Enfant de la Société
Nos libertés ne sont plus, et le peu qu'il nous reste de droits nous sera ravi sous peu, soyez-en sûr. D'ailleurs désormais les médias ne parlent plus de ce qui serait interdit, mais bien de ce qui est encore autorisé par nos mamamouchis omnipotents, omniscients, et si tellement préoccupés par notre protection. Vous le voyez, là, le petit glissement sémantique?
Nous vivons au quotidien les suppressions brutales de vidéos de la plateforme YouTube. Facebook est pas mal dans son genre aussi. Toutefois, dans cette vidéo, nous découvrons une forme surprenante de censure. Cette fois-ci, elle est directe, et empêche un représentant de la presse de formuler sa question normalement lors d'une conférence de... presse de son gouvernement. Assez troublant. En cas de censure de cette vidéo, vous pouvez allez directement sur la page de KAIROS - journal antiproductiviste pour une société décente.
Après plus de 7 mois d'interdiction, le gouvernement belge a tout fait pour que le journaliste de Kairos ne puisse pas accéder à la conférence de presse du 27 novembre.
Une fois dans le « bunker », grâce à sa persévérance et à son avocate, Alexander De Croo a vraisemblablement évité qu'il pose sa question. Alors qu'il insistait et demandait cinq fois la parole, Alexander De Croo l'a volontairement désigné en dernier : ainsi, la régie pouvait sciemment couper le micro et l'image, et donc le censurer.
La question interdite
« Des dizaines de milliers de chômeurs, une augmentation massive de suicides, des violences familiales exacerbées, des personnes mises à la rue, un décrochage scolaire massif ; divorces, alcoolisme, violences sociales, croissance des cas psychiatriques, perte de repère, chez les jeunes notamment, totalement incapables de se projeter dans l'avenir, étudiants du supérieur rivés devant des écrans toute la journée, en dépression, paupérisés par l'absence de jobs, des sans domiciles qui meurent encore plus nombreux... Afin d'évaluer le rapport coût/bénéfice des mesures politiques prises contre le Covid, quand comptabiliserez-vous les conséquences sociales, économiques, sanitaires de ces mesures ? Ne pensez-vous pas que les supposés effets bénéfiques de ces mesures sont contrebalancés par leurs conséquences dramatiques ? »La vidéo :
« Arrêtez de nous contrôler », ont scandé des manifestants Plusieurs centaines de manifestants, dont la plupart ne portaient pas de masque, ont ainsi enfreint les règles strictes interdisant les rassemblements de masse pour battre le pavé des rues de la capitale britannique. On a pu y entendre des cris comme « Liberté » et y voir des pancartes sur lesquelles étaient écrits des slogans comme « Arrêtez de nous contrôler », « Démasquez la vérité » ou encore « Plus de confinements ».
Les puissances occidentales le soupçonnaient d'avoir dirigé des recherches destinées à doter la République islamique de l'arme atomique. Le président iranien, Hassan Rohani, a accusé samedi son ennemi juré Israël d'avoir agi comme "mercenaire" des États-Unis.
Gérald Darmanin, le Ministre de l'Intérieur a demandé au Préfet de police de suspendre les policiers impliqués.
En pleine polémique sur la loi sur la sécurité globale qui sanctionne la diffusion « malveillante » de l'image des policiers et qui a été adoptée par l'Assemblée Nationale mardi 24 novembre, une vidéo montre l'importance des images.
Dans ce reportage, ils parlent de 50 millions de personnes concernées dans tout leur pays et de plus de 7 millions d'enfants dans une extrême pauvreté.
Ce texte reflète l'état d'une âme tombée dans un découragement profond, un accablement qui peut sembler s'opposer au texte plein d'espoir que nous avons publié il y a quelques semaines : « Ne perdez pas espoir, nous sommes faits pour affronter le défi de cette époque ». Pourtant, et bien qu'il puisse sembler désespéré quant à ce qui pourrait advenir, il offre aussi, et de façon paradoxale, un sentiment qui incline l'individu à espérer, parce qu'en dépit de tous leurs plans, les élites mondialistes ont tendance dans leur hubris à faire fi du fait que rien ne se passe jamais comme prévu, et qu'il s'agit de la seule chose que nous apprend le futur en devenant le passé.
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Je suis chirurgien et j'ai effectué plus de 10 000 interventions chirurgicales avec un masque chirurgical. Cependant, ce seul fait ne me qualifie pas vraiment comme expert en la matière. Plus important encore, j'ai été rédacteur en chef d'une revue médicale. Je sais comment lire la littérature médicale, distinguer la bonne science de la mauvaise, et les faits de la fiction. Croyez-moi, la littérature médicale est remplie de mauvaises fictions qui se font passer pour de la science médicale. Il est très facile d'être trompé par la mauvaise science.
Note : Voir nos articles relatifs à à cette « mauvaise science » :Depuis le début de la pandémie, j'ai lu des centaines d'études scientifiques consacrées aux masques médicaux. Sur la base d'un examen et d'une analyse approfondis, il ne fait aucun doute dans mon esprit que les personnes en bonne santé ne devraient pas porter de masques chirurgicaux ou en tissu. Nous ne devrions pas non plus recommander le port universel du masque pour l'ensemble de la population. Cette recommandation ne s'appuie sur aucune preuve scientifique digne de ce nom.
- Corruption dans les systèmes de santé du monde entier — Un secret de polichinelleSelon les rédacteurs en chef de The Lancet et du New England Journal of Medicine, « la puissance financière de Big-Pharma est telle que nous sommes contraints de publier certains articles » — Et Surgisphere dans tout ça ?
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- Les dessous d'une mauvaise science devenue religieusement universelle
Tout d'abord, soyons clairs. L'hypothèse selon laquelle le port du masque chez les chirurgiens serait une preuve que « les masques doivent par conséquent fonctionner pour prévenir la transmission virale » constitue un sophisme que je qualifierais d'argument de fausse équivalence, ou de comparaison entre deux choses qui ne sont pas comparables.
Bien que les chirurgiens portent des masques pour empêcher leurs gouttelettes respiratoires de contaminer le champ opératoire et les tissus internes exposés de nos patients, l'analogie s'arrête là. Il est évident que les chirurgiens ne peuvent pas « s'éloigner socialement » de leurs patients — à moins d'utiliser des dispositifs chirurgicaux robotisés, auquel cas, je ne porterais certainement pas de masque.
L'OMS recommande désormais de ne pas administrer de remdesivir aux malades du Covid-19 hospitalisés, évoquant « la possibilité d'importants effets secondaires ». Pourtant, un mois et demi plus tôt, l'UE signait un accord d'approvisionnement massif avec le laboratoire Gilead.
Stéphane Gayet, infectiologue au CHRU de Strasbourg et Gilbert Collard, député européen du Rassemblement national, étaient invités pour évoquer ce nouveau problème sanitaire lié à la crise du Covid-19.
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