Histoire SecrèteS


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11 septembre 2001 - Mort de l'expert hollandais Danny Jowenko

L'expert hollandais Danny Jowenko, spécialiste en démolition contrôlée et connu pour avoir affirmé au vu des images de la chute du World Trade Center 7 (dont il ne connaissait pas l'existence avant cette expérience) qu'il s'agissait effectivement d'une démolition par explosifs, [serait] décédé samedi dans un accident de voiture aux Pays-Bas.

Il était apparemment seul dans sa voiture avec son chien (qui a survécu) et est mort sur le coup de l'impact contre un arbre.

Commentaire: Danny Jowenko, spécialiste en démolition contrôlée, décédé samedi 16 juillet 2011

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Pour plus d'informations sur la mort du Dr. David Kelly, voir ces liens (en anglais) :

Ethnic specific weapons: The real story behind the murder of Dr David Kelly

Coverup and Complicity: The Mysterious Death of David Kelly: Doctors Challenge Cameron Government


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Des enregistrements inédits de Jackie Kennedy dévoilés sur petit écran

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John F. Kennedy et sa femme Jacqueline (Jackie) à leur arrivée à l'aéroport de Dallas le 22 novembre 1963, jour où le président fut assassiné. A.P./SIPA
L'ancienne First Lady s'était livrée à un historien peu après l'assassinat de son mari en 1963. Ses secrets seront bientôt révélés par la chaîne américaine ABC...

La programmation sera «explosive» promet ABC. La chaîne de télévision américaine évoque ainsi les enregistrements inédits de Jackie Kennedy qui seront diffusés à l'automne prochain pour le 50e anniversaire de l'accession au pouvoir de John F. Kennedy, selon le Daily Mail.

Dans les mois qui ont suivi l'assassinat à Dallas de son mari, survenu le 22 novembre 1963, l'ex First Lady s'était confiée à un historien, Arthur Schlesinger Jr. A ce moment-là, Jackie Kennedy lui a livré plusieurs secrets relatifs à son quotidien de Première dame des Etats-Unis et à son mariage. Elle est également revenue sur les événements historiques qui ont marqué sa vie, comme la crise des fusées de Cuba, la campagne présidentielle et l'assassinat de son époux. Des révélations parfois étonnantes, qui ont jusqu'ici été bien gardées.

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Le crâne d'un chien de 33.000 ans déterré en Sibérie

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Dans les montagnes de l'Altai, en Sibérie, le crâne étonnamment bien préservé d'un chien vieux de 33 000 ans a été découvert dans une grotte. Ces ossements prouvent pour la première fois qu'à l'époque déjà, les chiens étaient domestiqués.

Une découverte réalisée par une équipe internationale d'archéologues menée par des scientifiques russes permet d'établir pour la toute première fois que les chiens, il y a plusieurs dizaines de milliers d'années, étaient déjà domestiqués. Il s'agit d'un crâne retrouvé dans une grotte, en Sibérie, révèle une étude publiée dans la revue scientifique Plos One.

Bien que le museau de l'animal retrouvé ait la même taille que ceux des chiens actuels, ses dents ressemblent davantage à celles des loups sauvages européens, qui possèdent quant à eux un museau plus large et plus court. Ces informations laissent donc penser que la découverte concerne un chien qui commençait tout juste à être domestiqué, comme l'indique la biologiste Susan Crockford, qui a participé à l'étude. Pour autant, des doutes subsistent quand à la loyauté du meilleur ami de l'homme à cette époque.

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L'homme de Néandertal, chassé d'Europe par ses voisins plus avancés

Selon une étude britannique réalisée dans le Périgord, les hommes de Néandertal auraient été chassés d'Europe, il y a 40.000 ans de cela, par leurs cousins plus évolués, les premiers hommes modernes.

De nombreux scientifiques s'interrogeaient encore pour comprendre comment l'homme de Néandertal s'était éteint, permettant aux populations plus évolués d'Homo sapiens (très certainement venues d'Afrique) de s'implanter. Il semblerait, selon une étude publiée jeudi dans la revue Science, qu'une explication à ce phénomène ait enfin été trouvée, rapporte TV5monde.

En se basant sur une analyse statistique d'éléments remontant à l'époque de Néandertal et retrouvés dans le Périgord, des chercheurs de l'université de Cambridge ont découvert que le nombre de sites susceptibles d'avoir été occupés par les premiers hommes modernes, était supérieur à celui des sites occupés par l'homme de Néandertal. Ainsi, les sites où se trouvaient les premiers hommes modernes, où ont été découverts des zones de campements, des outils, des restes d'animaux et de nourriture, présentaient également des objets caractéristiques de l'Homo sapiens (outils de pierre, bijoux ou même des oeuvres d'art), plus évolués que ce dont étaient capables les hommes de Néandertal.

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Australopithèques : une bipédie performante dès 4 millions d'années avant notre ère ?

Publiés dans la revue Interface de la Royal Society, les résultats d'une nouvelle étude d'empreintes fossilisés d'Australopithèques vieilles de 3,7 millions d'années et découvertes en 1976 en Tanzanie, suggèrent que ces créatures avaient déjà une bipédie bien affirmée.

Employant une technique statistique inspirée de l'imagerie utilisée en médecine cérébrale, des chercheurs de l'Université de Liverpool ont reconstitué un modèle en 3D d'une série de 11 empreintes de pas attribuées à Australopithecus afarensis, des congénères de Lucy. Vieilles de 3,7 millions d'années, elles ont été découvertes en 1976 dans des sédiments volcaniques de Tanzanie. Comparant ce modèle aux résultats d'une autre modélisation reconstituant le type d'empreinte laissé par divers grands singes et par l'homme, l'équipe suggère que la démarche bipède efficace de type humain est apparue dès 4 millions d'années, et non vers 1,9 millions d'années, comme beaucoup de scientifiques l'estimaient.

Question

Découverte d'un nouveau Stonehenge en mer de Botnie ?

L'incroyable découverte de plusieurs explorateurs suédois

L'équipe d'Ocean Explorer a mené une expédition dans la mer de Botnie (nord de la mer Baltique) entre le 11 et le 19 juin 2011 en collaboration avec Franskabolaget.com dans la perspective de fouiller des épaves et y remonter leurs trésors concernant des boissons alcoolisées comme du Champagne, du vin ou encore du Cognac. Il se situait dans la cale d'un navire suédois coulé par les Allemands durant la première guerre mondiale.

Toutefois, le 19 juin, une anomalie très étrange est retrouvée lors d'une étude sonar du plancher océanique. Peter Lindberg, l'initiateur de l'expédition, affirme qu'il n'a jamais rien vu de pareil. Il a alors passé des centaines d'heures à regarder et regarder encore les images prises par le sonar pour finir par prendre la décision de révéler leur découverte : « C'est au reste du monde d'en juger». « La découverte n'est pas dans de notre intérêt et descendre pour explorer cet objet n'est pas dans nos moyens ni matériels ni financiers » poursuit-il, et de finir par l'incroyable : Il pourrait s'agir d'un nouveau Stonehenge ! »

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Une sculpture bouddhique découverte au Mexique

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La pièce de 12 centimètre représente un "Chien de Fô"
Une sculpture en bronze représentant un petit "Chien de Fô" a été découverte par les archéologues de l'Institut National d'Anthropologie et d'Histoire (INAH) et leurs collègues d'établissements américains en Basse-Californie.

Cet objet, d'environ 12 centimètres de haut et autant de large, représente une pièce unique dans l'ensemble des artefacts récupérés lors du Projet Galion de Manille (Proyecto Galeón de Manila) en Basse-Californie.

Cette pièce s'ajoute à près de 500.000 pièces de porcelaine chinoise (1556-1598 après JC).

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Néandertal et Cro-Magnon auraient mélangé leurs gènes

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Un enfant de Néandertal, différent des humains... mais si peu. Cette reconstitution est une dermoplastie réalisée par Elisabeth Daynès. On peut retrouver l'Homme de Néandertal à La Chapelle-aux-Saints, en Corrèze, lieu de la découverte d'un squelette complet en 1908. Il s'y trouve un musée de l'Homme de Néandertal, dynamique et instructif. © Philippe Plailly
Une nouvelle étude confirme que des gènes de Néandertal subsistent aujourd'hui chez les populations hors de l'Afrique sub-saharienne. Il y aurait bien eu hybridation en Europe il y a quelques dizaines de milliers d'années, comme d'autres études l'avaient montré.

Sur le chromosome X des populations asiatiques, australiennes et européennes, on retrouve aujourd'hui des séquences génétiques qui proviendraient de l'Homme de Néandertal. C'est que qu'affirme Damian Labuda, du département de pédiatrie de l'université de Montréal et du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine, et ses collègues dans un article récent publié dans Molecular Biology and Evolution. Cette présence serait la preuve d'une hybridation qui aurait eu lieu en Europe quand les deux espèces humaines, Homo sapiens et Homo neanderthalensis, ont cohabité durant des dizaines de milliers d'années.

Meteor

Découverte du plus jeune dinosaure !

Un pièce de plus au puzzle de l'origine de l'extinction des dinosaures : une corne de triceratops a été découverte dans des strates correspondant à la période précédant juste l'impact du météorite, il y a 65 millions d'années, suggérant que c'est bien cet événement qui serait à l'origine de l'extinction du Crétacé-Tertiaire.

Depuis des dizaines d'années, la communauté des paléontologues professionnels et amateurs est divisée : quelle est la cause de l'extinction des dinosaures ? Une météorite ? Une importante activité volcanique ? Un mélange des deux ? Difficile de statuer de manière certaine et les scientifiques font toujours la course à la preuve infaillible, celle qui confirmera une thèse et infirmera les autres.
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© Tim WebsterLe doctorant Stephen Chester, co-auteur de l'étude, a découvert le plus jeune dinosaure connu (si l'on excepte bien sûr les oiseaux, des dinosaures toujours vivants...).

Cloud Lightning

Des tsunamis auraient détruit Olympie il y a des siècles

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Selon des chercheurs allemands, Olympie, le célèbre site religieux et sportif de l'Antiquité, aurait été détruit par des tsunamis et non par des tremblements de terre, comme on le pensait généralement.

Lieu de culte et berceau du stade où se déroulaient, durant l'Antiquité, les célèbres jeux auxquels il a donné son nom, le site grec d'Olympie, pensaient les archéologues, avait été détruit au VIe siècle de notre ère par deux tremblements de terre, puis enseveli sous les sédiments d'une rivière de la région au fil des siècles suivants. Faux, disent Andreas Vött et ses collègues de l'Institut de géographie de l'Université Johannes Gutenberg de Mainz, en Allemagne : les vrais coupables sont des tsunamis !