Histoire Secrète
Des spéculations sur des civilisations anciennes et des extraterrestres ont été déclenchées par des motifs géants exposés au fond d'un lac en Chine par une sécheresse. Dans la province de Hunan, le lac Dongting est le deuxième plus grand lac d'eau douce de Chine.
Les archéologues ont trouvé un grand nombre de tombes et de momies enterrées à Gizeh, près de la tombe du roi Toutânkhamon, qui a été découverte il y a 100 ans.
Une pyramide appartenant à une ancienne reine égyptienne inconnue jusqu'alors a été découverte à l'extérieur de la tombe du roi Toutânkhamon, ainsi qu'une multitude de cercueils, de momies et d'artefacts et un réseau de tunnels, rapporte Live Science.
Ce jeudi 10 novembre, à la veille de la commémoration de l'Armistice du 11 novembre, au cours de laquelle la France commémore les morts pour la Nation, l'Association amicale des anciens légionnaires d'origine chinoise en France (AALOCF) organise une cérémonie en la mémoire de ces Chinois avec la présence de représentants de l'ambassade de Chine en France, de représentants départementaux, d'associations et de quelques élus locaux.
Robert Kennedy Jr. résume le dossier dans son livre American Values [1]:
[JFK] a obstinément refusé d'envoyer des troupes de combat au Vietnam, ce qui lui a valu l'antipathie des libéraux et des conservateurs, qui lui ont reproché d'avoir « jeté l'éponge » dans la lutte contre le communisme international. [...] Lorsque Johnson s'est rendu au Vietnam en mai 1961 à la demande de Jack [John], il est revenu fermement convaincu qu'il était insuffisant d'envoyer des conseillers militaires et du matériel : la victoire exigeait des troupes de combat américaines capables d'une action indépendante contre les combattants de la guérilla.Entre 1965 et 1968 seulement, 643 000 tonnes de bombes ont été larguées, soit trois fois plus que pendant la Seconde Guerre mondiale, sur un pays majoritairement rural. La guerre du Vietnam a considérablement renforcé le déjà monstrueux « complexe militaro-industriel », au sujet duquel Eisenhower avait mis en garde les Américains dans son discours d'adieu.
Pratiquement tous les conseillers de Jack étaient d'accord, mais le Président a fermement résisté, affirmant que nous pouvions soutenir les Sud-Vietnamiens mais que nous ne pouvions pas lutter pour eux. En y repensant plus tard, [Maxwell] Taylor [chef des états-majors] observa : « Je ne me souviens de personne qui était fortement contre [l'envoi de troupes de combat au Vietnam], à l'exception d'un homme, et c'était le Président. Le Président ne voulait tout simplement pas être convaincu que c'était la bonne chose à faire. C'était vraiment la conviction personnelle du Président que les troupes terrestres américaines ne devraient pas entrer. »
Le 11 octobre 1963, cinq semaines avant sa mort, JFK a contourné son propre Conseil de sécurité nationale et a publié le mémorandum d'action de sécurité nationale 263, officialisant le retrait du Vietnam de « 1 000 militaires américains d'ici la fin de 1963 » et « la majeure partie du personnel américain d'ici la fin de 1965 ». Le 20 novembre 1963, deux jours avant son voyage à Dallas, Jack a annoncé lors d'une conférence de presse un plan pour évaluer « comment nous pouvons sortir les Américains de là-bas. Maintenant, c'est notre objectif, ramener les Américains à la maison ». Le lendemain matin, il passa en revue une liste de victimes pour le Vietnam indiquant que soixante-treize Américains y étaient morts à ce jour. Ébranlé et en colère, Jack déclara à son attaché de presse adjoint, Malcolm Kilduff : « Après mon retour du Texas, cela va changer. Il n'y a aucune raison pour que nous perdions un autre homme là-bas. Le Vietnam ne vaut pas une autre vie américaine. » Le 24 novembre 1963, deux jours après la mort de Jack, Lyndon Johnson a rencontré l'ambassadeur américain au Vietnam, Henry Cabot Lodge, que Jack avait été sur le point de renvoyer pour insubordination. LBJ déclara à Lodge : « Je ne serai pas le président qui a vu l'Asie du Sud-Est suivre le même chemin que la Chine. » En fin de compte, 500 000 Américains [...] sont entrés dans les rizières du Vietnam et 58 000 ne sont jamais revenus.

L’artefact en or de l’âge du bronze trouvé dans un champ de betteraves en République tchèque.
On estime que la feuille d'or, fine et froissée, a été créée il y a environ 2 500 ans.
(avant le déclenchement de la guerre impérialiste contre la Libye).
Au menu de cet entretien de février 2010 réalisé par l'agence britannique Journeyman Pictures Ltd : le financement du terrorisme, l'attentat de Lockerbie, le conflit israélo-palestinien, l'évolution de la lutte anti-impérialiste...
Thomas Isidore Noël Sankara ne peut se réduire à une icône du patriotisme burkinabé ou à un martyr du panafricanisme. Il est, plus largement, une figure universelle du combat planétaire contre ce que l'on nomme aujourd'hui l'Empire, l'axe mondialiste et sioniste.
La célébration du 2.500 me anniversaire de la fondation de l'Empire perse se réfère à un ensemble de festivités et événements culturels qui ont été organisés en Iran durant l'année iranienne de mars 1971 à mars 1972 (année 1350 du calendrier iranien) et notamment à l'automne 1971.
Cette date se réfère à la mort du fondateur de l'empire perse, Cyrus II Le Grand, en -5302. Elles sont surtout connues pour les fêtes de Persépolis qui tire son nom de la Cité Grecque - Parsa en persan ancien.
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Téhéran, 1980: les révolutionnaires prennent le pouvoir. Installé dans un hôtel de la ville, Ryszard Kapu?ci?ski essaie, à partir de notes, de bandes magnétiques et de photos, de comprendre ce qui a provoqué la chute du Shah et comment l'ayatollah Khomeiny a réussi à s'imposer. Il interroge et écoute inlassablement les témoignages des hommes et des femmes qui l'entourent, et qui évoquent la corruption, les bakchichs, la peur de la délation paralysant les relations sociales, les supplices réservés aux opposants par la police du Shah.
En disséquant le processus de cette révolution, l'auteur s'interroge sur le déclin d'un empire et, au-delà de l'exemple iranien, nous propose une réflexion plus actuelle que jamais sur les mécanismes du pouvoir et sur le despotisme.
Les récits qu'ils font de ces rencontres, souvent publiés dans la presse à grand tirage, forment un genre à part entière : celui du voyage en dictature. C'est à lui que se consacre ici Alexandre Saintin. Décrivant les ressorts diplomatiques de ces rencontres et les enjeux de carrière qu'elles pouvaient servir, il montre que ces voyages traduisent avant tout la fascination de ces intellectuels pour l'autorité et pour les chefs charismatiques, dont ils estimaient alors la France dangereusement dépourvue.
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