OF THE
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Il y a 50 ans Robert Kennedy était assassiné alors qu'il venait de gagner les primaires de Californie, ce qui faisait de lui le favori dans la course présidentielle. Une fois à la Maison-Blanche, il aurait été en mesure de rouvrir l'enquête sur la mort de son frère cinq ans plus tôt, et l'on sait, par de nombreux témoignages, qu'il en avait l'intention.
Ni l'assassinat de John ni celui de Robert ne sont élucidés ; dans chaque cas, la thèse officielle est truffée de contradictions qui sont aujourd'hui bien documentées. Parce que ces deux affaires sont généralement traitées indépendamment, aucune n'a été résolue de manière définitive. C'est en les reliant dans une vision globale, en tenant compte du contexte géopolitique et du rôle profond de Lyndon Johnson, que se dégage le scénario le plus crédible.
[...] présentant des infections actives [qui] propageaient par aérosolisation les bactéries qui avaient colonisé leur nez et leur gorge, tandis que d'autres — souvent [confinés] dans les mêmes espaces — étaient extrêmement vulnérables à l'invasion et à la propagation rapide dans leurs poumons de leurs propres bactéries colonisatrices ou de celles des autres. (1)La grippe dite « espagnole » s'est attaquée à des personnes en bonne santé dans la fleur de l'âge. La pneumonie bactérienne s'attaque aux personnes dans la force de l'âge. La grippe s'attaque aux jeunes, aux personnes âgées et aux personnes immunodéprimées. Lorsque la Première Guerre mondiale a pris fin le 11 novembre 1918, les soldats sont retournés dans leurs pays d'origine et dans les avant-postes coloniaux, propageant la pneumonie bactérienne mortelle dans le monde entier.
Le génome des hommes préhistoriques confirme l'arrivée de deux grandes vagues de migrants dans l'Hexagone, l'une pendant le Néolithique, il y a environ 6 300 ans, et la deuxième pendant l'Âge du bronze, il y a environ 4 200 ans.
Qu'ont découvert les généticiens ?
Pour la première fois en France, une étude menée par Eva-Maria Geigl et Thierry Grange, paléogénéticiens, et leur équipe à l'Institut Jacques Monod (CNRS/Université de Paris), a mis en évidence, en étudiant le génome de fossiles d'hommes et de femmes remontant jusqu'à 7 000 ans avant le présent, que le métissage, entre les chasseurs-cueilleurs autochtones du mésolithique et les premiers migrants du néolithique venant d'Anatolie persiste jusqu'à nos jours dans le génome des Français (1).
Les chercheurs ont également montré que le métissage des populations néolithiques avec celles des steppes pontiques venues du nord-est de la Mer Noire (actuelle Ukraine), les Yamnayas, arrivées il y a 4 200 ans sur ce qui est aujourd'hui le territoire français, a laissé une empreinte pérenne. En effet, le chromosome Y de la majorité des hommes en France porte, aujourd'hui encore, la signature de ces hommes des steppes.
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