Enfant de la Société
L'inquiétude ne retombe pas à Rouen après le gigantesque incendie à l'usine Lubrizol le 26 septembre. Notre reporter, Katia Pecnik, présente sur place, fait état d'un air irrespirable à proximité de l'usine. « Même à plusieurs centaines de mètres, il y a une forte odeur d'essence brûlée », rapporte-t-elle. De nombreux internautes ont publié sur les réseaux sociaux des images surréalistes montrant une pluie noire et de l'essence sur les routes et à l'intérieur des cours des maisons.
Ceux d'entre nous qui ont vécu les événements du 11-Septembre ont assisté avec horreur au déclenchement du « Choc des civilisations » qui a plongé le monde occidental dans un « conflit » avec les valeurs du monde musulman, « justifiant » la torture, le terrorisme, les guerres d'agression, le pillage des trésors publics et la surveillance massive des États. Certains d'entre nous ont cru que le simple fait de démasquer les responsables des attentats et de la subséquente « guerre contre le terrorisme » nous permettrait d'éviter le désastre.
Si l'incendie était maîtrisé ce 26 septembre à la mi-journée, des craintes se font désormais entendre sur les risques sanitaires que pourrait entraîner cet incendie.
Le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, a assuré que grâce à « la manœuvre qui a consisté à déplacer les produits les plus dangereux », le risque de « sur-accident » est écarté alors que d'autres usines se trouvent dans cette zone industrielle située à trois kilomètres du centre-ville.
L'usine Lubrizol, classée seuil haut Seveso, où travaillent environ 400 employés, fabrique et commercialise des additifs qui servent à enrichir les huiles, les carburants ou les peintures industriels.
À la suite de bon nombre de personnalités politiques françaises, Maxime Bernier, chef de file du Parti populaire du Canada (PPC), s'est attaqué à l'écologiste suédoise Greta Thunberg, en mission pour la lutte contre le réchauffement climatique.
Acte 45 et marche pour le climat : trop de gaz pour les ONG, mais bonne stratégie pour les policiers
Au moins dix banques européennes ont annoncé depuis le début de l'année la suppression de plus de 44.000 postes, confirmant la passe très difficile que traverse un secteur confronté à des taux d'intérêt bas ainsi qu'à des tensions politico-commerciales.
Commentaire: Quel beau panorama ! Chaque chiffre dans cet article est le iceberg d'une catastrophe mondiale et en particulier de familles qui n'auront plus de travail avec tout le drame de la situation. L'avenir est incertain pour tous et l'argent est un des grands moyens que les gens au pouvoir ont trouvé pour contrôler le peuple. Ce n'est qu'un début.
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Se mobilisant à l'origine contre « la xénophobie » en Afrique du Sud, l'un des intervenants a dérapé en appelant aux meurtres des « Blancs », des « Chinois » et des « Indiens » : « La xénophobie doit s'arrêter. Si vous voulez être xénophobe, d'accord. Commencez par tuer les Blancs, commencez par tuer les Chinois, commencez par tuer les Indiens. Ne tuez pas vos frères [...] nous avons la même couleur [de peau]. »
Commentaire: On aura tout vu : lutter contre le racisme avec du racisme. Mais c'est le contraire qui arrive, on ravive le racisme et c'est là le but ultime de ces appels au meurtre.
Aux quatre coins de la planète, le paiement en cash est progressivement menacé de disparition. Faut-il s'en inquiéter ? Les explications de Laurent Grassin, journaliste sur Boursorama Ecorama du 9 novembre présenté par David jacquot sur boursorama.com
Commentaire: Encore un autre moyen, pas subtil du tout, d'avoir le contrôle sur tout. Imaginons donc un scenario : la Web tombe, nous devons payer notre petite comande de nourriture au maché, que va-t-il se passer ? Imaginons, oui. Et ceux qui n'ont pas les moyens de se payer un mobile ? Et les gens qui vivent dans la rue ?
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