Enfant de la SociétéS


Sheeple

La France et son « authentique » liberté d'expression

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Ce fut Charlie Hebdo et pas Minute. Quelque part, c'est un peu déstabilisant pour celui qui suit bien les cailloux laissés par les Petits Poucets de la Pensée Correcte, puisqu'au contraire de Charlie Hebdo, Minute est dans le camp du Mal et aurait donc dû être attaqué depuis fort longtemps. Mais baste, ce fut donc Charlie et presqu'instantanément, tout le monde fut Charlie.

En quelques jours, quelques heures même, la situation est passée d'assez morose à celle d'un magma effervescent où l'émotionnel semble tout dicter. La tension est presque palpable. Sur les réseaux sociaux, l'électricité règne dans les échanges et on s'étonne presque que, pour le moment, ni Zemmour, ni Dieudonné (par exemple) ne se soient fait buter. Au fait, s'ils tombent sous une rafale, combien porteront un petit panonceau « Je Suis Zemmour » ? Et pour le sulfureux hebdomadaire de droite (extrême ?), un panneau « Je suis Minute », ça le fait ? En tout cas, on peut souhaiter qu'ils seront aussi nombreux que ceux qui portèrent, sans hésiter, le panonceau « Je suis Charlie ».

En effet, on ne pourra que s'accorder sur le fait que, si tout le monde a porté le pin's Je Suis Charlie, s'est procuré le t-shirt ou le mug Je Suis Charlie, si tant ont même poussé la conscience jusqu'à s'abonner à un journal que pourtant, plus personne ne lisait, tout le monde, ou à peu près, est maintenant d'accord sur l'impérative et absolue nécessité de sauvegarder la liberté d'expression.

Commentaire: Et oui, c'est le grand ballet des hypocrisies devant l'autel de la « liberté » bafouée. En France, on s'indigne, on pleure, on s'étreint pour quelque chose qui a disparu depuis bien longtemps. Les mensonges médiatiques hypnotisent les foules, les politiciens bonimenteurs nourrissent le mensonge, la population est occupée, son esprit détourné vers ce qui n'a pas de réalité. Quel sort attend un peuple qui se préoccupe de ce qui n'existe pas ?


Camera

Selfie et tendances psychopathiques

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Selon une étude de l'Université de l'Ohio, les personnes de sexe masculin qui postent de nombreux autoportraits seraient différents.

Selon les chercheurs de l'université de l'Ohio, les hommes qui postent sans cesse des selfies sur les réseaux sociaux sont les plus susceptibles d'avoir des traits mentaux indésirables. Les chercheurs parlent même de psychopathes. "La psychopathie est caractérisée par l'impulsivité. Ils vont prendre une photo et aussitôt la poster. Ils veulent se voir. Ils ne veulent pas perdre du temps à metrre ça en ligne", explique le professeur Fox.

Les photographes en herbe qui immortalisent leur propre visage puis modifient les clichés à l'aide de filtres auraient les comportements anti-sociaux les plus extrêmes, exacerbés par le narcissisme et l'obsession de sa propre apparence.

"Il n'est pas surprenant d'apprendre que les hommes qui postent un tas de selfies et passent du temps à les mettre en ligne sont les plus narcissiques", explique la professeure Jesse Fox au DailyMail. "La conclusion la plus intéressante est qu'ils ont aussi un score supérieur en ce qui concerne leurs traits de caractère antisociaux, la psychopathie et prônent l'auto-objectivation. (...) Nous savons que l'auto-objectivation conduit à beaucoup de choses horribles comme la dépression ou les troubles alimentaires."

Commentaire: Évidemment, poster un selfie ne fait pas de vous un psychopathe. Mais cela nourrit certainement des tendances psychopathiques et narcissiques, qui iront en s'amplifiant, créant dans la foulée une addiction dangereuse, en particulier chez les enfants et adolescents.

- Facebook et les réseaux sociaux nous rendent-ils plus solitaires (et plus narcissiques) que jamais ?
- Narcissisme : La génération réseaux sociaux serait nombriliste


Bomb

Attentat contre Charlie Hebdo : plusieurs lieux de cultes musulmans attaqués en France et mystérieux suicide d'un commissaire lié à l'affaire

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Un policier enquêtant dans le kebab situé à côté de la mosquée de Villefrance-sur-Saône. Photo Emmanuel Foudrot-Reuter
Depuis l'attentat perpétré à Charlie Hebdo mercredi 7 janvier, des lieux de culte musulman ont fait l'objet d'attaques.

A Villefranche-sur-Saône (Rhône), aux alentours de 6h ce matin, la vitrine d'un kebab jouxtant la mosquée de la ville était soufflée par une explosion, rapporte Le Progrès. La piste criminelle a été confirmée par une source préfectorale. Sur place, le maire de Villefranche, Bernard Perrut, a estimé que l'explosion était très certainement "liée à l'événement dramatique qui est survenu ce mercredi", avant de déclarer: "Une telle situation est inquiétante et bouleversante et m'amène à lancer un message de cohésion, d'unité et de respect dans cette période douloureuse que traverse la France".

La veille, aux alentours de 00h30, une explosion se faisait entendre à proximité de la mosquée des Sablons au Mans. Le lendemain matin, les policiers retrouvaient une grenade à plâtre dans l'enceinte du lieu de culte ainsi qu'une balle ayant traversé l'une des vitres. Trois autres grenades intactes seront également retrouvées, rapporte Le Maine libre.

Extinguisher

Non, nous ne sommes pas Charlie

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On peine à imaginer la terreur et l'effroi absolus qu'ont pu ressentir les membres de CharlieHebdo dans les minutes qui ont précédé leur exécution, mercredi en plein cœur de Paris. Une banale séance de rédaction puis, soudain, des cris, des cagoules, des armes qui rugissent, des balles qui fracassent; c'est la guerre qui explose tout autour et ses éclats qui emportent tout, la chair, les os, puis les vies. En un instant, la salle de rédaction de CharlieHebdo n'est plus à Paris mais à Alep, à Homs, à Damas, où depuis trois ans des dizaines de milliers de Syriennes et Syriens connaissent la même horreur. Tous les jours, eux aussi sont arrachés de la banalité de leur vie pour être exterminés par les bouchers d'al-Nosra et affiliés, dont Fabius nous assure que «sur le terrain, ils font du bon boulot» (1). Aujourd'hui, leurs émules ont fait leur «boulot» au cœur de Paris. Reste à savoir pour le compte de qui.

Non « Nous ne sommes pas Charlie »

Le crime est abject, injustifiable et révoltant. Nous laisserons toutefois l'instrumentalisation des grands sentiments larmoyants aux merdias de masse embedded dont la mobilisation générale permet aujourd'hui - hormis de faire davantage d'audience sonnante et trébuchante - , d'offrir un répit inespéré aux pouvoirs agonisants du Système en général, et à celui de Flanby en particulier. Et même si nous condamnons avec la dernière énergie cet acte terroriste - comme nous condamnons toutes formes d'acte terroriste qu'il soit perpétré par des fanatiques ou par un État - , nous nous empressons de dire aussi que non, trois fois non, « nous ne sommes pas Charlie ».

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Non, le cancer n'est toujours pas le fruit du hasard

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En ces premiers jours de 2015, les médias ont diffusé le message selon lequel le cancer serait essentiellement le fruit du hasard. Une aubaine pour les industriels de l'amiante, de la chimie, des pesticides, du nucléaire, du pétrole et j'en passe... Pour eux, sans aucun doute, cette « découverte scientifique » devrait clore toute controverse sur le rôle des risques industriels dans la survenue du cancer !

L'origine de cette pseudo-découverte est un article paru dans la prestigieuse revue Science, le 2 janvier, présentant les résultats d'une corrélation statistique particulière (Christian Tomasetti et Bert Vogelstein, « Variation in cancer risk among tissues can be explained by the number of stem cell divisions », www.sciencemag.org, 2 janvier). Partant de l'observation d'une différence de fréquence du nombre de cancers selon les organes (poumon, colon, cerveau, etc.) - à l'exclusion de ceux qui sont actuellement en augmentation vertigineuse (sein et prostate) - , Christian Tomasetti et Bert Vogelstein font l'hypothèse que ces variations s'expliqueraient par des modalités différentes de division cellulaire au sein de ces organes. Ils prennent en considération ce que les biologistes appellent les cellules souches, qui ont la capacité de s'autorenouveler, de se différencier en d'autres types cellulaires et de proliférer en culture. Ils établissent ensuite une corrélation statistique entre le nombre total de divisions cellulaires de ce type de cellule sur la durée moyenne de la vie dans la population américaine et le risque moyen de survenue du cancer de tel ou tel organe aux États-Unis. Statistiquement significative, la corrélation est alors interprétée comme validant l'hypothèse selon laquelle le cancer serait issu - pour l'essentiel - d'un sinistre loto cellulaire. La faute à « pas de chance » !

Commentaire: Voir aussi l'article précédent sur le même sujet :

- Cancer, malchance... et propagande ?


Gear

11 Septembre, peurs et dissonance cognitive (partie 2)

Traduction : Le foofighter

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En répondant à la question posée par le titre de cet essai, le chapitre du mois dernier [NdT : déjà traduite sur le site] a abordé les problèmes, d'une part du fait que la résistance à l'information qui défie sensiblement notre vision du monde est la règle plutôt que l'exception ; d'autres part des diverses formes de peur qui sous-tendent cette résistance, notre « mythe sacré » Américain ; et enfin de l'observation que beaucoup d'entre nous voient inconsciemment nos dirigeants gouvernementaux comme des figures parentales sur lesquelles nous projetons nos besoins (souvent non satisfaits) d'être protégés. Ici, dans la partie 2, Mme Shure poursuit son analyse par une étude anthropologique sur le processus par lequel les nouvelles idées sont acceptées dans les sociétés, avec en point de mire les possibilités d'acceptation de la vérité sur ce qui s'est réellement passé le 9/11.

Les anthropologues et les sociologues ruraux ont systématiquement observé qu'au sein de diverses cultures, nous pouvons trouver des groupes qui sont plus ou moins ouverts à de nouvelles idées et technologies, lesquels groupes peuvent être représentés dans une courbe en cloche. Dans chaque culture, quelques membres audacieux (seulement 2,5%) adoptent facilement les innovations. Ces gens audacieux sont appelés des « innovateurs ».

Commentaire: A la lumière des derniers évènements concernant Charlie Hebdo, on comprendra bien qu'une information passée par le filtre médiatique habituel joue un rôle obligatoirement corrupteur dans notre compréhension des évènements. Le 11 septembre nous l'a durement appris. Saurons-nous ne pas réagir afin de mieux réfléchir, et ne pas faire, à nouveau, le jeu de ceux qui ont planifié ces assassinats ?


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Cancer, malchance... et propagande ?

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Il arrive que des recherches soient très mal résumées par des médias. Mais en fin de semaine, la rapidité avec laquelle des journalistes et des blogueurs ont corrigé le tir à propos d'une recherche sur le cancer, a laissé dans l'ombre le fait que le terme erroné qui avait été initialement employé par des journalistes avait en fait été tiré... de la recherche elle-même.

Est-il possible que les deux tiers des cas de cancer soient causés par une simple malchance (bad luck), comme on a pu initialement le lire, vendredi et samedi, dans plusieurs médias ? En d'autres termes, serait-il possible qu'on doive cesser de blâmer notre style de vie, la cigarette ou la pollution, et attribuer plutôt les deux tiers de nos cancers à la malchance d'un mauvais gène? Bien que ce ne soit pas vraiment ce que la recherche parue le 2 janvier dans Science ait conclu, il n'empêche que l'expression « bad luck » a bel et bien été tirée de cette recherche. Et le communiqué de presse de l'Université John Hopkins parle de cette « bad luck » dans des termes dont la subtilité aurait échappé au meilleur des lecteurs :

Commentaire: Depuis quelques jours, les rubriques santé des sites web font gorges chaudes de l'article salvateur : « Le cancer, c'est la faute à pas d'chance ». On pourrait certes se dire que c'est une bonne nouvelle : enfin une étude qui nous déresponsabilise. Mauvaises habitudes alimentaires ? Manque d'hygiène psychique et émotionnel ? Expositions diverses et variées à tous les polluants issus d'un monde que nous avons créé ? Qu'y faire, puisque la malchance est de la partie...

Ce qui est étonnant, et malgré la rectification apportée par l'article, c'est que personne ne semble s'interroger sur la pertinence de l'emploi du mot malchance. Pourquoi n'emploie-t-on pas, pour le remplacer, une expression du genre : d'autres facteurs que nous ne connaissons pas semblent entrer en ligne de compte puisque l'on peut constater l'apparition de cellules cancéreuses, dans certaines conditions et pour certains organes, que nous ne pouvons que qualifier d'« aléatoire » car nous ignorons pour l'instant les cause de cette manifestation.

Et bien sûr, pour cette étude qui se base sur d'autres études, il faudrait savoir quels ont été les paramètres pris en compte et considérés comme facteurs favorisant le cancer pour telle ou telle partie du corps. On peut raisonnablement douter, par exemple, que les études mentionnées aient pris en compte les effets de l'électro-magnétisme sur la cellule, les effets d'une consommation régulière d'OGMs, les effets cocktails de produits chimiques touchés, respirés ou ingérés, le tout, étalé sur plusieurs années. Voilà pourtant de quoi altérer quelque peu nos brins d'ADN... et transformer la malchance en tout nouveaux facteurs cancéreux à découvrir.

- L'ADN des OGM transféré aux humains qui les mangent?
- L'ADN endommagé par les nano-particules
- Un mode de vie malsain bouleverse notre ADN
- Le Wi-Fi des portables dégraderait l'ADN des spermatozoïdes

Volontaire ou pas, l'emploi du mot malchance est bien loin d'être anodin. Il nourrit la croyance que nous ne pouvons avoir aucun contrôle sur notre corps, que tout arrive de façon inopinée et hasardeuse, vidé de toute signification. Qu'il est normal de tomber malade et de s'en remettre au médecin tout puissant qui saura prescrire, lui seul, l'unique remède contre la malchance...


Nuke

Le mystère Tricastin et l'extraordinaire sûreté de nos centrales nucléaires

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Les riverains de la centrale nucléaire du Tricastin ont imaginé que les nombreuses explosions entendues en ce début d'année n'étaient que des pétards de fêtards... Ils s'étaient lourdement trompés.

Mais que s'est-il donc passé dans la soirée du 31 décembre 2014, vers 19h30 ? Comme à son habitude, l'exploitant nucléaire a publié un communiqué laconique et plutôt évasif, dans lequel apparaissait nettement la volonté de rassurer.

« Ils (ces bruits) ont été causés par un problème d'étanchéité d'une soupape du circuit secondaire qui alimente en vapeur la turbine, en zone non nucléaire (...) une équipe est intervenue et la soupape a été réparée en une heure ».

Nous voilà donc rassurés... mais on sait la discrétion d'EDF en matière de nucléaire, et dont la règle est de ne surtout affoler personne, comme on a pu le constater régulièrement. D'après Next-Up organisation, entre 10 000 et 25000 personnes ont été réveillées par des détonations et des sifflements, et ils ont pensé que ça provenait des feux d'artifice que la ville de Pierrelatte organise régulièrement en ce début d'année. Or ce n'était pas le cas, ces bruits inquiétants et incongrus venaient de la centrale nucléaire du Tricastin qui a été contraint à 4 dégazages en 24 heures, suite à des surpressions de vapeur.

Nuke

Centrale nucléaire du Tricastin : problème de soupape ou dégazages de vapeur radioactive ?

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© InconnuLe réacteur n° 4 redémarre après quatre mois d’arrêt.
Le réacteur n° 4 de la centrale nucléaire du Tricastin est actuellement en cours de redémarrage après la visite décennale qui a duré quatre mois, un peu plus longtemps que prévu. Plusieurs riverains ont été surpris d'entendre des bruits de détonation et d'apercevoir un panache de fumée dans la soirée du 31 décembre vers 19 h 30. « Ils ont été causés par un problème d'étanchéité d'une soupape du circuit secondaire qui alimente en vapeur la turbine, en zone non nucléaire » explique EDF. « Une équipe est intervenue et la soupape a été réparée en une heure.

Les essais ont continué et la montée en puissance du réacteur se poursuit normalement » ajoute la direction de la centrale.

Un dépôt d'iode 131 repéré selon Next-Up

L'organisation environnementale Next-Up affirme pour sa part que le phénomène qu'elle qualifie de « dégazages de vapeur radioactive » a continué vers 1 h 30 du matin puis vers 20 heures le 1er janvier.

Vendredi soir, Next-Up a effectué des mesures de radioactivité autour de la centrale. Elle affirme avoir détecté un dépôt d'iode 131 avec un faible taux de radioactivité (0,41 microsievert) qui serait lié au redémarrage du réacteur, près de la STMI à Bollène, à 3 km au sud de la centrale.

Commentaire: Tricastin, il n'y a pas si longtemps :

- Centrale nucléaire du Tricastin : un agent irradié
- Tricastin : trois ouvriers de la centrale touchés par du liquide radioactif
- Pré-alerte Tricastin


Family

Grèce : un futur renversement pour un message à l'Europe ?

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Alors que des élections législatives cruciales vont avoir lieu en Grèce, Alexis Charitsis, membre du secrétariat de Syriza, explique comment le parti gouvernerait et les répercussions à prévoir, dans toute l'Europe, contre l'austérité et la pensée néolibérale.

En Grèce, Le premier ministre Antonis Samaras n'a pas réussi à faire élire un Président de la République. Des élections législatives cruciales auront lieu dès janvier 2015.Les sondages donnant Syriza gagnant, une certaine panique s'empare des institutions de la Troïka - Commission européenne, Banque centrale européenne, Fonds monétaire international - dont les politiques d'austérité ont produit des ravages économiques et sociaux (lire "Austérité en Grèce : les chiffres du désastre"). Pour mieux comprendre comment Syriza envisage cette échéance cruciale et se prépare à l'épreuve du pouvoir, nous avons interrogé Alexis Charitsis, membre de son secrétariat. Qui insiste sur l'impact de cette éventuelle victoire dans toute l'UE.

Commentaire: Concernant la Grèce :

- La Grèce va mal
- Grèce : un pays fantôme

Nul doute que les malades qui président à l'Union Européenne voient d'un très sale œil la possibilité donnée aux grecs de (re)prendre une indépendance politique, économique. Et l'exemple récent d'une Écosse voulant son indépendance mais ne l'ayant pas obtenu à de quoi faire réfléchir :

- Les résultats du référendum écossais indubitablement truqués
- Des fraudes électorales massives au référendum sur l'indépendance de l'Écosse
- Démocratie ? Quelques preuves sur le trucage du référendum écossais

Et pourtant, pas besoin de 50 exemples de réussite en la matière pour déstabiliser les dirigeants européens ; un seul suffirait. Et si ce ne fut pas (pour l'instant) l'Écosse, espérons alors pour la Grèce, ou même l'Espagne...