Enfant de la Société
Certes, on est loin des niveaux atteints en 2009, l'année de la récession, marquée par une poussée du chômage dans cette catégorie de l'ordre du demi-million de personnes. Les résultats de 2010 n'en restent pas moins mauvais. D'autant que si l'on ajoute aux sans-emploi de la catégorie A ceux qui ont exercé une activité réduite de moins de 78 heures (catégorie B) et de plus de 78 heures (catégorie C), le nombre des demandeurs d'emploi a augmenté de 202 500 en France métropolitaine (+ 5,3%), à 4 051 700, et de 222 300, départements d'outre-mer (Dom) compris, à 4,3 millions.
Dans ces trois catégories, qui permettent de tenir compte du chômage total et du sous-emploi, le nombre d'hommes inscrits à Pôle emploi a augmenté trois fois moins vite que celui des femmes. Cette moindre progression est probablement à mettre en rapport avec le ralentissement des destructions d'emplois dans l'industrie.
Cet essai test, le premier de ce type en Asie, a été mené avec des moustiques mâles du genre Aedes, l'espèce qui transmet la dengue, dans une zone inhabitée de l'Etat de Pahang, dans le centre du pays, a précisé l'Institut de recherche médicale (IRM).
Ces moustiques avaient été génétiquement modifiés de façon à ce que leur progéniture meure rapidement, ce qui à moyen terme devrait entraîner une nette baisse de leur population, voire leur disparition.
Transmise par la femelle, la dengue provoque une fièvre sévère, accompagné de maux de tête, et peut aboutir au décès du patient s'il n'est pas soigné.

20 % de la production de pomme de terre alimentent les industries de transformation, où sont fabriquées les frites et les chips.
Du côté des producteurs, on explique cette hausse par des niveaux de récolte catastrophiques ces deux dernières années. « L'an dernier, la production française de pommes de terre a diminué de l'ordre de 4,4 % par rapport à l'année précédente, principalement en raison des mauvaises conditions météorologiques. Et de l'autre côté la demande est plus forte. Résultat, cela s'est répercuté sur les prix affichés en magasin au cours de l'année 2010 », analyse François-Xavier Broutin, porte-parole de l'Union nationale des producteurs de pommes de terre (UNPT).
Comme le savent nos lecteurs, à Sott.net, nous ne choisissons pas toujours la voie de la facilité, mais nous essayons par contre de suivre la bonne voie, et nous n'aimons pas avoir l'air ridicule. Si nous pensons que nous avons raison contre tous, nous nous accrochons. De même, si nous découvrons que nous avons fait une erreur, nous le reconnaissons et la corrigeons. Comme nous n'aimons guère devoir admettre que nous avons fait une erreur et qu'il faut la corriger, nous faisons de notre mieux pour éviter d'en faire.
Le vieux dicton « Il ne faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain » n'a jamais été plus d'actualité qu'aujourd'hui, avec l'affaire Wikileaks/Julian Assange. Ce dicton concerne particulièrement ceux qui dénigrent Wikileaks et Assange, soulignant les nombreuses incohérences de l'affaire auxquelles se retrouvent confrontés le penseur et le chercheur scrupuleux. Ce dicton nous concerne aussi dans un certain sens, à Sott.net. Nous avons discuté et réfléchi intensément à cette affaire, et ce qui suit est le résultat de cette réflexion.
Le soldat américain, âgé de 23 ans, est maintenu en détention à l'isolement 23 heures sur 24 dans une cellule rudimentaire, sans oreiller, draps ni effets personnels depuis juillet 2010.
Amnesty International a écrit la semaine dernière au secrétaire d'État à la Défense, Robert Gates, pour lui demander de revoir les restrictions imposées à Bradley Manning. La même semaine, le soldat a été soumis pendant plusieurs jours à des restrictions accrues, après avoir été provisoirement placé dans la catégorie des détenus «à risque suicidaire».
«Nous sommes préoccupés par le fait que les conditions de détention infligées à Bradley Manning sont plus sévères que nécessaire et constituent un traitement inhumain de la part des autorités américaines, a déclaré Susan Lee, directrice du programme Amériques d'Amnesty International.
«Bradley Manning n'a été inculpé d'aucune infraction, mais les autorités militaires semblent user de tous les moyens dont elles disposent pour le sanctionner durant sa détention - ébranlant ainsi l'obligation des États-Unis de respecter le principe de présomption d'innocence.»
Mardi 18 janvier, Bradley Manning a été placé dans la catégorie des détenus «à risque suicidaire». Cette décision lui a valu de se voir confisquer ses vêtements, à l'exception de ses sous-vêtements, et ses lunettes de vue pendant la majeure partie de la journée, ce qui l'a plongé, selon ses propres termes, dans une «quasi cécité».

Pour tenter de disperser la foule, les policiers ont utilisé des gaz lacrymogènes et des canons à eau. Crédits photo : MOHAMMED ABED/AFP
Comme un parfum de jasmin en Égypte. S'inspirant de la révolte tunisienne, des milliers de manifestants ont défilé mardi au Caire et dans d'autres villes du pays en lançant des slogans hostiles au pouvoir. Les protestataires, menés par des mouvements d'opposition, ont fait face à un déploiement policier massif.
Au Caire, environ 15.000 personnes ont manifesté dans plusieurs quartiers, notamment aux abords de bâtiments officiels du centre-ville. En face, entre 20 et 30.000 policiers étaient mobilisés. Pour tenter de disperser la foule, ces derniers ont utilisé des gaz lacrymogènes et des canons à eau. Des rassemblements ont également eu lieu en province, d'Alexandrie, au nord, à Assouan, au sud, dans le delta du Nil ou dans la péninsule du Sinaï.
Les manifestants, parmi lesquels de très nombreux jeunes, lançaient des slogans en faveur de réformes sociales et politiques. Certains, comme «La Tunisie est la solution» ou «Après Ben Ali, à qui le tour?», étaient directement inspirés par les événements tunisiens qui ont conduit à la chute du président après 23 ans de règne. Des manifestants ont également scandé «Moubarak dégage», visant directement le président égyptien en place depuis 29 ans.
Il est environ 16h, jeudi dernier à Roissy. Les passagers du vol AF 3096 à destination de Bamako ont quasiment tous embarqué. Muni d'un fin brassard orange, un fonctionnaire de l'Unité nationale d'escorte, de soutien et d'intervention (Unesi) de la police aux frontières (Paf) passe alors dans les rangs des voyageurs. Dans ses mains, des tracts qu'il distribue aux passagers en guise d'avertissement. S'ensuit un petit laïus quelque peu différent de celui habituellement récité par les hôtesses de l'air.
"Un expulsé va entrer dans l'avion, il risque de crier pendant cinq minutes mais tout ira bien après. Ne faites rien, car vous encourez l'expulsion de l'avion (et des sanctions pénales précisées dans le tract).".
En visite à Jéricho (Cisjordanie) mardi, Medvedev a annoncé officiellement la reconnaissance par la Russie de l'Etat palestinien dans ses frontières d'avant le 4 juin 1967, avec Jérusalem Est comme capitale.
Quelques heures après leur passage au fast-food, l'adolescent et son père ont été pris de vomissements et de violents maux de tête. "Il est encore trop tôt pour établir les raisons du décès", a précisé une source proche de l'enquête, soulignant que le garçon, d'une santé fragile, "aurait pu être victime d'une rupture d'anévrisme liée au stress et aux convulsions qui ont accompagné ses vomissements".