La magie du 11-Septembre
James Hepburn a conclu son livre Farewell America de 1968 par ces mots :
« L'assassinat du président Kennedy était l'œuvre de magiciens. C'était un tour de scène, avec des accessoires et de faux miroirs, et quand le rideau est tombé, les acteurs et même le décor ont disparu. »[1]Le 11-Septembre fut aussi un tour de passe passe de magiciens — la même compagnie, je crois. Ils n'ont pas seulement fait disparaître les plus hauts gratte-ciel de New York dans un nuage de fumée avec le mot magique « Oussama Ben Laden ». Ils ont également fait apparaître puis disparaître des avions. Pas seulement l'UA93, englouti par la terre, ou le AA77, vaporisé dans le Pentagone. Je parle aussi de l'UA175, qui s'est soi-disant écrasé sur la tour sud (laissons de côté l'AA11, dont l'unique image fantomatique a été capturée de manière surnaturelle par les frères Naudet deux fois récompensés aux Emmy Awards).
Commentaire: voir aussi les articles de Laurent Guyénot que nous avons déjà publiés :
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