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« On cherche à faire passer Dieudonné pour un fraudeur »


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Journée de Retrait de l'École - Allocution de Farida Belghoul


Star of David

Charte du réseau international juif anti-sioniste

Nous formons un réseau international de Juifs et de Juives qui s'engagent de façon inconditionnelle en faveur de la lutte pour l'émancipation des êtres humains. Nous considérons que la libération du peuple palestinien et de sa terre forme un volet essentiel de cette émancipation. Notre engagement porte sur le démantèlement du régime d'apartheid israélien, le retour des réfugiés palestiniens et la fin de la colonisation israélienne sur la Palestine historique.

Contre le Sionisme
© Inconnu
Qu'ils soient de Pologne ou d'Iraq, d'Argentine ou d'Afrique du Sud, de Brooklyn ou du Mississipi, des Juifs en quête de justice et d'un monde plus juste se sont joints aux mouvements de lutte collective. Ainsi, des Juifs ont participé de façon notable à la lutte ouvrière pendant la période de la Grande dépression, à la lutte pour les droits civiques aux États-Unis, à la lutte contre le régime d'apartheid en Afrique du Sud, à la lutte contre le fascisme en Europe, et à bien d'autres mouvements encore en faveur du changement social et politique

Le nettoyage ethnique historique et toujours en cours perpétré par Israël à l'encontre du peuple palestinien sur sa propre terre vient contredire et trahir cette longue histoire de la participation juive à des mouvements collectifs de libération.

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Les JRE - Les Journées de retrait à l'école contre la Théorie du genre

De la même façon que certains croient, peut-être sincèrement, qu'ils peuvent et doivent imposer la démocratie, par la force s'il faut, au reste du monde, les mêmes veulent libérer la société de ce qu'ils appellent ses archaïsmes et utilisent l'État pour imposer leurs points de vue à leurs concitoyens.

Journée Retrait de l'école
© JRE
Derrière ceux qui sont sincères, il y a, de toute évidence, une volonté, et pas seulement à l'échelle du pays. Comment expliquer, sinon, que le sujet de la sexualité ait pris une telle importance politique au point de devenir, du jour au lendemain, la préoccupation principale de tous les gouvernements occidentaux. Le sujet est même passé devant les préoccupations des Droits de l'Homme, tendant parfois à s'y substituer dans les rhétoriques internationales habituelles. Quand verrons-nous bombarder un pays parce qu'il aura refusé d'adhérer aux nouveaux concepts concernant le sexe ?

Ne pas voir qu'il se passe quelque chose est du pur aveuglement, surtout lorsque mêmes les enfants sont touchés et deviennent une cible.

Family

« Folle rumeur » ? La théorie du genre enseignée dans nos écoles


Family

Des sénateurs veulent interdire l'école à la maison

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Le but véritable de la proposition de loi est de s'assurer que tous les enfants soient « formatés » de la même manière, selon les vues de l'État.

Une proposition de loi interdisant l'école à domicile a été déposée au Sénat le 18 décembre dernier par des sénateurs de l'UMP. On ne tolérerait qu'une exception : le cas où l'enfant a une maladie, un handicap physique ou mental si grave qu'il rend « impossible » une scolarisation en structure collective.

Ce n'est donc pas une retouche à la marge de la loi sur l'obligation scolaire. C'est une vraie révolution. Actuellement, la loi prévoit une obligation d'instruction pour les enfants de 6 à 16 ans - instruction qui peut avoir lieu dans une école ou à la maison. Cette proposition de loi prétend imposer désormais une obligation de scolarisation dans une école.

Cette proposition est gravement liberticide. Elle va à l'encontre du principe de liberté d'enseignement, intégré dans le bloc de constitutionnalité depuis 1977, comme de toutes les libertés civiques propres aux États de droit. Elle viole en particulier l'article 26-3 de la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 : « Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d'éducation à donner à leurs enfants. »

Bien que portée par des élus UMP, elle s'inscrit dans le droit fil de la pensée de Vincent Peillon, qui donne pour mission à l'école d'arracher les enfants à tout « déterminisme » familial, social, religieux. La logique de cette initiative est dès lors facile à décrypter : la socialisation de l'enfant est un pur prétexte ; d'ailleurs, les études aux États-Unis montrent que les enfants scolarisés chez eux ne rencontrent aucun problème d'intégration sociale ou de relation humaine dans leur vie d'adulte, bien au contraire.

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Yair Netanyahou, complice de génocide ?

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Ce qui chatouille les religieux sous les péotes, c'est l'idylle entre le jeune Yair (23 ans) et une étudiante norvégienne de 25 ans.

Benyamin Netanyahou, Premier ministre israélien, n'est pas ce qu'on pourrait appeler « un homme de consensus ». Fort critiqué à l'étranger pour sa politique colonialiste et ses déclarations intempestives, il l'est aussi à l'intérieur où les hassidim, haredim et autres orthodoxes, de plus en plus pesants sur le plan politique, le jugent trop mou.

Le chef du gouvernement est de nouveau sous le feu de la critique, cette fois pour une question privée. N'allez pas croire que Bibi s'est fait pincer sur son scooter alors qu'il rejoignait le cirque de ses amours, non, ça, c'est bon pour notre french lover. Bibi a des soucis avec son fils. Là encore, rien à voir avec Thomas Fabius.

Ce qui chatouille les religieux sous les péotes, c'est l'idylle entre le jeune Yair (23 ans) et une étudiante norvégienne de 25 ans, Sandra Leikanger, actuellement étudiante à Tel Aviv. Une histoire dont le papa se réjouit, a rapporté le journal norvégien Dagen. Or, Sandra n'est pas juive. C'est une goy. D'où le scandale.

Au Likoud, le parti de Netanyahou, on trouve la chose « très regrettable ». Quant aux ultra-orthodoxes, ils en bouffent leur spodik : « En tant que Premier ministre d'Israël et du peuple juif, il doit afficher une responsabilité nationale à travers les valeurs qu'il défend au sein de son propre foyer. Je parie que cela le peine. Chaque juif qui souhaite conserver ses racines veut voir son fils se marier avec une fille juive. Nous ne manquons pas de filles belles et accomplies pour avoir à semer dans le champ des autres. », a déclaré un représentant du Shass au Jerusalem Post. Et labourer aussi ?

Che Guevara

Meilleur du Web: Jour de Colère : que s'est-il vraiment passé ?

Nous aurions aimé pouvoir vous communiquer le reportage du Jour de Colère plus tôt, mais le fait que trois membres de notre équipe aient été emmenés en garde à vue nous a quelque peu retardé... Ainsi nous vous proposons de découvrir tout d'abord la première partie, qui retrace la manifestation de son départ à Bastille jusqu'à l'évacuation de la place Vauban. La seconde partie montre les affrontements entre les CRS et les manifestants, ainsi que les arrestations et la détention des personnes se trouvant sur la place au moment où les forces de l'ordre encerclèrent la place Vauban.

Partie 1 :


Partie 2 :


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Jour de colère : du sursis pour quatre manifestants

Quatre jeunes interpellés dimanche à la suite de la manifestation anti-Hollande ont été condamnés pour des violences contre les forces de l'ordre.

Le tribunal correctionnel de Paris a condamné mardi quatre jeunes, interpellés dimanche à l'issue de la manifestation anti-Hollande à Paris, à des peines de deux mois avec sursis pour des violences contre les forces de l'ordre. Tous ont été reconnus coupables d'avoir projeté une barrière de chantier en direction d'un cordon de gendarmes mobiles, sans l'atteindre. L'un d'entre eux a également été condamné pour avoir lancé des pétards en direction des gendarmes. Le tribunal a en revanche annulé pour un vice de forme la procédure engagée contre une autre prévenue, accusée d'avoir jeté une cannette de bière vide en direction des forces de l'ordre.

Dans ses réquisitions, le procureur avait requis des peines de deux mois ferme contre le trio en évoquant des individus immatures qui n'avaient pas su se contrôler et auraient pu provoquer de sérieuses blessures. Il avait aussi demandé une peine d'un mois avec sursis contre la jeune femme.

"Une instrumentalisation de la procédure judiciaire"

Les avocats des quatre prévenus avaient plaidé la relaxe de leurs clients, estimant notamment que le dossier n'apportait pas la preuve des faits qui leur étaient reprochés. "Ces peines ne sont pas satisfaisantes même si elles sont assorties du sursis", a dit devant la presse Me Antoine Vey, avocat de l'un des prévenus. "On a en effet le sentiment d'une instrumentalisation de la procédure judiciaire à des fins politiques", a-t-il déclaré. "Aucun des prévenus n'a de casier judiciaire et ils ont tous été interpellés au hasard", a-t-il affirmé en se fondant sur une photo montrant une cinquantaine de personnes saisissant une dizaine de barrières sur laquelle les trois prévenus n'étaient pas identifiables. "On a le droit de manifester et aussi celui d'être jugé pour ce qu'on a commis. Or, là, ils ont été jugés pour leur présence à une manifestation", a-t-il dit.