Enfant de la SociétéS


Che Guevara

Ecotaxe : cinq nouveaux radars incendiés ou dégadés en Bretagne

Une trentaine d'engins ont été mis hors service depuis le début de la fronde dans la région...

La fronde contre l'écotaxe n'en finiti plus. Trois radars routiers ont été incendiés dans la nuit de samedi à dimanche dans les Côtes d'Armor et deux autres ont été dégradés en Ille-et-Vilaine, a-t-on appris dimanche auprès des gendarmes et des pompiers.

Dans les Côtes d'Armor - où un radar avait déjà été incendié samedi soir près du portique écotaxe de Jugon-les-lacs lors d'une manifestation - des radars ont été incendiés dans la nuit à Maroué, sur la D14, à Planguenoual (D791) et à Plouvara (D7). Les incendies ont eu lieu entre 0h35 et 1h47, ont précisé les pompiers.

Vader

Des travailleurs asservis pour produire les appareils Apple

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Les histoires entre Apple et les conditions de travail dans lesquelles officient ses fournisseurs, notamment en Asie du Sud-Est, sont légion. Si la firme de Cupertino fait tout ce qu'elle peut pour arranger la situation, un nouveau rapport vient sérieusement entacher la marque à la pomme.

Dans un récent article de Bloomberg Businessweek, on peut apprendre comment des compagnies comme Flextronics International, l'un des principaux fournisseurs, avaient l'habitude d'embaucher de nouveaux travailleurs pour assembler la caméra 8 megapixels de l'iphone 5.

Ces entreprises faisaient appel à des « courtiers », ceux-ci sillonnaient les villages les plus pauvres d'Indonésie, du Cambodge, du Myanmar, du Vietnam et du Népal pour grossir les rangs de travailleurs à l'usine. Ces recruteurs peu scrupuleux n'hésitaient alors pas à réclamer des montants astronomiques - représentant souvent une année complète de salaire, intérêts compris - pour avoir le privilège d'y travailler. Bien évidemment, ceux-ci confisquaient au passage les passeports pour s'assurer du bon paiement.

Che Guevara

La crise bretonne persiste, les Bonnets rouges font des émules

Actions coup de poing anti-écotaxe dans toute la France, nouvel appel à manifester des "Bonnets rouges" et nouveaux heurts en Bretagne samedi: la fronde bretonne persiste et fait des émules malgré les efforts du gouvernement pour sortir de l'impasse d'ici fin novembre.

Samedi matin, quelque 250 personnes coiffées pour certaines de bonnets rouges, symbole de la lutte antifiscale du XVIIe siècle, ont manifesté à Montauban-de-Bretagne (Ille-et-Vilaine) au pied d'un portique écotaxe.

L'après-midi à Jugon-les-Lacs (Côtes-d'Armor), une manifestation, rassemblant 700 personnes près d'un autre portique, a été marquée par des échanges de projectiles et de gaz lacrymogène entre manifestants et force de l'ordre. Un radar de vitesse a été incendié et des glissières de sécurité ont été arrachées.

Stock Down

Cet accord qui attaque et fragilise le CDI

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L'Accord National Interprofessionnel du 11 janvier, s'appellera désormais loi Sapin, ou loi de sécurisation de l'emploi. Cet « ANI » permet, en France, depuis le 1 juillet 2013 de faire baisser les salaires, et de licencier plus facilement. Focus sur quelques uns des 28 points de cet accord de flexisécurité, aux contreparties plus que douteuses, que le MEDEF n'avait pas pu faire passer sous Sarkozy, et qui l'a été sous Hollande !

Cette loi a été définitivement adoptée le 14 mai 2013, dans un silence quasi absolu, alors qu'elle consacre un recul sans précédent des droits des travailleurs, en attaquant la « sécurité » apportée par le CDI. Un accord qui n'attend plus que des décrets d'applications !

Comment l'esprit du temps transforme l'esprit des lois

La finance dirige le monde et quand Goldmann Sachs s'exprime en demandant à ce que les salaires des français baissent de 30 %, Hollande s'exécute, sous la tutelle de la commission européenne.

Evil Rays

Les nouvelles publicités qui s'immiscent dans votre conscience


Aussi stupéfiant que cela puisse paraitre, les nouvelles technologies prennent une place de plus en plus importantes dans notre quotidien et elles ne cessent de nous surprendre ! Nous vous parlions il y a quelques jours des enceintes qui permettent d'être le seul à écouter sa musique sans casque, et bien voilà que ce système a été repris par la marque All Good Bananas en lançant sa campagne « Ecoutez votre conscience » !

La marque cherche à convaincre les consommateurs qu'il faut acheter des bananes é-qui-ta-bles. Mais pour la multinationale, il est impossible d'imposer une idée aux gens, c'est une réflexion qui doit venir d'eux-mêmes. Du coup, ils ont décidé de s'immiscer dans les consciences pour souffler subtilement l'information. All Good Bananas a alors mis en place un spot lumineux éclairant un autocollant au sol, face à un étalage de bananes, avec la fameuse technologie qui permet d'émettre un son audible uniquement à la personne positionnée sur la marque. A chaque fois qu'un client passe, une voix féminine lui susurre de tester ces incroyables fruits jaunes et équitables. « Écoutez votre conscience » .

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Face à face avec les Bonnets rouges : un gendarme témoigne

En exclusivité pour ERTV, un gendarme, présent le 31 octobre 2013 lors des affrontements à Pont-de-Buis avec les Bonnets rouges, livre son témoignage.

House

Presque 4 ans après le séisme, 170 000 Haïtiens toujours sous des tentes

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Cela fait presque quatre ans que Widlène Gabriel, une fillette de 8 ans, vit avec ses parents dans un camp de personnes déplacées par le séisme dévastateur de janvier 2010 qui a fait plus de 1,5 million de sans-abri en Haïti.

Un peu plus de 170 000 Haïtiens vivent toujours dans des abris de fortune, dans des conditions extrêmement précaires et parfois menacés d'expulsion, à l'instar des occupants du terrain privé où réside la petite Widlène sous une tente en bordure d'une avenue qui relie Port-au-Prince à Pétionville, banlieue cossue située à l'est.

«Le 12 janvier 2010, les blocs du toit de ma maison sont tombés sur nos têtes. Je n'ai pas été touchée, mais nous avons laissé les ruines de la maison pour venir ici», se souvient-elle, les pieds nus dans la poussière.

Syringe

Je m'appelle Katie Davis, j'ai 23 ans et le Gardasil a volé ma santé

Traduit de l'anglais par Initiative Citoyenne

Katie Davis, ma santé est ruiné par le Gardasil
© Inconnu

Je m'appelle Katie Davis. J'ai 23 ans, et je vis la vie comme si j'étais coincée dans le corps d'une personne âgée. Je vis sans arrêt dans la douleur et dans la peur de ne jamais trouver un soulagement à mes tourments. C'est le 22 mai 2009, que pour moi, la vie que je connaissais a cessé d'exister. Ce fut le jour où j'ai reçu la première dose du vaccin Gardasil.

Avant le Gardasil, j'étais une adolescente pleine de santé et active. Je jouais du softball, j'aimais être à l'extérieur et je me sentais en pleine forme. Je n'avais jamais eu de problèmes de santé, et c'est très rarement que je voyais un médecin. . J'étais heureuse, sans souci et j'aimais tellement apprendre. J'aimais passer beaucoup de temps avec mes parents et avec des amis. Deux fois par an, je me rendais au Colorado pour rendre visite à mes frères et à mon père. Nous allions camper et nous étions heureux d'être ensemble. Je rêvais de devenir une joueuse professionnelle de softball ou une infirmière.

C'est en 2008 que j'ai eu ma fille. Je n'ai pas cessé d'être active et pleine de santé. Ma vie a repris son train habituel, mais j'avais en plus une jolie fille dont j'aimais m'occuper. Je n'avais alors aucune idée de la manière dont les choses pouvaient changer brusquement.

Ambulance

Explosion accidentelle au palais des sports de Paris : un mort

Explosion accidentelle au Palais des Sports de Paris
© Kenzo Tribouillard/AFP/Un engin pyrotechnique a accidentellement explosé lors des répétitions de la comédie musicale « 1789. Les amants de la Bastille » au palais des sports de Paris.
Une des cinq personnes grièvement blessées dans l'explosion accidentelle d'un engin pyrotechnique survenue, vendredi 8 novembre, peu après 18 heures durant une répétition de la comédie musicale 1789 : Les amants de la Bastille, au Palais des sports de Paris (15e) a succombé à ses blessures dans la nuit de vendredi à samedi à l'hôpital européen Georges-Pompidou de Paris.

Ce blessé avait été victime sur les lieux de l'accident d'un arrêt cardio-respiratoire après que l'explosion d'un engin pyrotechnique a provoqué une déflagration près de la scène, faisant s'effondrer un mur en parpaings et une partie d'un plafond.

Selon des sources policières et les premiers éléments connus, l'accident serait dû à la manipulation par un ouvrier d'un outil dont une partie s'est brisée près d'une zone de stockage d'engins pyrotechniques dans laquelle elle a été projetée, provoquant l'embrasement des fusées. Une enquête confiée à la Brigade de répression de la délinquance aux personnes (BRDP) et à la 3e division de la police judiciaire de Paris a été ouverte pour tenter de déterminer les causes précises de l'explosion. Des artificiers se sont employés à mettre en sécurité les engins pyrotechniques restant sur place, et une centaine de pompiers issus de dix-sept casernes se sont rendus sur les lieux. L'architecte de sécurité de la Préfecture de police n'a pas relevé de problème structurel sur le bâtiment.

Footprints

Restes humains découverts au Cap d'Antibes : un os masculin identifié

Le procureur de Grasse, Georges Gutierrez, a annoncé mercredi l'ouverture d'une information judiciaire pour « homicides » dans le cadre de la mystérieuse découverte en mer, à Antibes (Alpes-Maritimes), d'ossements appartenant à quatre personnes dont un mineur disparu il y a vingt ans. Les tests ADN ont révélé que l'humérus masculin est bien celui de Stéphane Hirson, un jeune homme de Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne) porté disparu début 1994, juste avant ses 18 ans.

Stéphane Hirson
© DRLes tests ADN ont révélé que l'humérus masculin, retrouvé en mer parmi les ossements de quatre personnes, est bien celui de Stéphane Hirson, un jeune homme de Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne) porté disparu début 1994, juste avant ses 18 ans.
Les 10 et 27 février, un plongeur puis des gendarmes, avaient repêché près de la côte d'Antibes, à six mètres de fond, un fémur, deux humérus, un crâne et un morceau de mandibule, a détaillé le procureur ce mercredi lors d'un point de presse. Les tests ADN effectués ont révélé qu'ils appartenaient à deux hommes et deux femmes.

Ossements découverts en mer : ouverture d'une enquête pour « homicides ».