Enfant de la Société
L'humiliation est quelque chose de subjectif ; cela dépend de nos représentations personnelles. Pour moi par exemple, ce qui me semble le plus humiliant ce n'est pas qu'ils aient pissé sur lui mais qu'ils l'aient mis tout nu. Au début, le père de Mohammad avait honte de nous dire qu'ils lui avaient pissé dessus. Il ne pouvait pas prononcer ces mots là tout haut, je crois que pour lui c'était la chose la plus humiliante qu'ils aient faite à son fils.
Quel genre de personnes, je me demandais, appréhendent un enfant de 13 ans et le torturent de la sorte ? Et puis je me suis répondu : à peu près n'importe quel soldat israélien. N'importe quel soldat de l'armée israélienne se conduit ainsi avec les Palestiniens. N'importe qui, en fait, si les règles locales le permettent.
La première fois que je l'ai vu, c'était dans le hall numéro deux de la Cour militaire de "Ofer". C'est là qu'on juge les enfants : 20, 22, 23 enfants par jour. Les enfants et les adolescents arrivent par groupes de deux, trois et parfois quatre, en tenues de prisonnier marrons, leurs pieds entravés, menottés à l'enfant suivant.
Une organisation minuscule. Domscheit-Berg lève une partie du voile sur le fonctionnement interne de WikiLeaks, et notamment la manière dont l'organisation a délibérément choisi de faire croire qu'elle comptait de nombreux membres, en multipliant les pseudonymes, alors que seule une poignée d'activistes faisaient fonctionner le site. "Même aujourd'hui, je ne sais pas si certains des noms sont vrais ou s'il s'agit juste d'alias de Julian Assange. 'Jay Lim', par exemple, est responsable juridique. Jay Lim ? Un Chinois, peut-être ? Je ne l'ai jamais rencontré. Et je n'ai jamais rencontré non plus les dissidents chinois qui, d'après la rumeur, ont contribué au lancement de WikiLeaks."
"Lors de la nomination en 1991 (...), l'archevêché était au courant de son passé", a expliqué dans un document envoyé aux médias le cardinal, qui était alors archevêque d'Utrecht (centre) et donc responsable de la nomination d'un curé à Amersfoort.
"Une thérapie et un avis écrit sérieux sur son état psychologique nous ont paru être une base suffisante pour une nouvelle nomination", a poursuivi le prélat catholique.
Plusieurs médias néerlandais avaient affirmé mardi après-midi qu'Ad Simonis avait nommé le "prêtre Ron" en tant que curé de la paroisse d'Amersfoort (centre) en sachant qu'il avait été condamné en 1990 à une peine de trois mois de prison avec sursis pour avoir abusé de trois adolescents de 14 ans.
Cette fois, alors que la contestation ne faiblit pas au bout de son 17e jour et s'étend même à toute l'Egypte, avec des revendications sociales s'ajoutant aussi aux exigences politiques, la démission d'Hosni Moubarak se précise. Et de manière officielle, pas seulement sur la base de rumeurs. Le président pourrait même l'annoncer lui-même lors d'une allocution télévisée, enregistrée au préalable et qui sera diffusée à 21h.
Les choses se sont accélérées en milieu d'après-midi. Le Premier ministre égyptien, Ahmed Chafic, a tout d'abord confirmé à la BBC que le départ du président était en cours de discussion. Hossan Badrawi, le sécrétaire général du Parti national démocrate (PND), le parti au pouvoir, est ensuite allé plus loin en expliquant qu'Hosni Moubarak allait "probablement" annoncer qu'il transmettait ses pouvoirs à son nouveau vice-président, Omar Souleimane, lors d'une allocution télévisée -allocution, qui, à cet instant, n'était pas confirmée.
Ces images sont extraites d'une vidéo mise en ligne vendredi. Filmées depuis un balcon, elles révèlent l'exécution d'un homme par la police égyptienne lors des échauffourées qui se sont récemment déroulées à Alexandrie. Un individu s'avance en direction des forces de l'ordre sans intention visible de leur nuire. Après avoir ouvert sa veste pour montrer qu'il ne portait pas d'arme, il est aussitôt abattu par ce qui semble être un tir provenant des hommes face à lui. Quelques secondes avant l'effondrement au sol de la victime, la vidéaste qui a capturé la scène paraît avoir entendu des bribes de l'échange entre ce manifestant pacifique et les policiers. D'après ce qu'elle relate dans la séquence, l'homme leur aurait demandé de ne pas faire usage de leur arme.
Selon les diverses descriptions associées à la vidéo, ces images ont été tournées dans le quartier de Mansheya le vendredi 28 janvier. La version intégrale, reproduite et mise en ligne par de nombreux internautes depuis samedi, révèle une tension environnante, avec notamment les images de manifestants qui montent des barricades.
Cette enquête, publiée mercredi sur le site de Vtsiom, montre aussi que 20% des Russes pensent que le globe terrestre ne met qu'un mois à tourner autour de l'astre solaire, au lieu d'un an environ
Viols d'enfants : la fin du silence ? est un reportage télévisé diffusé en 1999 sur France 3 dans l'émission Paroles d'enfants, réalisé par les journalistes Pascale Justice, Stéphane Taponier et Cécile Toulec, et présenté par Élise Lucet. Le reportage évoque des allégations de viols pédophiles dont auraient été victimes un frère et une sœur, désignés dans le reportage sous les pseudonymes de Pierre (né en 1989) et Marie (née en 1986), et qui affirment que leur père et d'autres adultes les auraient violés à différentes reprises durant des cérémonies à caractère sectaire. Le reportage met en relief l'existence d'un réseau pédophile qui bénéficierait de protections au sein des instances dirigeantes de la justice et de la politique française. Le reportage fut diffusé le 27 mars 1999 à une heure tardive.
Commentaire: Des témoignages à rapprocher de l'article publié sur sott intitulé « Regina Louf, Silence on tue des enfants »