Traduction SOTT[Note de l'auteur] Comme l'histoire est en cours de développement, des mises à jour sont publiées en fin d'article.© InconnuDiscours de Sarkozy à Toulouse, le 19 mars 2012. Un « dirigeant fort en pleine crise ». Mais qui est derrière la crise ?
Le Président Sarkozy semblait mal parti pour se faire réélire en 2012 - une « mauvaise passe » qui avait commencé le jour même de son élection en 2007. Longtemps considéré par une majorité de Français comme une sorte de Napoléon arriviste contemporain, certains se demandaient comment il avait pu gagner la course à l'élection présidentielle de 2007, étant donné qu'un an avant l'élection, les
sondages d'opinion lui attribuaient nettement la seconde place et que, jusqu'à l'élection, rien dans ses paroles ou ses actes n'aurait pu justifier sa côte de popularité ascendante, étant donné son approche électoraliste « bling bling » qui écœura de nombreux Français. De plus, dans les mois qui suivirent sa « victoire » en mai 2007, sa popularité
plongea aux alentours de 30 % tandis que les gens réagissaient à ses réformes économiques austères, sur lesquelles il avait fait ouvertement campagne, voyez-vous. Comment expliquer un revirement aussi soudain, si peu de temps après sa victoire ? Ce n'est que le jour même de l'élection que, « d'une manière ou d'une autre », le (tout) petit-fils d'un immigrant hongrois et sa «
princesse de Paris » se virent offrir un séjour de 5 ans au palais de l'Élysée.