Les Maîtres du Monde
Partie II. L'"Opération Libye" et la bataille du pétrole
Les États-Unis et l'OTAN appuient une insurrection armée dans l'est de la Libye dans le but de justifier une "intervention humanitaire".
Il ne s'agit pas d'un mouvement de protestation non violent comme ceux de l'Égypte et de la Tunisie. Les conditions en Libye sont fondamentalement différentes. L'insurrection armée dans l'est de la Libye est directement soutenue par des puissances étrangères. Les insurgés à Benghazi ont immédiatement hissé la bannière rouge, noire et verte avec le croissant et l'étoile: le drapeau de la monarchie du roi Idris, symbolisant le règne des anciennes puissances coloniales. (Voir Manlio Dinucci, La Libye dans le grand jeu du nouveau partage de l'Afrique, le 25 février 2011)
Les conseillers militaires et les Forces spéciales des États-Unis et de l'OTAN sont déjà sur le terrain. L'opération a été planifiée pour coïncider avec les manifestations dans les pays arabes voisins. On a fait croire à l'opinion publique que le mouvement de protestation s'est étendu spontanément de la Tunisie à l'Égypte et ensuite à la Libye.
Le PKK a aidé Israël lors de l'attaque du Mavi Marmara et complote avec son protecteur et formateur le Mossad pour commettre des attentats à la veille des élections générales de Juin pour déstabiliser la Turquie.
Un rapport des renseignements préparé par le National Intelligence Organisation (MIT) - Organisation Nationale du Renseignement - et présenté au Conseil National de Sécurité (MGK) lors d'une réunion du 24 Février suggère que le Parti Des Travailleurs du Kurdistan (PKK) terroriste a forgé de nouveaux liens avec l'état d'Israël. Le rapport note également que le PKK a des plans pour un "serhildan" mot kurde pour soulèvement au printemps pour tenter de manipuler les élections générales du 12 Juin.
Un haut responsable de la sécurité qui a demandé à conserver l'anonymat a transmis des informations au quotidien Today's Zaman informations recueillies par les services de renseignements turcs. Selon ces informations le groupe a mis fin en début de mois à sa trêve annoncée l'été dernier.
Le gouvernement britannique a été contraint de s'expliquer lundi 7 mars sur un nouveau couac dans sa gestion de la crise libyenne après le retentissant fiasco d'une mission « diplomatique » secrète à Benghazi.
La mission d'un ambassadeur avait été décidé, encadrée par des militaires, des membres du SAS, les forces spéciales, et deux agents des services secrets MI6.
Les hommes venaient d'arriver de nuit en hélicoptère avec armes, téléphones satellitaires et passeports multiples quand ils se sont fait arrêter par des fermiers libyens qui les ont ensuite retenus prisonniers jusqu'à leur extraction du pays après plusieurs échanges téléphoniques entre Londres et l'opposition libyenne.
Et une casserole de plus pour le prince Andrew. Le fils cadet de la reine Elizabeth II, quatrième dans l'ordre de succession au trône, fait depuis plusieurs semaines les gros titres de la presse britannique. Et pas pour ses capacités de représentant spécial de la Grande-Bretagne pour le commerce international.
Un ami, le millionnaire américain Jeffrey Epstein, qu'il connaît depuis 16 ans, embarrasse en effet depuis plusieurs semaines le prince Andrew. Epstein a été condamné en 2008 à 18 mois de prison pour sollicitation de prostituées mineures, mais, en décembre, une photo du frère du prince Charles en train de se promener à New York aux côtés du millionnaire a suscité la critique des médias outre-Manche: comment se fait-il que le Duc d'York fréquente encore Epstein, deux ans après sa condamnation?
Les Forces Spéciales des États-Unis ont débarqué en Libye pour entraîner les rebelles anti-Kadhafi pour un coup d'état appuyé par l'occident dans les environs du pays riche en pétrole, avec des "assistant pour la défense" Français et Anglais également débarqués pour établir des camps d'entraînement dans la région orientale du pays, sous contrôle des rebelles.
BBC News
Vendredi, 4 Mars, 2011
ARTICLE CONNEXE : Les mondialistes cherchent à détourner les révolutions au Moyen-Orient pour renverser l'Iran
Alors que la révolte globale actuelle qui balaie le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord est née d'un cri universel de l'homme pour la liberté, la sécurité alimentaire, et un niveau de vie décent, il est important de comprendre que l'élite mondiale se tient en embuscade pour exploiter le chaos comme une opportunité pour réagencer à nouveau le paysage géopolitique à leur image, notamment en exploitant les manifestations comme un moyen par lequel affaiblir et renverser le gouvernement iranien.
Les citoyens des pays producteurs de pétrole doivent voir plus de bénéfices des ressources nationales de leur pays, a déclaré l'investisseur milliardaire George Soros à la BBC.
Les révoltes en Libye ont été en partie le résultat d'une « révulsion vis-à-vis la corruption » alimentée par le détournement de l'argent du pétrole, a t-il ajouté.
Plus de « transparence et de responsabilité » sont nécessaires de la part d'autres pays producteurs comme la Russie et l'Arabie saoudite a t-il dit.
M. Soros a également prédit que le régime iranien serait renversé dans la « plus sanglante des révolutions ».
Source : bbc.co.uk
Avec ce vote, les dépenses du Parlement européen augmenteront de 13,2 millions par an. Ce vote, dénoncé par les Verts qui le jugent « irresponsable » va à l'encontre de l'appel lancé par la Commission européenne, invitant les institutions à réduire leurs dépenses de fonctionnement. « Voter une augmentation du budget pour les assistants des députés européens en période d'austérité et de coupes budgétaires partout en Europe est tout simplement insensé », a déploré l'eurodéputée verte allemande Helga Trüpel, membre de la commission des Budgets. L'augmentation a été votée par les élus conservateurs, avec le soutien des socialistes, a-t-elle souligné. Pour elle, « Le vote des socialistes en faveur de cette augmentation montre clairement une déconnexion avec les réalités ».

La LCEN a déjà fait couler beaucoup d’encre en 2004, des débats passionnés recensés par exemple par le site pc-boost.com
Vous achetez un billet de train sur le site de la SNCF ou une chanson sur iTunes ? Vous laissez des commentaires sur arretsurimages.net et vous publiez des vidéos privées sur Youtube ? Plus simplement, vous entrez votre pseudo et votre mot de passe pour envoyer un e-mail à un ami ? Désormais, antiterrorisme oblige, chacun de vos pas, comme ceux de tous les internautes français, devra être enregistré, et conservé pendant un an.
Le décret "relatif à la communication des données permettant d'identifier toute personne ayant contribué à la création d'un contenu mis en ligne", publié le 25 février, met à jour la loi pour la confiance dans l'économie numérique (LCEN), adoptée par le parlement il y a... 7 ans.
Et les règles désormais applicables ne sont pas anodines. Depuis mercredi 1er mars, les sites de e-commerce, les plateformes de vidéo et musique en ligne et les gestionnaires de boites e-mails, mais aussi tous les hébergeurs de contenu, ont l'obligation de conserver pendant un an une liste conséquente de données sur chaque utilisateur : nom et prénom, adresse postale associée, adresse de courrier électronique ou compte associé, numéro de téléphone, mais aussi le pseudonyme utilisé et les mots de passe, ainsi que les données permettant de le vérifier et de le modifier !
Beaucoup trop d'événements tragiques pour une simple coïncidence... ?

17 février 2011 – Gregory Stone, scientifique à l’Université de Louisiane, 54 ans – maladie inconnue

26 janvier 2011 – Anthony Nicholas Tremonte, 31 ans – fonctionnaire au Département des ressources marines du Mississipi, originaire d’Ocean Springs, arrêté pour possession de pédopornographie