Enfant de la SociétéS


People

Pour les français : 89 % des journalistes sont déconnectés de la réalité !

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L'Ojim a mis en ligne son premier sondage sur les médias pendant une semaine et vous avez été plus de 5 000 à répondre, un résultat très encourageant. Il faut bien situer la valeur de ce sondage.

Il ne prétend pas représenter l'opinion générale en France, mais il peut représenter les jugements des internautes (ou d'une partie substantielle de ceux-ci) sur les médias et le journalisme. Étrangement (pas si étrangement ?) les résultats corroborent ceux du Cevipof et de l'enquête annuelle du quotidien La Croix.

Les médias sont considérés comme peu ou pas indépendants (95 %), influencés par leurs propriétaires (88 %), les annonceurs (81 %) alors que la liberté d'expression tend à se dégrader en France (85 %).

Les journalistes sont classés à gauche (47 %) voire très à gauche (39 %) et sont considérés comme éloignés des réalités (89 %) ; leur manque de pluralisme idéologique nuit à leur indépendance (60 %).

X

La prostitution explose outre-Rhin, les Femen accusées de racisme et de sexisme font du business

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Ces féministes auto-proclamées, qui se montrent fières d'avoir une représentation allemande, et qui « bataillent » dans la rue devant certains sex-shops ou dans des églises, ne vont pas manifester contre les ministères à Berlin qui ont légalisé en 2002 la prostitution.

Les appartements, qui se transforment en bordel le temps de renflouer les caisses, sont devenus une habitude dans les villes et villages allemands. La nuit les petites lampes rouges signifient aux clients que l'appartement est un lieu réservé au sexe. Mais, contre les ministères responsables, les Femen, qui sont actuellement accusées de racisme et de sexisme par la presse allemande, n'interviennent pas !

Crise et vente.

Avec la crise le nombre de femmes ou d'hommes, qui vendent leurs corps en Allemagne, augmente. Le travail du sexe, étant exercé en free-lance et n'étant d'ailleurs pas exclusivement réservé aux femmes, ouvre des droits à l'assurance chômage et à la couverture maladie. Il faut simplement être déclaré auprès des impôts. Tout le monde peut, si besoin, accrocher une petite pancarte à sa fenêtre, rajouter une petite note à sa sonnette et inviter des clients pour arrondir ses fins de mois. Des guirlandes et des cœurs lumineux rouges font l'affaire pour transformer un appartement privé en lieu de prostitution. Ce business lucratif compte plus de 500 000 personnes qui ne trouvent pas un emploi normal permettant de vivre correctement contre 15 000 à 30 000 en France http://www.senat.fr/rap/r09-553/r09-5533.html .

Pistol

USA : la police s'entraîne à tirer sur des femmes enceintes et des enfants

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Que faire quand une femme enceinte ou un enfant vous menace d'une arme ? C'est une question lancinante qui taraude les forces de l'ordre. Heureusement, la firme " Law Enforcement Targets Inc" a trouvé la réponse adéquate. Pour moins de 99 cents à l'unité, elle propose aux forces de l'ordre de s'entraîner à tirer "Sans aucune hésitation !" sur des affiches représentant ce genre de cibles inhabituelles. La série comporte également 3 personnes âgées, une jeune femme, une adolescente et son petit frère. Chaque personnage est représenté une arme à la main.

Le gouvernement fédéral a déjà signé pour 5,5 millions de dollars de contrats avec cette firme afin d'habituer les forces de l'ordre à s'exercer à tirer "sans aucune hésitation !" sur ce genre de cibles. D'autres affiches plus exotiques avec des zombies, des monstres ou des extraterrestres sont également proposées à la vente.

Red Flag

Hallucinant : Ingrid, auteur du tag AE911 au Louvre Lens, est transférée dans un hôpital psychiatrique

Après les faits, les causes du geste de cette femme de 28 ans qui a fait le buzz le week-end dernier.

Elle s'appelle Ingrid K., née en janvier 1985 et demeurait jusqu'alors dans la maison familiale, rue Arthur-Lamendin à Hersin-Coupigny où une perquisition a eu lieu dès le début de l'affaire.

Sur place, lorsqu'on essaie de prendre la température, le cadet de la famille explique ne pas vouloir s'exprimer sur le sujet. Le voisinage n'est pas plus bavard, expliquant tout simplement ne pas connaître la personne de 28 ans.

Peu après son interpellation, jeudi soir, elle est mise en garde à vue et auditionnée par la brigade de sûreté départementale. Une source évoque « une personne qui tenait des propos cohérents, mais pas structurés. Comme une illuminée. »

Commentaire: Je pense que je n'ai pas besoin d'argumenter pour que tout le monde voie ce que cela signifie pour le reste d'entre nous : peu importe le jugement portée sur son action, penser en 2013 en France est considéré comme une maladie mentale.


Nuke

Un maire japonais qui a agi selon sa conscience

map distruict Fukushima
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Dernière traduction et sous-titrage de Kna. Allez lire ICI l'article complet que Kna a dédié à cet homme.

Katsutaka Idogawa, maire de Futaba, petite ville située à 3 km de la centrale sinistrée de Fukushima Daiichi, répond à quelques questions après l'annonce de sa démission le 23 Janvier 2013, dans une interview par OurPlanet-TV.

La commune de Futaba héberge sur son sol les réacteurs 5 et 6 de la centrale de Fukushima Daiichi. Mr. Idogawa a été le seul maire dans la préfecture de Fukushima à avoir décidé ; de son propre chef, de relocaliser officiellement la population et les services administratifs de sa ville en dehors de la préfecture. Il s'est également exprimé au sièges des Nations Unies en Octobre 2012, où il a demandé l'aide des autorités internationales pour évacuer les habitants des zones contaminées de Fukushima.

Depuis Décembre 2012, les politiques pro-nucléaires demandaient sa démission. Après presque deux ans de combat contre les autorités locales et nationales, et des problèmes de santé, Mr. Idogawa a décidé de démissionner pour pouvoir continuer à agir selon ses convictions.


Family

Droits des pères : « Serge Charnay me donne la nausée »

Alors que Serge Charnay, le père perché en haut d'une grue pour réclamer le droit de voir son fils, est redescendu sur Terre, notre contributrice Waterzooi raconte son expérience du divorce de ses parents. Et déplore qu'on ne donne pas plus la parole aux enfants.

 Serge Charnay, le père retranché sur une grue à Nantes qui demandait le droit de voir son fils, a regagné la terre ferme lundi après-midi.
© Franck Perry/AFP Serge Charnay, le père retranché sur une grue à Nantes qui demandait le droit de voir son fils, a regagné la terre ferme lundi après-midi.
D'un cas, un symbole. Un certain Serge Charnay, père de famille de 42 ans, a protesté pendant quatre jours du haut d'une grue pour faire entendre sa voix. La raison ? L'homme est privé depuis deux ans de droits de visite et aussi d'autorité parentale sur son fils à cause d'une condamnation. Il affirme « défendre la "cause des pères" » plus que la sienne. Plusieurs associations comme SOS Papa sont sur la même longueur d'onde.

Franchement, ils me donnent la nausée. Qu'on s'entende : bien sûr, il doit y avoir des cas mal réglés. Mais pour avoir vécu le divorce de mes parents de l'intérieur, j'ai l'impression que je ne dois pas habiter dans le même pays que ces « pauvres papas ».

Che Guevara

Dieudonné répond à la censure


Stormtrooper

Grave bavure de la police française - La presse nationale: conspiration du silence et loi d'omerta

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Il est aujourd'hui dangereux, en France, de manifester dans la rue, même pacifiquement, même pour ses simples droits de travailleur. C'est là, en tout cas, ce que peut donner légitimement à penser, en toute objectivité, l'énorme bavure dont s'est rendue coupable, le mercredi 6 février dernier, la police française, dont l'actuel responsable, Manuel Valls, est un des fers de lance du Parti Socialiste : le comble pour un gouvernement de gauche, censé protéger l'intérêt des classes sociales les plus défavorisées, sur le plan économique, plutôt que les patrons d'industrie !

De ce crime qui ne dit pas son nom, presque passé totalement sous silence dans les médias français et, surtout, au sein du Ministère de l'Intérieur lui-même, c'est un jeune ouvrier liégeois, John David, âgé de 25 ans, métallo d'Arcelor Mittal dans le bassin sidérurgique wallon (en Belgique), qui en a été la malheureuse et grave victime : ce maudit 6 février 2013, il a en effet perdu définitivement son œil droit, lors de la manifestation qui a eu lieu devant le parlement européen de Strasbourg, suite à un tir de « flash ball » effectué par un des policiers alors présents, à l'extérieur de l'hémicycle strasbourgeois, afin d'y maintenir l'ordre.

Eye 2

Big Brother : à Berlin, vaste opération « Camover » contre les caméras de surveillance

Le terme « caméra de surveillance » est devenu interdit dans la novlangue si chère à Big Brother et aux élites néo-mondialistes, il faut désormais parler de caméra de sécurité... forcément.

Cependant, la sémantique de plus en plus outrancière des médias alignés et des gogos n'a pas empêché des groupes disons « alternatifs » (parfois, souvent, infiltrés) de procéder à une vaste opération intitulée « Camover » (rappelant la célèbre phrase de W. Bush « the Game is over » à destination de l'Irak) et visant à neutraliser les caméras de surveillance sécurité :


Che Guevara

Nouvelle grève générale massive en Grèce

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Près de 60 000 personnes sont descendues dans les rues d'Athènes pour la première grève massive de l'année contre la politique d'austérité du gouvernement. | AP/KOSTAS TSIRONIS
La Grèce tourne à nouveau au ralenti, mercredi 20 février, sous l'effet d'une grève générale contre la poursuite de l'austérité exigée par ses créditeurs de l'Union européenne et du Fonds monétaire international (FMI). Près de 60 000 personnes sont descendues dans les rues d'Athènes pour cette première grève massive de l'année, qui succède à plus d'une dizaine de grèves depuis le début de la crise grecque en 2010.

La journée d'action à l'appel des syndicats Adedy et du privé, qui représentent quelque 2,5 millions d'employés et de fonctionnaires, perturbe les transports, le fonctionnement des administrations, des écoles et des hôpitaux. Les syndicats d'avocats et de commerçants s'y sont également ralliés. Dans les ports, les navires sont restés à quai, les marins ayant refusé d'obéir à l'ordre du gouvernement de reprendre le travail.