme avec cette terre, avec ce peuple de Côte d'Ivoire. On ne l'imagine pas sur le trône ; et pourtant le voilà Président. Mais comment donc ? A coup de bombes larguées par la France sur Abidjan. Paris débarque, brûle Abidjan, se saisit de Gbagbo et de la fumée des buchers, Ouattara s'élève Président. Ere nouvelle : droit de la force et terreur totale sur la Côte d'Ivoire.
L'histoire de la Maison Blanche sur "la mort de Ben Laden" s'est totalement décousue par elle-même. Cela fait-il une différence de savoir que dans les 48 heures qui suivirent l'annonce télévisée du président Obama de dimanche soir, l'histoire a tellement changé, qu'elle ne présente plus aucune crédibilité ?
Cela n'a jusqu'ici eu aucune importance pour la BBC, autrefois célèbre et renommée, qui le 9 Mai, 8 jours plus tard, continue de répéter la litanie propagandiste que les navy SEALS ont tué Ben Laden dans son complexe pakistanais, la où Ben Laden vivait en voisin de l'académie militaire pakistanaise, entouré de l'armée pakistanaise.
Même le président pakistanais ne trouve rien à redire de cette histoire rocambolesque. La BBC rapporte que le président lance une enquête totale pour savoir comment Ben Laden a bien pu vivre pendant des années dans une ville de garnison sans jamais être repéré.
Pour la plupart des Américains, l'histoire a commencé et fini avec ces cinq mots: "nous avons eu Ben Laden". Les célébrations, la saveur sucrée de la vengeance, du triomphe et de la victoire sur "l'homme le plus dangereux de la planète" sont semblables à l'excitation expérimentée par les supporteurs de sport quand leur équipe de foot bat leur vieil ennemi ou quand leur équipe de baseball gagne les world series. Aucun fan ne veut entendre le jour d'après que cela n'est pas vrai, que tout cela était une erreur. Si ces Américains, des années dans le futur, apprennent que cette histoire n'a été qu'une fadaise orchestrée afin de propulser quelque agenda que ce soit, ils refuseront de le croire et diront que tout cela n'est que du défaitisme libéral-rose-coco.

Bachar Al-Assad est pour l'instant épargné par les sanctions européennes à l'égard du régime syrien.AFP/-
Le président Bachar Al-Assad échappe dans l'immédiat aux sanctions en raison de divergences au sein de l'Union, mais son entourage et les principaux acteurs de la répression figurent sur la liste des personnalités sanctionnées. En tête, le frère cadet du président, présenté comme "le principal maître d'œuvre de la répression contre les manifestants". Il précède sur la liste le chef des renseignements généraux et le nouveau ministre de l'intérieur. Les plus hauts responsables de l'appareil répressif syrien sont également en bonne place, comme les chefs de la sécurité politique, du renseignement militaire et du renseignement militaire de l'armée de l'air.
Le dirigeant libyen n'est pas apparu en public depuis le 30 avril, peu après un raid aérien visant un bâtiment de son complexe, Bab al Aziziah, où son fils cadet, âgé de 29 ans, et trois de ses petits-enfants ont péri.
Les autorités libyennes ont montré mardi aux journalistes étrangers à Tripoli un hôpital dont certaines vitres avaient été soufflées, semble-t-il par l'onde de choc d'une explosion survenue lors d'un raid de l'Otan, lequel a détruit une tour de télécommunications voisine.
Les journalistes ont également été conduits vers un bâtiment complètement détruit qui abritait, selon les autorités, la Haute commission pour l'enfance. Ce bâtiment colonial avait déjà été endommagé fin avril.
Il a ajouté que Ben Laden est mort depuis longtemps, et n'était pas vivant au moment où Washington a prétendu son assassinat.
Pour M.Moslehi, l'annonce de son assassinat relève d'un coup médiatique, visant à détourner l'attention de l'éveil islamique qui domine la région.
Cette augmentation fait suite à une année au cours de laquelle la rémunération des patrons américains les mieux payés était restée stable.
Réalisée par le cabinet de conseil en gestion Hay Group pour le compte du Wall Street Journal, l'étude indique que l'augmentation a été largement due à la décision des conseils d'administration de récompenser les directeurs généraux de bons résultats et de hausses du prix des actions des sociétés concernées en leur accordant de plus gros bonus et primes en actions.
Le patron du groupe de médias Viacom, Philippe Dauman, domine le classement avec une rémunération évaluée à 84,3 millions de dollars, plus du double de sa paie de 2009, indique l'étude.
L'ancien vice-président américain Dick Cheney a plaidé dimanche, après l'élimination d'Oussama Ben Laden par un commando américain, pour un retour aux techniques d'interrogatoires musclées.
Celles-ci avaient été instaurées par l'administration Bush pour lutter contre le terrorisme.
Un autre membre important de l'équipe de George W. Bush, l'ancien secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld, a fait des déclarations similaires.
Devant l'ampleur des difficultés rencontrées par le pays, les Européens envisagent d'apporter une aide supplémentaire à la Grèce afin de se "substituer aux marchés en 2012", a déclaré lundi à l'AFP une source européenne.
Samedi déjà, le chef de la zone euro Jean-Claude Juncker avait estimé que la Grèce avait besoin d'un "programme d'ajustement supplémentaire".
De fait, la dette de la Grèce, qui pesait 115% du PIB au lancement en mai 2010 du premier plan de sauvetage du pays, via un prêt de 110 milliards de l'Union européenne et du Fonds monétaire international, aura gonflé à 152% fin 2011.