Les Maîtres du Monde
Les principales banques américaines cotées à Wall Street ont versé un montant record de bonus à leurs salariés en 2010. Le total de leurs primes et bonus s'élève à 135 milliards de dollars, révèle une enquête du Wall Street Journal (WSJ), soit 5,6% de plus qu'en 2009.
141.000 dollars par employé
Les salaires ont eux aussi progressé tout au long de la crise. Selon le WSJ, la masse salariale des 25 plus grands établissements de Wall Street était de 377 milliards en 2007, 411 milliards en 2009 et 415 milliards en 2010. La rémunération totale moyenne par employé a augmenté de 3% à environ 141.000 dollars, « même si ce chiffre varie considérablement d'une entreprise à l'autre».
Entre 2003 et 2010, ce Britannique intrépide et courageux sillonne l'Europe entière, au gré des manifestations qui accompagnent les sommets du G8, du G20 ou de l'Otan. On le retrouve ainsi à Gleneagles, Heiligendamm, Londres, Baden-Baden ou encore Strasbourg. En Islande, aussi. Au Danemark, en Italie, en Espagne.
Il ne compte ni son temps, ni son argent pour apporter soutien logistique et conseils en tout genre à ses compagnons de lutte. Et quand il ne leur apprend pas à s'enchaîner efficacement, il participe à des coups - à moins qu'il ne les initie ? - , comme ce blocage en 2009 de la centrale de Ratcliffe-on-the-Soar, propriété du géant de l'électricité allemand E.ON.
Las, le coup échoue. Avant même que les activistes ne s'invitent dans la centrale, la police intervient. Etonnamment, Stone est le seul à ne pas être inquiété sur l'heure par la justice. Et pour cause.
Depuis mars 2008, la Fed a racheté pour 1 250 milliards de dollars de MBS (ces fameux actifs titrisés adossés sur des crédits hypothécaires) dépourvus de valeur, mais en les payant à leur valeur nominale. [*] Mais le capital de la Fed n'est que de 50 milliards de dollars, ce qui représente donc un effet de levier de 23 pour 1 (1250/50 = 23) rien que pour les MBS, et 40 pour 1 si l'on compte l'ensemble de ses actifs. C'est-à-dire qu'elle est dans un état pire que les banques de Wall Street au moment de la crise. Comme l'a expliqué le Wall Street Journal lui-même, une simple perte de 10 % sur ses MBS suffirait à anéantir le capital et les profits de la Fed.
Omar Souleiman n'est pas un homme apprécié du peuple comme le prétendent certains journalistes aux ordres.
Étroitement lié aux services secrets israéliens pour combattre l'opposition politique égyptienne et pourchasser notamment les Frères musulmans ainsi que les Palestiniens soupçonnés de sympathie avec le Hamas, Souleiman est l'homme des basses œuvres.
La nomination d'Omar Souleiman, si elle satisfait pleinement Tel Aviv, ne paraît pas de nature à apaiser la colère des Égyptiens. Elle doit particulièrement offenser ceux que ses services ont inscrit abusivement sur la « liste terroriste ».
Encore une coïncidence troublante autour du 11-Septembre : parmi les 5 niveaux d'alerte possibles (Normal, Alpha, Bravo, Charlie et Delta) du système informatique de la Défense US, c'est celui le plus bas (Normal) qui a été positionné à peine 24 heures avant les attentats du 11/9. Pour quelles raisons ? Pourquoi juste la veille ? Autant de questions détaillées dans cet article de Shoestring paru sur le site 911Blogger.
Un projet de Loi pourrait donner au président Barack Obama le pouvoir de couper l'Internet dans le cas d'une cyberattaque, une proposition des sénateurs démocrate Joseph Lieberman et républicaine Susan Collins.
Concrètement, le président américain pourrait intervenir pour éteindre les systèmes informatiques privés en cas d'urgence, -en matière de cybersécurité et de sécurité nationale-, et les entreprises seraient tenues de partager leurs informations, rapportent les médias américains.
Dans ce message, les responsables israéliens soulignent qu'il est de "l'intérêt de l'occident" et de "l'ensemble du Moyen Orient de maintenir la stabilité du régime en Egypte", a ajouté journal.
"Il faut en conséquence freiner les critiques publiques à l'encontre du président Hosni Moubarak", a souligné ce message envoyé à la fin de la semaine, selon le journal.
Le régime Moubarak en voie d'effondrement devant un mouvement de contestation nationale... Quel avenir pour l'Egypte et le monde arabe ?
"Les dictateurs ne dictent pas, ils obéissent aux ordres". Ceci est vrai en Egypte, en Tunisie et en Algérie. Les dictateurs sont de maniere invariable des marionnettes politiques. Ils ne décident pas. Le président Hosni Moubarak fut un serviteur fidèle des intérêts économiques occidentaux, tout comme le fut Ben Ali. Le gouvernement national est l'objectif du mouvement de protestation. L'objectif est de se débarrasser de la marionnette plutôt que du marionnettiste. Le slogan en Egypte est "A bas Moubarak, a bas le régime". Aucun posters anti-américains n'ont été notés. Le phagocytage et l'influence destructrice des Etas-Unis en Egypte et a travers le Moyen-Orient est sans précédent. Les puissances étrangères qui operent derrière la scène sont protégées du mouvement de protestation.
Aucun changement politique d'importance ne se fera sans que le problème de l'interférence étrangère ne soit adressée de maniéré conséquente par le mouvement de protestation.