Enfant de la Société
Écoutons d'abord un petit interlude musical pour nous mettre en condition pour cet essai :
Tom Petty And The Heartbreakers - I Won't Back Down [Je ne reculerai pas - NdT]
C'est clair que j'ai mis les pieds dans le plat en écrivant sur les prétendus « chemtrails ». Les « flamers »[1] et agresseurs ad hominem sont sortis du bois, et lorsque ça arrive, vous savez que vous venez d'aborder un sujet brûlant ou de toucher un point sensible. Aurions-nous affaire à un groupe de béni-oui contrôlés par COINTELPRO et dont le but est de distraire l'attention du public afin que personne ne comprenne ce qui se passe réellement ?
Mes lecteurs savent que j'étudie les complots - je le fais depuis 1985, après avoir lu None Dare Call it Conspiracy [Personne n'ose appeler ça « complot » - NdT] et tenté de me convaincre qu'il s'agissait d'absurdités paranoïaques - en vain. De plus, j'ai payé le prix fort pour ce que j'ai appris et partagé. Je ne fais pas cela pour ma santé ou pour remporter un prix de popularité. Après tout, les tenants des religions officielles me haïssent et ont peur de moi, les types de la science officielle me haïssent, les New Agers me haïssent et même un tas de théoriciens du complot me haïssent. Je pense que c'est parce que je ne crois pas à l'adage « l'ami de mon ami est mon ami, et l'ennemi de mon ami est mon ennemi » ; je préfère prendre chaque situation à part et l'examiner selon ses propres mérites. Et lorsqu'on voit le genre de réactions que j'ai provoquées avec mon petit article sur les chemtrails, on se rend compte qu'il y a quelque chose de pourri au Danemark, que ça pue de plus en plus chaque jour et que cette puanteur ne vient pas des produits chimiques largués par des avions commerciaux.
J'ai décidé d'offrir une récompense de 5.000 couronnes (environ 560 euros) à nos locataires pour nous aider à constater quelles sont les personnes qui fument", explique Hans Selling, directeur de Mitthem, une société communale de Sundsvall, une ville située à 400 kilomètres au nord de Stockholm. "Ce n'est pas de la délation!", martèle-t-il. "Après avoir reçu une information, c'est nous qui devrons constater que cette personne fume bel et bien, une dénonciation anonyme ou autre ne suffit pas pour toucher la récompense", assure le syndic.
La définition la plus précise du fémicide, vient de Diana Russell, écrivain et activiste sud-africaine qui a beaucoup écrit à ce sujet. D'après elle, le fémicide est le meurtre d'une femme parce qu'elle est une femme.
Des centaines de milliers de femmes sont encore victimes chaque année de fémicide, qu'il s'agisse de crimes d'honneur, de violence conjugale ou d'assassinats à une échelle plus conséquente. Nous vous proposons un rapide état des lieux des régions du monde les plus touchées par ces meurtres.
Après des centaines d'oiseaux, de nombreuses vaches et des vautours qui avaient mangé les carcasses de celles-ci, deux éléphantes gravides, sorties du parc national de Kaziranga, en Assam (nord-est de l'Inde), ont été mortellement empoisonnées en broutant à proximité de plantations de thé pulvérisées de produits anti-fourmis.
Toute la ville, depuis hier soir, est à feu et à sang.
Attention : les images qui suivent sont très choquantes
La version française
Vendredi dernier, quatre individus armés pénétraient dans un restaurant de Niamey pour enlever deux jeunes français âgés d'une vingtaine d'années. Ce lieu considéré très sécurisé, est très fréquenté par les ressortissants français du Niger. Tous étaient loin de s'imaginer qu'un tel acte pouvait se produire en pleine capitale. Selon toute vraisemblance, l'opération a été perpétrée par Al Qaeda Au Maghreb Islamique (AQMI), même si celle-ci n'a pas revendiqué le rapt. Ainsi dès que l'alerte a été donnée par les nombreux témoins aux autorités du pays, une course poursuite a commencé. L'armée nigérienne a été soutenue dans cette opération, par des soldats français. En plus de la traque terrestre, un hélicoptère français suivait le véhicule 4x4 dans lequel se trouvaient les ravisseurs et leurs otages. Quelques heures plus tard, un communiqué officiel des autorités françaises annonçant la mort des deux jeunes hommes Vincent Delory et Antoine de Léocour. La France a alors affirmé que les ravisseurs ont tués leurs otages et se sont ensuite enfuis.
Le lancement d'un hebdomadaire payant du même nom n'a pas suffi à sauver le journal satirique. Dans un éditorial publié sur le site Bakchich.info, Nicolas Beau, le directeur de la rédaction, l'explique : « Une page se tourne. Bakchich va fermer ses portes fin janvier, annonce t-il. Nous sommes comme les chats qui meurent lorsqu'on les empêche de rêver. »