Histoire SecrèteS


Archaeology

Plus de 1000 statuettes et 10 sarcophages découverts dans une tombe de l'ère pharaonique à Louxor

Les autorités égyptiennes ont annoncé une importante découverte après la mise au jour par des archéologues de momies, de 10 sarcophages en bois colorés et plus de 1000 statuettes funéraires dans un tombeau vieux de 3500 ans près de Louxor.

Egypt, grave
© Reuters Staff / Reuters L'entrée de la tombe
La tombe de la 18ème Dynastie, découverte dans la nécropole de Dra Abou el-Naga près de la célèbre Vallée des Rois, appartenait à un noble appelé Ouserhat qui travaillait en tant que juge de la ville, selon le ministre des Antiquités égyptiennes.

"Il y a 10 cercueils et 8 momies. Les fouilles sont en cours", a dit le chef de la mission archéologique, Mostafa Waziri.

La tombe a été rouverte pour ajouter des momies sous la 21ème dynastie, il y a environ 3000 ans, pour les protéger dans une période où le pillage des tombes était courant. "Cela a été une surprise de voir tout ce qu'il y avait à l'intérieur" de la tombe, rapporte le ministre des antiquités Khaled el-Enany, "nous avons trouvé un grand nombre d'ouchebtis (de petites figurines sculptées), plus de 1000. C'est une importante découverte".

sarcophagus
© Reuters Staff / Reuters Vue d'un sarcophage en bois peint

Family

Première présence humaine sur le continent américain : « petit réajustement » de 100 000 ans

hominidés
© COURTESY E. DAYNESLa famille à laquelle appartiennent ces hominidés reste un mystère
Une équipe de chercheurs affirme avoir réussi à dater des outils de pierre et des ossements d'un mammouth portant, selon eux, les traces d'une intervention humaine.

Les premiers "Américains" prennent un bon coup de vieux. Des scientifiques ont daté de 130 000 ans la présence humaine sur le continent américain, "vieillissant" de plus de 100 000 ans les premiers "Américains" et invitant à repenser l'histoire du peuplement du Nouveau monde.

Les traces trouvées en Californie "indiquent qu'une espèce d'hominidés vivait en Amérique du Nord 115 000 ans plus tôt que ce que nous pensions", explique Judy Gradwohl, présidente du Muséum d'histoire naturel de San Diego, établissement ayant piloté une étude publiée ce mercredi dans la revue Nature.

Commentaire: « Ces hommes ayant laissé ces traces ne sont probablement pas des Homo Sapiens, l'homme moderne, puisque ce dernier n'est supposé avoir quitté l'Afrique qu'il y a environ 10 000 ans. »

Cette phrase résume a elle seule le problème de l'archéologie moderne : vouloir faire des preuves que l'on trouve une confirmation des théories déjà établies, reconnues et autorisées par les « experts ». Les « égyptologues » sont les grands spécialistes de la pratique. Ici, les chercheurs prennent une sacrée claque : il s'agit d'un « petit » réajustement de 100 000 ans... Pensions-nous que la petite leçon d'humilité reçue porterait ses fruits et que, soyons fous, les scientifiques envisageraient alors de reconnaître que l'homme moderne est parti de l'Afrique avant « environ 10 000 ans » ? Ou bien que que les restes trouvés ont une origine hors-africaine ? Et bien non. Même sans analyse ADN, on est sûr qu'ils ne sont pas des Homo Sapiens.

Quand à penser qu'il n'y avait personne dans le coin « avant 14 500 ans », peut-on sérieusement l'imaginer ?


Fireball

Gobekli Tepe montrerait la comète qui a frappé la Terre vers 10950 Av JC

De très vieilles sculptures gravées sur une pierre levée de Gobekli Tepe confirment la façon dont une comète a frappé la Terre vers 10950 ans Avant JC (presque 13000 ans avant maintenant). Cet événement aurait provoqué la disparition des derniers mammouths laineux et, paradoxalement, provoqué le développement des nouvelles civilisations humaines. C'est en tout cas ce qu'affirment des experts de l'Université d'Édimbourg, qui ont analysé des symboles mystérieux sculptés sur les piliers de pierre de Gobekli Tepe, dans le sud de la Turquie, pour savoir s'ils pouvaient être liés aux constellations.
gobekli tepe vulture pillar
© Inconnugobekli tepe vulture pillar
Les marques suggèrent qu'un essaim de fragments de comètes frappa la Terre juste avant qu'un mini-âge de glace commençait, changeant tout le cours de l'histoire humaine. Les scientifiques ont spéculé depuis des décennies sur la possibilité qu'une comète pourrait être derrière la chute soudaine de température pendant une période connue sous le nom du Dryas Récent ou Dryas III. Mais récemment, la théorie semblait avoir été déconsidérée par une nouvelle datation des cratères de météorites en Amérique du Nord où la comète aurait frappée.

Cependant, lorsque les spécialistes ont étudié les sculptures d'animaux gravés sur un pilier - connu sous le nom de pierre du vautour, à Gobekli Tepe, ils ont découvert que les créatures étaient en fait des symboles astronomiques qui représentaient les constellations et la comète.

L'idée d'une comète avait déjà été proposée par l'auteur Graham Hancock dans son livre Magicians of the Gods, avec certaines preuves, et Gobekli Tepe avait déjà été cité ! . On note aussi que Mr Hancock a aussi annoncé la probabilité d'un nouvel impact cométaire en 2030...

Pyramid

Une nouvelle pyramide découverte près du Caire

restes d'une ancien pyramide à Dahchour
© afp.com/HOUne photo du ministère égyptien des Antiquités diffusée le 3 avril 2017 montre les restes d'une ancien pyramide à Dahchour, au sud du Caire
Des restes d'une pyramide en "bon état de conservation" ont été trouvés sur le site archéologique de Dahchour. Sa taille exacte n'a pu être encore établie.

L'Egypte compte 123 pyramides découvertes à ce jour, mais semble n'avoir pas encore livré tous ses secrets. Les vestiges d'une construction vieille de 3700 ans ont été découverts "en bon état de conservation" près du Caire, a annoncé lundi le ministère égyptien des Antiquités. Datant de la XIIIe dynastie (1802-1640 avant J.-C.), la petite pyramide a été retrouvée dans la nécropole du site archéologique de Dahchour, au sud de la capitale, précise le ministère dans un communiqué. Les archéologues égyptiens ont découvert "un corridor conduisant à l'intérieur de la pyramide, prolongé par une rampe, et l'entrée d'une pièce", selon ce texte.

Les fouilles en sont encore à leurs débuts et la taille exacte de la pyramide n'est pour l'instant pas établie. Sur les photos fournies par le ministère, on peut voir des blocs de pierres et le début du corridor. Les archéologues ont notamment retrouvé un petit bloc en albâtre noirci, affichant des inscriptions en hiéroglyphes, ainsi qu'un linteau de granit et des blocs de pierre qui permettent d'en savoir plus sur "l'architecture interne de la pyramide". Les recherches vont désormais continuer pour révéler le reste de la pyramide.

Commentaire: On aimerait savoir, pour des fouilles qui n'en sont qu'à leur début, comment cette construction en pierre peut être datée si rapidement et précisément. Mais il est vrai que les égyptologues modernes possèdent deux outils infaillibles de datation : leur suffisance et leur ignorance. Pour rappel, en 2013 :
Deux archéologues allemands ont volontairement vandalisé la demeure des pharaons afin de prouver que celle-ci était beaucoup plus âgée qu'on ne le pense. Cette initiative a provoqué l'ire des autorités égyptiennes. (...) Pour étayer leur théorie, les deux étudiants ont gratté un cartouche (symbole hiéroglyphique, NDLR) de couleur rouge, située au-dessus de la chambre d'enterrement du pharaon Khéops, afin d'en extraire un échantillon qu'ils ont ensuite analysé en Allemagne. Une fois l'expertise faite, les jeunes archéologues ont affirmé que les fragments rapportés confirmaient leur théorie selon laquelle les pyramides de Gizeh sont bien plus anciennes que le règne de Khéops et que celles-ci ont simplement été « rénovées » durant la période pharaonique...



Cult

Pédocriminalité : Témoignage d'une esclave MK-Beta


Commentaire : La difficulté que nous pouvons avoir à admettre l'existence de réseaux pédocriminels constitue sans doute, pour ces derniers, la meilleure des protections. Comment un être humain normalement constitué peut-il envisager qu'il existe des personnes prenant plaisir à violer, torturer et tuer des enfants, jusqu'à des nouveaux-nés ? Qu'à l'opposé des forces de vie qui sembleraient devoir animer, avec amour, toute la création, il existe pourtant des formes de conscience à l'opposé de la Vie elle-même ? C'est pourtant le cas, ici, sur Terre.

Ne faut-il donc pas connaitre ces abominations pour pouvoir mieux s'en protéger ? Et protéger les innocents qui n'ont aucun moyen de défense ? C'est certain. Voici donc, hélas, pour cette « impensable réalité » :


Le célèbre talk show américain du Dr. Phil vient de diffuser un témoignage très troublant exposant la dure réalité d'un réseau pédocriminel élitiste exploitant ce que l'on peut appeler de véritables esclaves sexuels. La femme qui témoigne, Kendall, décrit comment elle a été conditionnée/programmée depuis son plus jeune âge pour être réduite en esclavage, mise à disposition d'un réseau composé de personnes très influentes (politiciens, magistrature, forces de l'ordre, etc) aux moeurs des plus déglinguées et criminelles.
Deux chérubins
© Inconnu

Pyramid

Un site de construction met au jour une mystérieuse pyramide en Chine

Les habitants de Zhengzhou, en Chine centrale, évoquent la «magie» après la découverte par des archéologues d'une tombe en forme de pyramide sous un chantier de construction.
Une tombe en forme de pyramide découverte en Chine intrigue les archéologues
© Capture d'écran YouTubeUne tombe en forme de pyramide découverte en Chine intrigue les archéologues
Des archéologues ont découvert une sépulture étrange sous un chantier de Zhengzhou (Chine centrale).

Des analyses sont en cours en vue d'établir le moment où la tombe a été construite, qui en est le « résident » et pourquoi sa forme est si inhabituelle, relate le Daily Mail.

Déjà baptisée « Pyramide de Zhengzhou », la sépulture est cependant beaucoup plus petite que ses analogues égyptiennes.

Il s'agit en fait de deux tombes dont l'une a la forme d'une pyramide et l'autre celle d'un semi-cylindre.

Palette

Du « pointillisme » de nos ancêtres

Le long de la Vézère, des anthropologues ont découvert dans deux abris des dessins gravés d'aurochs et de mammouths datant de 32.000 à 34.000 ans. Ils viennent s'installer parmi les plus vieilles représentations connues à ce jour. Leur style s'apparente à un dessin de la grotte Chauvet-Pont d'Arc et à des gravures sur des petits objets. De quoi mieux comprendre la diffusion de la culture aurignacienne, la plus ancienne en Europe. « Ils étaient obsédés par ce style pointilliste », commente pour Futura Raphaëlle Bourrillon, membre de l'équipe de recherche.
dessin d’auroch
© Raphaëlle BourrillonUn dessin d’auroch et son interprétation
Dans la vallée de la Vézère, en Dordogne, une équipe franco-américaine a réalisé presque coup sur coup deux découvertes majeures : des pierres gravées de traits et de points représentant des formes animales et datant du début de l'Aurignacien supérieur, il y a 32 000 à 34 000 ans. Les chercheurs ont étudié deux sites, l'abri Blanchard et l'abri Cellier.

Dans le premier, situé à Sergeac, dans le vallon des Roches (un ruisseau qui se jette dans la Vézère), les anthropologues, après trois campagnes de fouilles, entre 2009 et 2014, ont trouvé des représentations d'un auroch dans un style dit pointilliste (l'ensemble des points gravés forme un dessin). « Nous avons fouillé les restes de cet abri dont le toit est écroulé depuis longtemps, nous précise Raphaëlle Bourrillon, membre de l'équipe. Mais, sous les gravats, l'auroch a été trouvé en situation archéologique, c'est-à-dire au milieu d'autres vestiges d'époque. » Il y avait là des restes de repas, des outils, des rejets de tailles... Les anthropologues ont pu ainsi constater que l'abri a servi d'habitat à plusieurs reprises. « Mais nous ne pouvons pas dire quelles durées séparent les périodes. La datation au carbone 14, pour cet âge, n'est pas assez précise. On est à mille ans près... »


Commentaire : Rappelons que la datation au carbone 14 n'est valable que pour les matières organiques et pas pour la roche. S'il s'agit de desseins peints, les pigments naturels utilisés sont sans doute datables. S'il s'agit de sculpture, la méthode ne fonctionne pas. À la lumière de certaines découvertes récentes, nous apprenons que :
En fait, les scientifiques ont découvert que des particules émises par le soleil pourraient être responsables d'une mutation inquiétante d'éléments radioactifs (...) La désintégration nucléaire d'un matériel radioactif se produisait, pensait-on, avec une constante. Le professeur Fischbach, professeur de physique à l'Université Purdue, a découvert que la désintégration radioactive des isotopes peut se produire aussi de façon aléatoire. L'étude indique que la désintégration radioactive au niveau de la Terre varie avec la rotation du soleil et qu'elle pourrait être influencée par les neutrinos du soleil. Les neutrinos sont des particules produites par des réactions nucléaires du noyau du soleil, qui voyagent presque à la vitesse de la lumière à travers le monde physique (l'homme, les océans, les planètes), mais qui étaient réputés n'avoir pratiquement pas d'interaction avec quoi que ce soit. Cependant, cette étude montre que les neutrinos pourraient interagir avec des matières radioactives et modifier leur taux de désintégration.
Si l'on consulte Wikipédia, au sujet du carbone 14 :
La datation par le carbone 14 se fonde ainsi sur la présence dans tout organisme de radiocarbone en infime proportion (de l'ordre de 10−12 pour le rapport 14C/Ctotal). À partir de l'instant où un organisme meurt, la quantité de radiocarbone qu'il contient ainsi que son activité radiologique décroissent au cours du temps selon une loi exponentielle.
Pouvons-nous en conclure que la datation au carbone 14, à l'utilisation limitée, est encore moins fiable que ce que l'on pensait ?


Dig

Que cache ce terrier ?

En Angleterre, des amateurs sont tombés par hasard sur un terrier de lapin dissimulant en fait l'entrée d'une grotte souterraine. Certains experts estiment qu'il pourrait s'agir d'un temple secret des Templiers. Une cave souterraine mystérieuse a été retrouvée en Angleterre, aux alentours de la ville de Shropshire. Son entrée, poursuit le journal Metro, est astucieusement dissimulée par un terrier de lapin, afin de la dérober aux regards importuns.

templiers
© Vintage A IQue cache ce terrier ?
À en croire les habitants locaux, la grotte, dont l'âge pourrait s'élever à 700 ans, se trouve en bon état de conservation. Bien que la finalité de la cave ne soit pas encore déterminée, certains experts affirment déjà qu'il pourrait s'agir d'un temple secret des Templiers.

Archaeology

Statues pharaoniques découvertes en Égypte

statue
© AFP
Des restes de statues présentées comme celles de pharaons de la XIXe dynastie (XIIIe siècle avant J.-C.) ont été découverts dans une fosse à proximité du temple de Ramsès II, dans la banlieue du Caire, a annoncé jeudi le ministère égyptien des Antiquités. La découverte a été effectuée par une équipe d'archéologues égyptiens et allemands dans une friche à Matareya, une banlieue populaire au nord-est du Caire construite sur le site antique du temple solaire d'Héliopolis.

Selon Ayman Ashmawy, le chef de l'équipe d'archéologues égyptiens, certains des restes découverts sont ceux d'une statue de huit mètres de long, sculptée dans du quartz et qui "représente probablement" le roi Ramsès II. "Cette statue n'est pas gravée et ne peut ainsi pas être identifiée mais le fait qu'elle se trouve à l'entrée du temple du roi Ramsès II voudrait dire qu'elle pourrait lui appartenir", explique le ministère égyptien des Antiquités dans un communiqué. Parmi les restes de l'autre statue figure un buste de 80 cm du roi Seti II sculpté sur une roche calcaire avec un visage aux traits fins, selon ce communiqué.

Dans ce texte, M. Ashmawy qualifie les découvertes de "très importantes" car "elles montrent que le site du temple solaire était gigantesque avec des structures magnifiques, des inscriptions prestigieuses, des colosses et des obélisques". D'après le communiqué, le site d'Héliopolis a été endommagé à l'époque gréco-romaine quand la plupart de ses obélisques et colosses ont été transportés vers Alexandrie ou l'Europe. A l'époque de la conquête musulmane, ses pierres ont en outre été utilisées pour construire Le Caire.

Le chef de l'équipe allemande, Dietrich Raue, a expliqué que la mission travaillait à déplacer les statues vers le site archéologique proche de Matareya pour restauration. Les fouilles vont se poursuivre, selon le communiqué.

Commentaire: Les pontifiants de l'« Égyptologie » moderne s'empareront, comme d'habitude, de la découverte pour qu'elle puissent s'insérer, à la masse si il le faut, dans la chronologie officielle de l'histoire encore bien mystérieuse de ce pays à la centaine de pyramides recensées. Pour rappel et pour le plaisir, en 2013 :
Deux archéologues allemands ont volontairement vandalisé la demeure des pharaons afin de prouver que celle-ci était beaucoup plus âgée qu'on ne le pense. Cette initiative a provoqué l'ire des autorités égyptiennes. (...) Pour étayer leur théorie, les deux étudiants ont gratté un cartouche (symbole hiéroglyphique, NDLR) de couleur rouge, située au-dessus de la chambre d'enterrement du pharaon Khéops, afin d'en extraire un échantillon qu'ils ont ensuite analysé en Allemagne. Une fois l'expertise faite, les jeunes archéologues ont affirmé que les fragments rapportés confirmaient leur théorie selon laquelle les pyramides de Gizeh sont bien plus anciennes que le règne de Khéops et que celles-ci ont simplement été « rénovées » durant la période pharaonique...



Solar Flares

Corse : exhumation d'un sanctuaire dédié au dieu Mithra

corse
© Inconnu
L'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) a annoncé, vendredi 24 février, avoir mis au jour un mithræum sur le site de Mariana, à Lucciana. C'est le premier lieu de culte de ce type à être découvert sur l'île de Beauté.

Mariana, une colonie romaine fondée en Corse vers l'an 100 avant notre ère, connut son apogée vers le IIIe ou le IVe siècle, son port contribuant activement aux échanges en Méditerranée. Près de deux mille ans plus tard, une fouille archéologique dirigée par l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) a mis au jour un quartier périphérique de cette cité antique à Lucciana, au nord-est de l'Ile de Beauté.

Il s'agit en particulier d'un mithræum : un sanctuaire dédié au dieu gallo-romain (originellement indo-iranien) Mithra. C'est la première fois en Corse qu'un mithræum est identifié. Ce sanctuaire se compose de plusieurs espaces caractéristiques des mithræa dont une salle de culte et son antichambre. La salle d'assemblée rectangulaire est constituée d'un couloir central surcreusé, bordé de deux longues banquettes limitées par un muret enduit à la chaux.

Commentaire: On pourra consulter avec intérêt les articles suivant :