Enfant de la SociétéS


Binoculars

Devant l'évidence des massacres à Gaza, Rafah et maintenant en Cisjordanie, il ne reste plus que le mensonge

Devant l'évidence des massacres à Gaza, Rafah et maintenant en Cisjordanie, il ne reste plus que le mensonge. Heureusement, c'est la spécialité du gouvernement et de l'armée israéliens !
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© DPAIl y aura un avant et un après génocide.
Le CEMA ne vient-il pas de déclarer, « Tsahal n'est pas en train de tuer à tout-va et ne commet pas de génocide » ? Comme dans 1984, il suffit de tout inverser pour avoir la réalité. Sans rire, le lieutenant-général Herzi Halevi déclare :

Warning

Un militaire s'immole par le feu devant l'ambassade israélienne à Washington

Un membre en service actif de l'armée de l'air américaine s'est immolé par le feu devant l'ambassade d'Israël à Washington, dimanche, en signe de protestation contre la guerre en cours en Palestine. L'homme de 25 ans s'appelait Aaron Bushnell. Transporté à l'hôpital dans un état critique, il a succombé à ses graves blessures.
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Dans la vidéo qu'il a postée sur les réseaux sociaux (Twitch), l'aviateur en uniforme déclare : « Je m'appelle Aaron Bushnell, je suis un membre en service actif de l'armée de l'air des États-Unis et je ne serai plus complice d'un génocide. »

Star of David

Israël ne dispose d'aucun droit moral à exister

En 1982, quelque 20.000 Palestiniens et Libanais ont été massacré
© Illustration Mahdi Rteil/Al-MayadeenEn 1982, quelque 20.000 Palestiniens et Libanais ont été massacrés lorsque l’armée israélienne a envahi le Liban et forçé l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) à fuir.
Le régime israélien est unique dans son besoin constant de reconnaissance. Aucun autre régime ne recherche constamment la reconnaissance de ses ennemis, ni ne tente de recevoir une approbation morale de son comportement de la part de ses pairs. Si un régime devait se passer du « droit à l'existence » fondé sur le mérite, ce serait bien Israël.

Black Cat

Le silence des coupables

L'Occident accuse à l'unisson Poutine d'avoir ordonné l'assassinat de Navalny. Cependant, le moment de sa mort est plus que suspect : Navalny est mort le 16 février, le jour même de l'ouverture de la conférence de Munich sur la sécurité, une semaine après l'interview réussie de Poutine avec Tucker Carlson, un mois avant les élections présidentielles en Russie auxquelles Poutine est candidat.
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Front à Kiev
En d'autres mots, Poutine aurait ordonné l'assassinat de Navalny au moment le plus opportun pour se nuire le plus possible.

Gavel

Chine: Le recours des Palestiniens à la force pour résister à l'oppression est fondé en droit international

Ambassadeur de Chine auprès de l’ONU
© X /
La Chine a déclaré, jeudi, devant la Cour Internationale de Justice (CIJ), que le recours des Palestiniens à la lutte armée pour obtenir l'indépendance, face au joug colonial étranger, était "légitime" et "fondé" au regard du droit international.

L'Ambassadeur de Chine auprès de l'ONU:
"il est grand temps de mettre en œuvre la solution à deux États par des mesures concrètes et d'assurer l'adhésion à part entière de la Palestine à l'ONU".

Control Panel

Navalny, miroir de nos obsessions

Alexeï Navalny
© Pavel Golovkin, Archives AP.Alexeï Navalny lors d’une manifestation, à Moscou, en 2019
Maintenant qu'il est mort, Navalny a le droit de reposer en paix. Mais il aura mené une vie très agitée, qui n'aura laissé personne indifférent, en Occident surtout. Alors que son cadavre était encore tiède, on a vu l'ensemble des médias et des dirigeants politiques occidentaux se lamenter et déplorer les larmes aux yeux la mort du « martyr de la liberté tué par Poutine » tandis que sa veuve visiblement très contente d'elle lisait un discours qui semblait préparé d'avance à la Conférence sur la sécurité de Munich.

Syringe

Vive l'ère des cobayes humains : Pfizer annonce 17 nouveaux traitements en France d'ici à 2026

Le butin issu du Covid-19 n'était peut-être qu'un début pour Pfizer, qui prévoit de lancer 17 nouveaux traitements dans l'Hexagone au cours des deux prochaines années. Sans surprise, thérapies géniques et vaccins sont au programme.
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La France représente le 5ᵉ marché mondial pour Pfizer, et le 2ᵉ marché européen. Le laboratoire américain mise donc gros sur le pays, prévoyant d'y commercialiser des "traitements, vaccins et extensions d'indications dans les champs de l'oncologie, de la prévention vaccinale, des maladies rares et inflammatoires, et des anti-infectieux".

Explosion

Je suis un médecin américain qui s'est rendu à Gaza. Ce que j'y ai vu, ce n'est pas une guerre, c'est un anéantissement.

gaza destruction
Fin janvier, j'ai quitté mon domicile en Virginie, où je travaille comme chirurgien plasticien et reconstructeur, et j'ai rejoint un groupe de médecins et d'infirmières qui se rendaient en Égypte avec le groupe d'aide humanitaire MedGlobal pour faire du volontariat à Gaza.

Caesar

Jean Dominique Michel nous présente son dernier livre pour mieux anticiper demain

Cette semaine nous avons demandé à notre membre d'élite franco-suisse préféré qu'il veuille bien nous parler de son dernier ouvrage. Il traite de la crise Covid, pour ceux qui n'y voient plus aucun intérêt, merci de bien vouloir réaliser que les Députés Français ont décidé de lui donner une suite angoissante il y a quelques jours en interdisant dorénavant aux médecins le droit d'émettre la moindre critique à l'encontre de tout traitement ou vaccin reconnu validé par les industriels du secteur, sous peine d'amende ou de prison.
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La France s'enfonce donc dans une régression catastrophique de ses libertés et les réflexions émises ici par Jean-Dominique Michel dans cet article, rédigées avant le scandale, tendraient à leur conférer un caractère franchement prophétique. Extra-lucide, Jean-Dominique ? Un élément de réponse à la fin de ce texte, bonne lecture.

Microphone

L'ambassadeur des États-Unis en URSS, Jack Matlock, révèle la doctrine d'hégémonie des USA

jack matlock
© Études sur la Neutralité
Les États-Unis ont « hérité » de la Doctrine Brejnev, déclare le dernier ambassadeur américain en Union soviétique, Jack Matlock. En tant que l'un des hommes qui ont négocié la fin de la Guerre froide, l'ambassadeur Matlock parle dans une interview franche de la manière dont les États-Unis ont utilisé systématiquement et sans remords des opérations de changement de régime depuis que l'URSS a officiellement cessé de le faire et comment les motivations pour ces changements sont, comme elles l'étaient pour l'URSS, une question d'idéologie. Pour diffuser « l'ordre mondial libéral », les États-Unis aujourd'hui iraient plus loin que leur ancien rival.