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Le doute voir la contestation, par une partie non négligeable de la population ayant accès aux vaccins et médicaments promus par l'industrie pharmaceutique, des réels mérites de ces produits passe généralement, auprès les gens dits "sérieux", pour une plus ou moins dangereuse dérive irrationnelle et sectaire.Parmi les gens réputés "sérieux", le Dr Richard Horton, éditeur en chef du fameux magazine médical dit "de référence"
The Lancet, écrivait ceci dans le volume 385 du 11 avril 2015, à propos de la science biomédicale :
"Une bonne partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, est sans doute tout simplement fausse. Affligée par des études sur de petits échantillons, des effets minuscules, des analyses exploratoires non valables, pétrie de flagrants conflits d'intérêts, avec de plus une obsession de participer aux tendances à la mode mais sans importance, la science à pris un virage vers l'obscur."
Commentaire: C'est un système parfait qui est mis en place : le médecin éventuellement récalcitrant (dans sa façon de voir la médecine, de soigner les gens, d'utiliser ou pas tel ou tel traitement), constituait jusqu'à présent le maillon faible de la chaine de contrôle de l'État. Le voici à présent sous la coupe d'une administration coercitive ayant le pouvoir de faire ou de défaire indirectement une clientèle. Sous la menace constante d'une répression financière et administrative protéiforme, il y a fort à parier que la majorité des toubibs feront ce que la bureaucratie leur demandera, à savoir : « soigner » la population comme on leur dit de le faire.