Enfant de la SociétéS


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La Grèce n'a pas à payer pour une dette qui n'est pas la sienne !

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© Inconnu
De grandes institutions qui violent les règles élémentaires de droit, bafouent leurs propres statuts, tolèrent des malversations et des fraudes, de grands responsables politiques et financiers pris en flagrant délit d'infraction et de malversation, et pour finir un peuple grec floué, humilié et spolié, telle est la triste réalité que révèle en pleine lumière le Rapport préliminaire de la Commission pour la Vérité sur la Dette grecque[1].

Contrairement à ce que répète à l'envi la cohorte d'experts et de journalistes invités à demeure des plateaux de télévision, des radios et de la presse écrite, la crise grecque ne trouve pas son origine dans un peuple essentialisé comme fainéant, fraudeur et vivant à bon compte sur le dos de l'Europe et de ses habitants. C'est une toute autre histoire que met en évidence la Commission à l'issue de ses premières investigations.

Aléa (moral) jacta est
En effet, la crise de la dette publique grecque est en réalité une crise générée par quelques grandes banques, en particulier françaises et allemandes, qui après avoir privatisé des profits conséquents, ont socialisé une bonne partie de leurs pertes, non moins conséquentes, par une manipulation digne des praticiens du jeu de bonneteau. Dans cette escroquerie à grande échelle, le rôle du bonneteur ou manipulateur est tenu par les banques, celui des complices ou « barons » par la Troïka (le Fonds monétaire international, la Banque Centrale Européenne et la Commission européenne), celui des seconds couteaux par les gouvernements des États européens, et enfin celui de la victime par le peuple grec. Le préjudice subi s'élève à 320 milliards d'euros, le montant de la dette grecque.

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Le « Système » est par terre : la fin du rêve américain

Traduit par Ludovic et relu par Diane pour le Saker francophone

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© Inconnu
Les fondations du Système s'effondrent, on ne peut plus se le cacher...

Un nouveau sondage Gallup constate que la confiance - déjà basse - dans le gouvernement américain, l'économie, les médias, les banques, les grandes entreprises, les institutions religieuses et les organes de surveillance... continue de baisser.

« La confiance des Américains dans les principales institutions des États-Unis reste sous la moyenne historique pour chacune d'entre elles », résume le porte-parole de Gallup. Tout compte fait, nous avons l'image d'un pays découragé par son état présent, inquiet pour son avenir, et franchement sceptique sur la capacité de ses institutions à redresser la barre.

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Attentat en Isère bien évidemment déjà instrumentalisé

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Nouvel attentat, nouvelle justification de la surveillance et du projet de loi renseignement. Mais que demanderont de plus les responsables politiques lorsque la loi renseignement entrera en vigueur, et que se produira tout de même un nouvel attentat ?

C'est, espérons-le, la dernière fois qu'il pourra dire cela. "Ce nouvel attentat confirme l'impérieuse nécessité du projet de loi renseignement", a tweeté vendredi le député Eric Ciotti (Les Républicains), en guise de première réaction à l'attentat commis ce matin en Isère, qui a fait un mort et plusieurs blessés. D'ici maximum un mois, la loi sera promulguée au Journal Officiel et entrera en vigueur aussitôt que le président de la Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR) aura été désigné, ce qui devrait se faire rapidement.



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Nouvel incident à la centrale nucléaire du Blayais

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© Bonnaud Guillaume L'augmentation du taux de particules radioactives jeudi dernier avait été provoquée par une défaillance dans le confinement d'un chantier à l'intérieur du bâtiment réacteur
Nouvel incident à la centrale nucléaire du Blayais. Ce mercredi 24 juin en fin d'après-midi, 125 personnes ont été évacuées du bâtiment réacteur numéro 4 après le déclenchement de deux balises de mesure du taux de radioactivité.

Conformément à la réglementation, chaque personnel évacué subit actuellement un examen médical d'anthropogammamétrie pour contrôler s'il a été contaminé ou non. Un processus assez long puisqu'il faut compter environ une heure pour examiner trente personnes.

Les investigations sont en cours pour comprendre l'origine de l'augmentation du taux de radioactivité. Les balises sont réglées sur un seuil de mesure "extrêmement bas de manière à ce qu'elles se déclenchent avant qu'il y ait un risque de contamination", précise-t-on à la centrale nucléaire du Blayais.

Handcuffs

Surprise ! Le Pr. Henri Joyeux poursuivi par l'Ordre des médecins...

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© MEHDI FEDOUACH
L'Ordre des médecins a lancé une procédure disciplinaire contre le professeur Henri Joyeux à l'origine d'une pétition controversée sur les dangers de la vaccination, a annoncé jeudi l'instance professionnelle. L'affaire, selon l'Ordre, est « en cours d'instruction » auprès de sa chambre disciplinaire.

La pétition lancée par ce chirurgien cancérologue retraité affichait jeudi près 680.000 signatures sur le web. « Les propos du Pr. Joyeux ne se fondent sur aucune preuve scientifique, voire alignent des contre-vérités, comme l'a rappelé » l'Académie de médecine, relève par ailleurs l'Ordre sur Twitter.*

Une pétition jugée dangereuse...

« La vaccination est un outil capital de santé publique. Il est dangereux et totalement irresponsable d'attiser les craintes à son sujet », ajoute ainsi l'Ordre professionnel qui dénonce les « propos outranciers » du médecin.

La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a fustigé fin mai l'initiative de ce médecin connu, selon elle, pour avoir « pris des positions rétrogrades sur toute une série de sujets » et a souligné que sa responsabilité serait plutôt de « rassurer, expliquer et non pas inquiéter et faire peur ».

Commentaire: Quelle surprise ! Il est vrai qu'avec la couverture médiatique qui fut la sienne et la réticence constante que l'on sent monter chez la populace à l'encontre des vaccins, il fallait calmer tout ça et commencer à organiser le petit lynchage approprié à l'encontre du Dr Joyeux. Nul doute que d'ici quelques jours, on nous affirmera que le professeur est à peine docteur, et que ses compétences inappropriées participent, à travers ses déclarations intempestives et complotistes, à troubler l'ordre public, et qu'il faut derechef replacer le mensonge la vérité à sa juste place.

En attendant, histoire de se vacciner contre la propagande médiatique :

- Petit tour d'horizon des politiques vaccinales criminelles actuelles
- Chaque vaccin (sans exception) provoque des dommages
- Vaccin : ce que tout parent doit savoir


Books

Meilleur du Web: Exclusivité SOTT : propagande anti-russe dans les manuels scolaires hollandais

Il y a quelques jours, un parent d'élève hollandais a posté sur sa page Facebook deux illustrations issues du manuel scolaire de sa fille. Le manuel s'intitule « Thèmes en sciences sociales 1 pour VMBO-KGT, VMBO signifiant « formation professionnelle préparatoire de niveau secondaire », et désignant une filière niveau lycée aux Pays-Bas,. Le manuel est fourni aux élèves de la VMBO (âgés d'environ 15-16 ans) au cours des deux dernières années de leur cursus dans cette filière.

On peut lire dans la description du manuel : « Le manuel est mis à jour annuellement et contient de nombreuses sources d'informations actuelles et diverses, ainsi que des exercices ». Le manuel a certes été mis à jour, car la Russie y est dépeinte comme un pays tout à fait hostile, ce qui est dans la ligne de l'actuelle propagande occidentale anti-russe.

Les deux images suivantes figurent à la page 67 du manuel, Chapitre 7 : pays non démocratiques. La première image dépeint la Russie comme un pays « maléfique » tentant de s'emparer de l'Ukraine, tandis que l'Europe tend désespérément la main à l'Ukraine. L'une des questions posées aux élèves est : « Que fait la Russie, et que fait l'Europe sur cette image ? » Eh bien, la réponse est simple : la monstrueuse Russie tente manifestement de dévorer la pauvre Ukraine, sous les yeux d'une gentille Europe très très inquiète !
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© M. Philipsen

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Meilleur du Web: Transhumanisme : du progrès de l'inhumanité

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Encore un dossier sur le transhumanisme ? Depuis deux ans, pas une semaine sans un article, une émission, un livre, un film sur le sujet. On finira par ne plus en parler, si le transhumanisme devient, comme l' informatique, si familier qu'on ne le remarque plus. Il y a dix ans, le sujet était quasi tabou, et l'on traitait nos alertes de « complotistes » et de « catastrophistes ». En 2015, Les Echos annoncent posément « L'ère de l'homme augmenté a débuté » (1) sans heurter quiconque. Le Monde offre à cette idéologie une chronique hebdomadaire - signée Laurent Alexandre - sans plus de protestations. Le transhumanisme est aujourd'hui une option à discuter parmi d'autres. Quant à la population, c'est à peine si elle a le temps de réaliser ce qui arrive - encore moins de le penser . Or rien n'est plus urgent que de comprendre si l'on espère arrêter les ennemis de l'humain.

L'eugénisme 2.0

On doit le terme « transhumanisme » à Julian Huxley, frère d'Aldous (2) , biologiste et théoricien de l'eugénisme dans les années 1930. Après la guerre et l'industrialisation de la sélection eugéniste, J. Huxley cherche à se démarquer du nazisme. En 1957, il exhorte l'Homme à prendre en main l'évolution : « C'est en fait lui qui détermine l'orientation future de l'évolution sur cette terre. (...) Si elle le souhaite, l'espèce humaine peut se transcender (...). Nous avons besoin d'un nouveau nom pour cette nouvelle conviction. Peut - être le mot « transhumanisme » pourra-t-il convenir : l'homme demeurera l'homme, mais se transcendant en réalisant les possibilités de sa nature humaine et à leur avantage. " Je crois en le transhumanisme " : sitôt que cette conviction sera suffisamment partagée, l'espèce humaine se tiendra au seuil d'une nouvelle existence, aussi dissemblable de la nôtre que la nôtre l'est de celle de l'homme de Pékin. Elle accomplira enfin consciemment son véritable destin. » (3)

Commentaire: Le mirage de l'homme augmenté, amélioré, qui permet encore une fois à l'être humain de ne pas prendre sa part de responsabilité dans le malheur qui est le sien. Pourquoi se soucier de la destruction de son propre corps, pourquoi vouloir comprendre les maladies de son propre esprit, pourquoi se préoccuper de la dégradation de son environnement : n'avons-nous pas les meilleurs pansements, les meilleures béquilles ? Cette négation à peine voilée de la mort elle-même et ce refus de l'inéluctable ne sont pas le résultat de la quête d'une connaissance juste qui permettrait à l'homme de se libérer. On pourra y voir à la place la manifestation d'une volonté de pouvoir et de contrôle sur un corps qui lui a été donné dans un environnement qui lui a été offert, l'expression de son incapacité à faire face à ses propres peurs en cherchant des raccourcis, des « buffets gratuits », des assurances à la vie.

Les commodités valent-elles le sacrifice d'une liberté sempiternellement réclamé par ces mêmes spécialistes, ces mêmes leaders, ces mêmes élites et ces mêmes hommes d'influence qui n'ont toujours su que conduire l'être humain à sa perte ?


Cult

Nouvelles accusations d'abus sexuels sur des enfants en Centrafrique par des casques bleus

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Un nouveau scandale d'abus sexuels vient entâcher la réputation des casques bleus en République centrafricaine après l'annonce de l'ONU de l'ouverture d'une enquête dans la capitale Bangui.

«Si les allégations venaient à être prouvées, cela constituerait une grave violation des principes de l'ONU et du code de conduite des gardiens de la paix», a déclaré le porte-parole du secrétaire général de l'ONU Stephane Dujarric à New-York. Il a aussi précisé qu'on «exigeait de prendre des mesures punitives appropriées immédiatement».

Selon les données officielles, l'ONU a informé ses troupes ce lundi que ces dernières devraient répondre aux allégations sous 10 jours.

Le dernier cas d'abus sexuel commis par des casques bleus à Bangui a été enregistré vendredi 19 juin par la mission des Nations Unies en République centrafricaine connue sous l'acronyme de MINUSCA. Ses responsables ont précisé que cette fois, les victimes étaient des jeunes filles mineures. Dujarric n'a pas mentionné leur nombre, mais selon les données de l'AFP, au moins deux jeunes filles auraient reçu des biens matériels et des produits alimentaires en échange d'un rapport sexuel.

«Une assistance psychologique et des soins médicaux ont été apportés aux victimes présumées», a déclaré Dujarric. «On sait déjà que les crimes pourraient remonter à 2014 mais la majorité d'entre eux se sont déroulés cette année», a-t-il poursuivi.

Windsock

Protéger les populations des éoliennes

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© CC NguyenDai
Comment a-t-on pu installer 200.000 IWT dans le monde sans que des normes objectives soient fixées pour protéger les populations des éoliennes ?

Le sénateur John Madigan a remis à la presse le rapport intermédiaire du Sénat australien (1) sur les effets sanitaires des éoliennes industrielles (IWT, Industrial Wind Turbines). On y lit que les sénateurs ont été profondément affligés par les propos et les méthodes du lobby des énergies renouvelables, des promoteurs et des fabricants d' IWT, de certains fonctionnaires ou membres du personnel académique (2) qui tournent en dérision et raillent les victimes, victimes qui tentent de décrire leurs souffrances.

Commentaire: Concernant le problème éolien :

- Les éoliennes, nocives pour la santé?
- Éoliennes et basses fréquences, futurs problèmes de santé publique?


Pistol

Meilleur du Web: La police a tué plus de 500 personnes aux Etats-Unis cette année

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L'épidémie de violences policières aux Etats-Unis a fait plus de 500 morts cette année, et la police a tué 20 personnes au cours de la seule semaine du 12 juin.

Les médias américains ont largement ignoré cette statistique sinistre. Ils ont plutôt tenté d'attiser l'hystérie sécuritaire en évoquant la chasse à l'homme pour retrouver deux détenus qui se sont évadés récemment de la prison Clinton dans l'Etat du New York.

Selon une base de données d'homicides policières, la police a tué la 500e victime le 8 juin, lorsqu'un commando policier a abattu Richard Warolf, un homme suicidaire de 69 ans, au cours d'une visite de politesse demandée par sa famille à Sun City, une banlieue de Phoenix.

Le 9, une policière à Des Moines a tiré à travers la fenêtre de sa voiture de police et a abattu Ryan Bollinger, un homme de 28 ans sans armes, après une poursuite de deux minutes à basse vitesse.

Les neuf autres victimes de la police depuis lundi sont: Matthew Wayne McDaniel, 35 ans, en Floride; Rene Garcia, 30 ans en Californie, tué lors d'une interpellation routière; Mario Ocasio, 51 ans de New York, tué par un Taser (pistolet à impulsion électrique); Jeremy John Linhart, 30 ans de l'Ohio, également tué lors d'une interpellation routière; Ross Anthony, 25 ans, de Dallas, tué par un Taser; un homme inconnu suicidaire de 45 ans de la région de Houston; QuanDavier Hicks, 22 ans, de Cincinnati; Isiah Hampton, 19 ans, de New York; un homme sans-abri inconnu de Miami, tué avec cinq balles; et Charles Allen Ziegler, 40 ans, de Pompano Beach, en Floride.