Histoire SecrèteS


Vader

Les renseignements britanniques mêlés à l'assassinat de Lumumba

Image
Le service de renseignement britannique MI6 a joué un rôle dans l'assassinat du premier Premier ministre du Congo indépendant, Patrice Emery Lumumba, en janvier 1961, a révélé un Lord, David Edward Lea, dans un courrier des lecteurs de la 'London Review of Books' (LRB) resté presque inaperçu, selon un journal indien 'The Hindu'.

Ce lord fait état d'une conversation avec l'ex-première secrétaire de l'ambassade britannique à Léopoldville (actuellement Kinshasa), de 1959 à 1961, Daphne Park - une fonction liée à celle de poste du MI6 au Congo durant cette période entourant l'indépendance de l'ex-colonie belge.

"Nous avions (quelque chose à voir avec l'enlèvement de Patrice Lumumba). Je l'ai organisé", a affirmé Mme Park à ce parlementaire avec lequel elle prenait le thé.

Magnify

Des fossiles d'hommes de Néandertal retrouvés pour la première fois en Grèce

Quatorze spécimens ont été découverts dans la grotte de Kalamakia et marquent une première en Grèce. Le pays est situé au bout d'une péninsule qui a fourni un climat propice aux hominidés pendant la dernière glaciation. Il est également un des points d'entrée les plus probables des homo sapiens et des néandertaliens en Europe.

On en sait à présent un peu plus sur les migrations des hominidés. Une équipe franco-grecque a retrouvé pour la première fois des fossiles d'hommes de Neandertal en Grèce, dans la grotte de Kalamakia. Cette découverte a donné lieu à une publication le 13 mars dans le Journal of Human Evolution. Les datations indiquent que ces individus auraient pu croiser et interagir avec des homo sapiens.

"Jusqu'à récemment, on en savait très peu sur la préhistoire ancienne de la Grèce, a avoue à Live Science la paléoanthropologue Katerina Harvati, principalement parce que les recherches archéologiques dans le pays se concentrent sur les périodes classiques et plus récentes. La Grèce se trouve pourtant directement sur l'une des routes les plus probables de dispersion depuis l'Afrique, via le Proche-Orient, des premiers humains et hominidés en Europe. De plus, le pays se situe au cœur d'une des trois péninsules méditerranéennes de l'Europe, ce qui en fait un refuge pour les espèces végétales et animales, et donc aussi humaines, durant la période glaciaire."

Magnify

La Porte des Enfers découverte en Turquie

Une "porte de l'enfer" a émergé des ruines dans le sud-ouest de la Turquie, d'après des archéologues italiens.
Image
Reconstruction numérique de la Porte de Pluton. Francesco D'Andria
Connue sous le nom de Porte de Pluton (Ploutonion en grec, en latin plutonium), la grotte était désignée comme le portail de l'enfer dans la mythologie gréco-romaine.

Des sources historiques sur le site de l'ancienne ville phrygienne de Hiérapolis, aujourd'hui appelée Pamukkale, décrivent l'ouverture comme remplie de vapeurs méphitiques mortelles.

"Cet espace est plein d'une vapeur si dense que l'on voit à peine le sol. Tout animal qui passe à l'intérieur meurt instantanément", écrit le géographe grec Strabon (64/63 avant JC à 24 après JC environ). "J'y ai mis des moineaux et ils ont immédiatement cessé de respirer et ils sont tombés", a-t-il ajouté.

Play

Outreau, l'autre vérité : le documentaire que toutes les télés censurent

Toutes les télévisions ont refusé de le diffuser. Vous ne le verrez que dans quelques rares salles le cinéma... Le documentaire de Serge Garde, produit par Bernard de La Villardière, remet en question la "vérité" établie sur l'affaire pédocriminelle d'Outreau. Un film apparemment très dérangeant... qualifié de "révisionniste" par la presse judiciaire parisienne.

L'interview de Bernard de La Villardière sur RMC


Star of David

Kevin McDonald ou la question juive sans concession ni passion

Image
Désormais un peu connue des lecteurs de Rivarol et d'Écrits deParis, l'œuvre de Kevin B. MacDonald est si riche, si dense et si profonde que l'on ne se lasse pas de vouloir en présenter au moins quelques facettes. Une nouvelle occasion nous est offerte avec la parution récente, en traduction française, de deux textes de l'auteur américain, venus s'ajouter à deux autres brochures qui méritent elles aussi que l'on s'arrête sur leur contenu.

DE LA CONTRE-CULTURE AU NATIONALISME BLANC

Né en 1944, MacDonald appartient pleinement à la génération de la « contre-culture », celle qui, à partir du début des années 1960, favorisa de façon décisive le travail de sape entamé de longue date contre l'Amérique blanche et qui visait à déposséder peu à peu les Américains d'origine européenne de leur prédominance politique et culturelle. Initialement enclin à sympathiser avec ses condisciples de la gauche radicale, MacDonald, alors étudiant à l'Université de Madison (Wisconsin), n'en fut pas moins frappé par la surreprésentation des Juifs parmi les agitateurs ainsi que par leur façon typique d'imposer un pilpoul permanent autour des interprétations de Marx.

Mais, désireux de poursuivre des études supérieures dans le domaine de plusieurs sciences « dures » (biologie moléculaire, génétique des populations, éthologie, sociobiologie, etc.), il fit ensuite une brillante carrière scientifique, et non politique, au point d'être considéré aujourd'hui comme l'un des plus importants représentants de la psychologie évolutionnaire. On désigne sous ce nom plutôt barbare une discipline apparue dans les années 1980 et qui entend expliquer les mécanismes de la pensée humaine à partir de la théorie de l'évolution. En reprenant l'idée selon laquelle l'évolution de l'humanité dérive plus d'une rivalité entre groupes que d'une rivalité entre individus, la psychologie évolutionnaire n'est pas abstraitement séparée de l'histoire. En effet, elle se sert notamment de la notion de « stratégie de groupe » pour étudier des catégories humaines larges, qui peuvent aller jusqu'à des peuples.

Top Secret

Flashback Meilleur du Web: Mémoires de feu en Corée du Nord ou l'impérialisme américain

Iconographie : SOTT

Quand les Etats-Unis détruisaient un pays pour le sauver...

Massacre en Corée, Pablo Picassso, 1951
© Succession Picasso 2003Massacre en Corée, Pablo Picassso, 1951
Ce tableau montre toute la difficulté pour Picasso de concilier engagement moral et politique pour un idéal pacifiste et communiste, et liberté de création. L'œuvre dénonce l'intervention américaine en Corée en montrant crûment le face à face entre une population civile (des femmes et des enfants nus) et des militaires armés. Face à face qu'il n'avait pas représenté dans Guernica, préférant alors une vision plus symbolique (cri, souffrance, ténèbres), ce qu'on avait pu lui reprocher. Le tableau cependant, apparaît trop hermétique, trop indépendant surtout, au Parti communiste qui ne l'apprécie pas.
Source : Musée Picasso
Plutôt que d'une guerre « oubliée », mieux vaudrait parler, s'agissant de la guerre de Corée (1950-1953), d'une guerre inconnue. L'effet incroyablement destructeur des campagnes aériennes américaines contre la Corée du Nord - qui allèrent du largage continu et à grande échelle de bombes incendiaires (essentiellement au napalm) aux menaces de recours aux armes nucléaires et chimiques (1) et à la destruction de gigantesques barrages nord-coréens dans la phase finale de la guerre - est indélébile. Ces faits sont toutefois peu connus, même des historiens, et les analyses de la presse sur le problème nucléaire nord-coréen ces dix dernières années n'en font jamais fait état.

La guerre de Corée passe pour avoir été limitée, mais elle ressembla fort à la guerre aérienne contre le Japon impérial pendant la seconde guerre mondiale, et fut souvent menée par les mêmes responsables militaires américains. Si les attaques d'Hiroshima et de Nagasaki ont fait l'objet de nombreuses analyses, les bombardements incendiaires contre les villes japonaises et coréennes ont reçu beaucoup moins d'attention. Quant aux stratégies nucléaire et aérienne de Washington en Asie du Nord-Est après la guerre de Corée, elles sont encore moins bien comprises, alors que ces stratégies ont défini les choix nord-coréens et demeurent un facteur-clé dans l'élaboration de la stratégie américaine en matière de sécurité nationale. (...)

Le napalm fut inventé à la fin de la seconde guerre mondiale. Son utilisation provoqua un débat majeur pendant la guerre du Vietnam, attisé par des photos insoutenables d'enfants qui couraient nus sur les routes, leur peau partant en lambeaux... Une quantité encore plus grande de napalm fut néanmoins larguée sur la Corée, dont l'effet fut beaucoup plus dévastateur, car la République populaire démocratique de Corée (RPDC) comptait bien plus de villes peuplées que le Nord-Vietnam. En 2003, j'ai participé à une conférence aux côtés d'anciens combattants américains de la guerre de Corée. Lors d'une discussion à propos du napalm, un survivant de la bataille du Réservoir de Changjin (Chosin, en japonais), qui avait perdu un œil et une partie de la jambe, affirma que cette arme était bel et bien ignoble, mais qu'elle « tombait sur les bonnes personnes ».

Commentaire: « Corée du nord ou États-Unis : qui est une menace pour la sécurité mondiale ? »


Bizarro Earth

Flashback Le 11 septembre ou le contrôle de l'esprit sur la base du trauma

Image
© Matthew Scotland. Notez le signe SS intelligemment incrusté sur la tour de droite et le symbole maçonnique, le 33 et Anubis sur le bâtiment de droite
Traduit par jsf

Les piliers de soutien spirituels de la structure sociale du monde ont été essentiellement démolis le 11 septembre... symboliquement, allégoriquement, rituellement et littéralement. Implosés et détruits. Le reste a suivi. Ce fut un « coup de génie » sinistre qui sert d'exemple à la façon par laquelle opèrent les contrôleurs de l'ombre. C'est pourquoi se réveiller à la Vérité sur le 9/11 choque autant les systèmes intérieurs des individus et c'est pourquoi ils ne peuvent pas le gérer. C'est énorme, et c'était destiné à l'être. De sorte que le peuple immense s'en détourne et enfouit sa tête dans le sable. Bien joué, sauf que... Si vous dites un trop grand mensonge... vous finissez par être repérés. Ces contrôleurs sont si pleins de mensonges que les êtres normaux sont dépassés. Et ils se délectent de ce pouvoir. C'est étonnant de voir à quel point ils sont effrontés et pourtant dissimulés à la vue de tous. Et ces entités n'ont que rarement connaissance de leurs identités mutuelles.

C'est un culte insensible d'élitistes autoproclamés - caché mais pas tant que ça, - de psychopathes fous de pouvoir, qui soumet l'humanité comme si c'était une sorte de jeu.
Qu'est-ce que ça vous fait d'être considérés comme des « bouches inutiles », des « goyim », des « parasites », des « ressources humaines » ? Attendez jusqu'à ce que tout se termine. Notre indignation l'emportera sur leur arrogance un jour ou l'autre. Mais on ne peut pas continuer avec ce statu quo en espérant que la cavalerie nous sauve, comme les religieux voudraient nous le faire croire. Nous ne pouvons pas rester nous-mêmes ni laisser les autres, si possible, dans un état d'acceptation, comme sous sédatifs, à l'égard des plus grands outrages contre l'humanité. Cela devrait faire bouillir notre sang.

Il est tant que les gens se réveillent en grand nombre, qu'ils cessent d'y participer et se mettent à communiquer. L'information est un pouvoir... c'est pourquoi ils nous inondent de dés-information, d'aliments chimiques, d'air et d'eau médicamentés et de smog électromagnétique ! Mais qui y fait attention ?
Image
© Zen. La chute des tours sur un pilier de la Cathédrale Saint-Jean le Divin de New York, sculptées en 1997

Rose

Les Chinois cultivaient les plantes il y a 12 000 ans

Une nouvelle analyse suggère que les Chinois (ou plutôt leurs ancêtres) d'il y a 12 000 ans ont commencé à ne plus manger de plantes sauvages et à les cultiver. L'agriculture a mis du temps à « germer » ailleurs aussi. On a aussi retrouvé sur de vieilles pierres des résidus de plante : elles servaient manifestement à broyer du millet et autres graines ou racines. Or, ces pierres sont vieilles de 23 000 à 19 500 ans, soit lors du dernier âge glaciaire. Or, les premières preuves archéologiques de l'agriculture dans la région datent d'il y a 11 000 ans. Tout cela suggère que l'utilisation de plantes a dû émerger de traditions ancestrales.

Il est fort possible que les hommes de l'époque se servaient en premier lieu des plantes afin de profiter de leurs vertus médicinales, même s'il nous est impossible d'en être certain.

Bad Guys

Les vestiges archéologiques de l'Irak irrémédiablement détruits par l'invasion américaine

Image
Les archéologues perdent littéralement pied au Proche-Orient. La guerre de dix ans en Irak a détruit les vestiges uniques des cités bibliques.

Des centaines de milliers d'artefacts, de monuments et de reliques sont définitivement perdus et la menace pèse désormais sur les sites archéologiques en Libye et Syrie. Le berceau de la civilisation humaine perd à vue d'œil les preuves de sa préséance. L'Irak était dans le temps littéralement truffé d'objets archéologiques uniques mais dix années de bombardements et d'échanges de tirs et les chenilles de chars ont broyé les couches de sol qui contenaient de précieux artefacts inédits. Evgueni Satanovski, président de l'Institut du Proche-Orient parle de l'ampleur des destructions.
« L'Irak n'est plus la trésorerie archéologique qu'il était. C'est pendant des siècles écoulés après la défaite du khalifat des Omeyades que Bagdad était le centre d'une puissance arabe mondiale. Toutes les briques faisant jadis partie de la porte de la déesse Ishtar et les trésors d'or des temps sumériens ont disparu sans laisser de traces ».
Les bombes américaines ont effacé de la face de la terre les musées de Tikrit et de Mosul avec leurs collections assyriennes provenant de Ninévie et de Nimrud. Les historiens craignaient surtout les pillages et ils n'ont pas tardé à commencer en faisant disparaître plus de 170 mille objets de valeur du Musée national à Bagdad. Les historiens disent qu'il y a peu de récupérer cette collection, ajoute Evgueni Satanovski :
« Nous pouvons malheureusement affirmer en tout état de cause que les fouilles archéologiques ne pourront pas reprendre en Irak pendant des années et même des décennies à venir ou se feront à une échelle très limitée ».

House

Une ville vieille de 2500 ans découverte dans le Chhattisgarh en Inde

Image
Des explorateurs pensent avoir la preuve d'une ville entière âgée de 2500 ans dans le Chhattisgarh. Cela est annoncé comme l'une des plus grandes découvertes archéologiques en Inde depuis au moins un demi- siècle.

Les découvertes ont été faites à Tarighat dans le district de Durg et s'étend sur cinq hectares dans une zone peu habitée et près d'une rivière, d'après les archéologues du département d'état de la culture et de l'archéologie.

Ont été mis au jour des réservoirs d'eau, des routes et des pièces enterrées... "Pour le moment, nous avons quatre monticules de 4.5m de haut autour desquels nous avons des morceaux de poteries, des monnaies et quelques figures en terre cuite", a déclaré JR Bhagat, directeur adjoint du département. "Maintenant que nous avons commencé, les fouilles du site en entier pourraient prendre de 5 à 10 ans."

Le 5ème et 3ème siècle avant JC, les dates trouvées à Tarighat, sont une époque où la région était gouvernée par des dynasties Kushan et Satavahana dans le centre de l'Inde.