Histoire Secrète
Les États-Unis et la guerre de Corée (25 juin 1950 - 27 juillet 1953) en sont un bon exemple. En bref, la guerre s'est terminée à un moment où une "impasse" prévalait, ce qui signifiait en réalité que la défaite se profilait à l'horizon des forces de l'ONU — comme cela s'est produit en Afghanistan. Dans la chronique des guerres américaines, la guerre de Corée est donc devenue la "guerre oubliée", sujette à l'oubli et rangée dans le grenier de la conscience collective.
Depuis les débuts du phénomène OVNI dans les années 1940 jusqu'à l'évolution de la divulgation publique au cours des décennies suivantes, l'historien Richard Dolan met en lumière des événements et des personnages clés au sein du gouvernement américain afin d'exposer des vérités cachées par le complexe militaro-industriel.
« Les notables auraient demandé à l'empereur de continuer les jeux au lendemain même du sac de la ville. « Tout était dans l'inaction [...] ; on ne songeait qu'à se livrer à la gourmandise, à l'ivrognerie, au sommeil : un assoupissement s'était répandu sur eux. » (VI, 69-85)
Les ralentissements économiques et les stagnations qui se sont produits et se produisent encore dans le monde ces dernières décennies sont souvent comparés à la crise économique qui a débuté aux États-Unis par une panique boursière en octobre 1929 et qui s'est ensuite transformée en ce que l'on appelle la "Grande Dépression", qui a touché en 1930 la quasi-totalité du monde capitaliste de l'époque.
On pense que la "Grande Dépression" s'est terminée au moment où la Seconde Guerre mondiale a commencé (c'est-à-dire le 1er septembre 1939). Il s'avère que la durée de la "Grande Dépression" fut d'environ une décennie. À la suite de cette crise mondiale, le niveau de la production industrielle dans les pays occidentaux a été ramené au niveau du début du 20ᵉ siècle, c'est-à-dire 30 ans plus tôt.
Des dossiers du ministère britannique des Affaires étrangères récemment déclassifiés ont ajouté des détails troublants à l'histoire de l'opération Gladio. Cette opération secrète a été découverte en 1990, lorsque le public a appris que la CIA, le MI6 et l'OTAN entraînaient et dirigeaient une armée clandestine d'unités paramilitaires fascistes dans toute l'Europe, déployant ses moyens pour affaiblir les opposants politiques, notamment par le biais d'attaques terroristes sous fausse bannière.
Commentaire : Kinsey, qu'on appelle toujours le « père de la révolution sexuelle », ou le « pionnier de la recherche sur la sexualité », un pseudo scientifique aux méthodes barbares qui pourtant passe pour une référence en matière de sexualité. Si aujourd'hui, la théorie pédophile qui veut que les enfants recherchent des rapports sexuels avec les adultes n'est pas encore enterrée, c'est aussi parce que beaucoup de recherches se basent encore sur les délires de Kinsey. Source
À noter que les rapports Kinsey ont été financés par la fondation Rockefeller. Voir les deux rapports sur la sexualité d'Alfred Kinsey : Sexual Behavior in the Human Male (1948) et Sexual Behavior in the Human Female (1953).
Le rapport sur le comportement sexuel des français paru en 1971, surnommé alors le « Rapport Kinsey des Français », a pour auteur un personnage central de l'évolution des questions de sexualité, de contraception, d'avortement et d'euthanasie : Pierre Simon. Ce dernier fut une référence du monde médical, un membre éminent de grandes loges françaises et une figure influente des appareils gouvernementaux. Ses idéaux « progressistes » perdurent aujourd'hui, y compris à travers les lois et les différentes structures institutionnelles qu'il a contribué à mettre en place au cours de sa longue carrière militante.
Pierre Simon est né le 3 janvier 1925 à Metz dans une famille « emblématique » du judaïsme alsacien-lorrain [1]. Après la Libération, il s'installe à Paris dans le but de poursuivre ses études de médecine. Il devient externe des hôpitaux de Paris en 1948, fonde le Club des Jacobins avec Charles Hernu en 1951 puis entre au parti radical-socialiste [2].
C'est d'un voyage en URSS en 1953 - où il se rend, en tant que délégué pour les relations culturelles du ministère des Affaires étrangères, afin de visiter l'Institut Pavlov - qu'il rapporte les techniques d'accouchement sans douleur. C'est aussi en 1953 qu'il est initié dans sa loge mère, La Nouvelle Jérusalem, au sein de la Grande Loge de France [3].
Il rejoint par ailleurs en 1954 le groupe Littré, un groupe maçonnique réfléchissant au contrôle des naissances et rassemblant des médecins francophones, français, suisses et belges [4]. Un rapport est présenté l'année suivante, en 1955, au congrès humaniste international de Genève. Ce rapport est à la base du premier projet de loi déposé à l'Assemblée nationale réclamant l'abolition de la loi de 1920 interdisant l'avortement et toute propagande anticonceptionnelle.
Son livre, Le Charnier de la République, publié par les toujours excellentes Éditions Salvator, s'intéresse à la période de la Grande Terreur à Paris, en juin et juillet 1794. Du 14 juin au 27 juillet 1794, précisément, près de 1.300 personnes ont été guillotinées, le plus souvent après des parodies de jugement. Un grand nombre d'innocents, parfois arrêtés à cause d'une simple homonymie avec des « suspects » qui n'avaient, eux-mêmes, rien fait de mal.
Certains, il est vrai, ne pouvaient s'empêcher de laisser une place au principe de réalité. On ne peut éviter de citer l'omniprésent Bernard-Henri Lévy, l'un des premiers à être monté au front médiatique.
Il y a d'abord les « fake news » classiques, qui ne sont pas vraiment des « nouvelles », mais plutôt des informations titillantes, dignes d'un tabloïd, colportées par toute personne disposant d'un compte Twitter, d'une page Facebook et d'une imagination débordante. Ces histoires vont du ridicule et du clic évident à la satire et à la manipulation politique.
Toute personne dotée d'un peu de bon sens et d'un accès à l'internet devrait être en mesure de démêler le vrai du faux dans ces histoires en effectuant quelques recherches élémentaires.
Commentaire: