Ce qui s'est passé le 7 octobre et après, comme l'a dit le chef des Nations unies, M. Gutteres, « ne s'est pas produit dans le vide ».
Les Palestiniens ont subi un nettoyage ethnique et un assaut raciste quotidien pendant 75 ans (soit plus de 27325 jours). Cela a laissé 8 millions de Palestiniens réfugiés ou déplacés, le reste étant stocké dans des camps de concentration déconnectés les uns des autres (Gaza, Bethléem, Jéricho, Ramallah, etc.).
Le crime d'apartheid et de discrimination raciale s'aggrave en Cisjordanie tandis que le génocide se poursuit à Gaza. Les horreurs qu'Israël continue de commettre sont une moquerie du droit international. Aujourd'hui, la situation à Gaza est catastrophique car elle passe à un stade supérieur de carnage : de la mort soudaine et des blessures des civils par des bombardements sans avertissement à la mort par soif, famine, manque d'hygiène et effondrement des services de soins de santé (politiques israéliennes d'assassinat de masse par le déni des éléments essentiels de la vie).