Enfant de la SociétéS


Smoking

Etats-Unis : un chanteur de country abattu pour avoir fumé dans un bar

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Après un concert hommage à un autre 'country man' disparu récemment, George Jones, il avait décidé de finir sa nuit dans un bar de la ville. Une dispute l'a opposé au patron de l'établissement qui lui demandait d'éteindre sa cigarette puisqu'il était dans un espace non-fumeur.

La dispute s'est envenimée en une embrouille plus sévère au cours de laquelle le patron du bar, se sentant menacé, a alors dégainé un revolver et fini par tirer sur Wayne Mills qui est mort un peu plus tard à l'hôpital.

Books

La vérité sur le système d'éducation


Star of David

Une ex-soldate israélienne admet avoir tué beaucoup d'enfants palestiniens

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© Inconnu
C'est apparemment sans remord qu'Elena Zakusilo a expliqué à la télévision ukrainienne avoir tué des Palestiniens, dont de nombreux enfants et avoir entraîné des chiens à attaquer des Palestiniens dans leurs villages.

Interviewée par la télévision ukrainienne, le 4 novembre dernier, à l'occasion de l'émission « Détecteur de mensonges », cette femme a admis avoir tiré sur un nombre incalculable de Palestiniens, dont des enfants lors de son service au sein de l'armée israélienne, et notamment lors des manifestations qui ont suivi la mort de Yasser Arafat en 2004.

Elle s'est justifiée en disant que tout cela était « la faute des mères palestiniennes qui envoient leurs enfants âgés de 3 ou 4 ans jeter des coktails molotov et ne se soucient pas de la vie de leurs enfants » (sic !)

Elle a aussi expliqué qu'elle entraînait des chiens de l'armée à mener des « raids sur des villages palestiniens et à attaquer les Palestiniens qu'ils croisaient, avant l'arrivée des soldats »

« Nous avons les moyens de télécommander ces chiens à une distance allant jusqu'à 10 kms », a-t-elle précisé, en ajoutant qu'elle avait « formé à cela 150 chiens. »

Cette charmante personne s'est dite prête à retourner en Israël « pour continuer à tuer des ennemis », notamment « si elle rencontrait des difficultés financières en Ukraine » !!

Source et vidéo : http://www.maannews.net/eng/ViewDet...

Che Guevara

Le libanais pro-palestinien Georges Ibrahim Abdallah est le plus vieux prisonnier politique d'Europe

Le militant communiste pro-palestinien est incarcéré depuis près de trente ans. Or une simple signature du ministre français Manuel Valls suffirait à rendre au Libanais de 62 ans sa liberté.

Georges Ibrahim Abdallah
© InconnuGeorges Ibrahim Abdallah
« Je suis ici, Messieurs, pour vous demander simplement de bien vouloir laver vos mains maculées de notre sang et du sang de nos mômes, avant de prétendre nous juger, car celui qui accepte de fouler aux pieds le sang de vingt-cinq mille morts tombés au Liban lors de l'invasion impérialo-sioniste de 1982 ne peut qu'être le complice direct de Reagan et de Begin dans leur guerre d'extermination contre notre peuple. » Ces paroles, Georges Ibrahim Abdallah les a prononcées le 26 février 1987, lors du procès qui allait conduire à sa condamnation à perpétuité par la cour de justice de Paris, pour « complicité d'assassinats » en tant que leader supposé de la Fraction armée libanaise révolutionnaire (FARL), responsable des meurtres du lieutenant-colonel Ray, attaché militaire adjoint des USA en France, et de Yacov Barsimentov, conseiller à l'ambassade d'Israël.

A l'époque, ce militant communiste et pro palestinien a vécu les affres de dix années de guerre civile au Liban. Il vient d'assister impuissant au massacre des Palestiniens réfugiés dans les camps de Sabra et Chatila en septembre 1982 par les phalangistes chrétiens libanais, sous les yeux de l'armée israélienne, tandis que la Force multinationale venait d'escorter dix mille combattants palestiniens hors du Liban. Un massacre jusqu'à ce jour impuni.

Better Earth

Meilleur du Web: Les tambours de Gaïa se sont réveillés

Tambour
© Inconnu

Une nuit de pleine lune embrasée de feux de forêts d'eucalyptus australiens naufragés dans la vallée de l'Urubamba, près de Cuzco dans les Andes - sur les pentes déforestées et érodées de ce qui fut autrefois le berceau de la cornucopia des Incas et des peuples millénaires qui les précédèrent - Xochipelli le Rêveur rencontra Kokopelli le Porteur de Semences. Il lui asséna une question fatidique : il y a 14 000 années de cela, l'agriculture n'aurait-elle pas été le début du chaos social ? Et il déclina coléreusement les dommages collatéraux de cette invention « tombée du ciel » après des millions d'années de chasse et de cueillette : surpopulation, monocultures, esclavage des animaux domestiques, établissement des villes avec leurs polices, leurs armées et leurs tribunaux afférents... et surtout, la destruction intégrale de la biosphère. Il lui asséna une seconde question fatidique : Monsanto, Syngenta, Bayer - et tous les criminels de l'agrochimie - ne constitueraient-ils pas l'aboutissement inéluctable de cette invention de l'agriculture ? Jardin, gardien/warden, garden : les étymologies ne mentent jamais.

Avons-nous donc, aujourd'hui, le droit ou le devoir de poser ces questions tabous ? Surtout nous, l'Association Kokopelli, dont la mission essentielle est de protéger les semences libres, de favoriser l'expansion des jardins familiaux et de promouvoir toutes les techniques agro-écologiques qui permettent aux peuples de se libérer du joug des multinationales. Ce que nous faisons depuis 20 ans avec un enthousiasme d'autant plus expansif que nous sommes de plus en plus soutenus dans notre lutte pour la libération des semences et de l'humus.

Au fil de ces deux derniers milliers d'années, les tambours qui rythmaient la vie quotidienne des Peuples Premiers, des Peuples Indigènes, se sont tus, à jamais, de la Sibérie au Congo, de la Chine au Pérou ... et sur toute la planète. Ces peuples qui n'avaient pas inventé le concept d'écologie - puisqu'il ne leur était pas venu à l'imagination de détruire les écrins de vie qui les nourrissaient - furent annihilés inexorablement par un syndrome connu sous le nom de détergent blanc plus que blanc.

Che Guevara

Dieudonné répond à Yann Barthès, avec, en bonus, une quenelle de Mamadou Sakho


Che Guevara

Meilleur du Web: Matt Damon : « Notre problème, c'est l'obéissance civile »

Matt Damon, un ami de longue date d'Howard Zinn et de sa famille, a lu des extraits d'un discours d'Howard Zinn qu'il a donné en 1970 dans le cadre d'un débat sur la désobéissance civile.


Zinn était connu en tant qu'historien et politologue américain, Professeur au département de science politique de l'Université de Boston durant 24 ans. Il a également été un acteur de premier plan du mouvement des droits civiques et du courant pacifiste aux États-Unis.

Matt Damon a fait ce discours le 31 Janvier 2012 dans le cadre d'un événement appelé "The People Speak, Live !", qui donne la parole aux rebelles, aux dissidents, et aux visionnaires d'hier et d'aujourd'hui.

Newspaper

Vous voulez vraiment ce poste ? Et bien dansez maintenant

Les entreprises rivalisent de créativité pour renouveler l'exercice de l'entretien d'embauche. Mais ces initiatives ne sauraient faire oublier la nature inégalitaire du recrutement, à la défaveur du candidat.

Lorsque Alan Bacon a décroché son entretien d'embauche au magasin d'électronique Currys à Cardiff pour un poste de vendeur, ce jeune étudiant britannique de 21 ans s'attendait à défendre sa candidature sur ses diplômes et ses compétences. Mais quelle ne fut pas sa stupéfaction quand, face à ses recruteurs, on lui demanda de faire la «danse du robot» sur de la musique électronique. «Je me suis senti très embarrassé et mal à l'aise, à danser sur 'Around the World' de Daft Punk, faisant la danse du robot dans mon costume face à un groupe d'inconnu», raconte le jeune étudiant britannique de 21 ans à la BBC. «J'ai dit à mon père que c'était digne d'une scène de «The Office» [une série britannique satirique sur la vie au bureau, NDLR]. Je serais bien reparti, mais j'ai besoin d'un travail.»

Key

Le survivalisme, une philosophie de l'indépendance


Music

Flashback Norman Finkelstein : « Que dire d'un pays qui pense que BHL est un philosophe ? »

Norman Finkelstein : « La loi Gayssot est ridicule. » « Chacun devrait avoir le droit de dire ce qu'il pense. »

La loi Gayssot existe pour faire taire les esprits libres qui voudraient notamment revisiter l'histoire telle qu'elle est enseignée.