Histoire SecrèteS


Dollar Gold

Le trafic de drogue colonial et l'Empire britannique

Par sa résolution 42/112 du 7 décembre 1987, l'Assemblée générale des Nations unies a décidé de célébrer le 26 juin la Journée internationale contre l'abus et le trafic illicite des drogues, afin d'exprimer sa détermination à renforcer l'action et la coopération pour atteindre l'objectif d'une société internationale libérée de la toxicomanie.

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Pesée de l'opium dans une usine du gouvernement en Inde
Sensibiliser ?

Rarement reconnu, le trafic de drogue ( « légal » ) a été initié par l'Empire britannique. Il y a une continuité. L'étiquette coloniale a été abandonnée. Aujourd'hui, le commerce (« illicite ») de la drogue est une opération de plusieurs milliards de dollars.

Archaeology

Des scientifiques découvrent une vaste structure antique près de Stonehenge

stonehenge
© Université de St. AndrewsEn rouge, les excavations découvertes autour du site de Durrington Walls. Stonehenge se situe en haut à gauche de l'image.
Des archéologues ont récemment découvert un monument préhistorique majeur sous terre, près de Stonehenge, qui pourrait apporter de nouvelles informations quant aux origines du cercle de pierre mystique, situé dans le sud-ouest de l'Angleterre. En effet, les scientifiques ont découvert une structure circulaire de plus de deux kilomètres de diamètre, près du célèbre site mégalithique.

Les experts d'un groupe d'universités britanniques dirigées par l'Université de Bradford, affirment que le site se compose d'au moins 20 puits énormes de plus de 10 mètres de diamètre pour 5 mètres de profondeur, formant un cercle de plus de 2 kilomètres de diamètre. « Un travail de terrain et des analyses récentes ont mis en évidence la présence de vingt excavations massives préhistoriques, voire plus, d'un diamètre de plus de dix mètres et de cinq mètres de profondeur », a indiqué l'Université de St. Andrews dans un communiqué.

Dig

L'élite dans l'Irlande de l'âge de pierre pratiquait-elle l'union consanguine ?

L'ADN prélevé sur le site funéraire de Newgrange suggère l'existence, parmi les agriculteurs de l'âge de pierre, d'une élite où l'inceste se pratiquait.

newgrange
Newgrange, Irlande
L'analyse de l'ADN d'un homme d'âge moyen mort il y a environ cinq mille ans et enterré à Newgrange, l'un des plus célèbres sites archéologiques d'Irlande, révèle que ses géniteurs étaient de proches parents. Peut-être un frère et une sœur, ou alors un parent et son enfant. C'est ce que rapportent des chercheurs irlandais et britanniques dans une étude parue le 17 juin dans Nature.

Au total, l'équipe a séquencé les génomes d'une quarantaine de personnes issues de plusieurs sites datant du néolithique, une période marquée par l'arrivée de l'agriculture. L'un de ces génomes est celui d'un homme adulte, né d'une union incestueuse, dont les os ont été trouvés dans la niche la plus décorée de la chambre située au cœur de la tombe. Par ailleurs, l'étude des isotopes présents dans les os des individus enterrés dans le tunnel de chambres funéraires montre qu'ils mangeaient plus de viande et de produits d'origine animale que leurs contemporains enterrés ailleurs.

Take 2

Meilleur du Web: Conférence de Laurent Guyénot à Genève — « Israël et le double assassinat des frères Kennedy »

Laurent Guyénot a tenu le 16 juin 2018 à Genève une conférence intitulée « Israël et le double assassinat des frères Kennedy ».
« Israël et le double assassinat des frères Kennedy »
Présentation de la conférence :
Il y a 50 ans Robert Kennedy était assassiné alors qu'il venait de gagner les primaires de Californie, ce qui faisait de lui le favori dans la course présidentielle. Une fois à la Maison-Blanche, il aurait été en mesure de rouvrir l'enquête sur la mort de son frère cinq ans plus tôt, et l'on sait, par de nombreux témoignages, qu'il en avait l'intention.

Ni l'assassinat de John ni celui de Robert ne sont élucidés ; dans chaque cas, la thèse officielle est truffée de contradictions qui sont aujourd'hui bien documentées. Parce que ces deux affaires sont généralement traitées indépendamment, aucune n'a été résolue de manière définitive. C'est en les reliant dans une vision globale, en tenant compte du contexte géopolitique et du rôle profond de Lyndon Johnson, que se dégage le scénario le plus crédible.

Source : E&R

Autre source de la conférence en français, avec Odysee :


Binoculars

Une vérité à rappeler aux « antiracistes » d'aujourd'hui : plus de Blancs et de Noirs ont été réduits en esclavage en Afrique du Nord que de Noirs aux États-Unis

thomas sowell
Thomas Sowell
Chaque année en février, les Etats-Unis observent le "Black History Month" ou "African-American History Month" pour entretenir la mémoire des tourments de l'esclavage dans la diaspora africaine (1).

Si l'histoire des Noirs d'Amérique se confond désormais avec l'histoire du pays et si l'esclavagisme européen y est abondamment étudié, commenté et unanimement stigmatisé, très peu d'attention est en revanche accordée au rôle joué par les Musulmans et singulièrement par les Arabes dans la traite négrière d'Afrique. Celle-ci commence pourtant bien avant que les Européens ne s'y engagent, et continue bien après qu'ils l'aient abandonnée.

Dominoes

La conspiration flagrante derrière l'assassinat du sénateur Robert F. Kennedy

Au début de 1968, Clyde Tolson, l'adjoint du directeur du FBI J. Edgar Hoover et son compagnon de cellule, un acteur clé dans l'assassinat du révérend Martin Luther King, Jr, a exprimé à la fois l'espoir et l'intention de ceux qui s'assuraient qu'il n'y aurait jamais un autre président du nom de Kennedy, quand il a dit à propos de RFK que « j'espère que quelqu'un tirera et tuera ce fils de pute ».
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Bobby Kennedy
Plus tôt, comme l'a rapporté Robert F. Kennedy, Jr. dans son nouveau livre, American Values : Lessons I Learned from My Family, l'influent conservateur Westbrook Pegler a exprimé cet espoir de façon encore plus dépravée lorsqu'il a souhaité « qu'un patriote blanc du Sud éclabousse le cerveau de Robert Kennedy dans les lieux publics avant que la neige ne commence à tomber ».

Commentaire: Voir aussi :
Evidence of Revision [Preuves de Falsification] est un documentaire en six parties qui dévoile des archives originales et historiques dont le contenu prouve que les événements les plus déterminants de l'Histoire moderne de l'Amérique ont été délibérément présentés au public sous un faux jour.

Les images d'archives et les interviews dévoilées dans cette série de DVDs vous feront plonger au cœur d'événements qui ont marqué l'Histoire américaine et qui ont eu des répercussions mondiales - des assassinats du président Kennedy et de son frère Robert Kennedy au meurtre de Martin Luther King, en passant par le massacre de JonestownCes documents d'archives portent l'empreinte de mains occultes qui, dans un effort coordonné, ont contribué à façonner l'Amérique que nous connaissons aujourd'hui. Evidence of Revision démontre sans l'ombre d'un doute que l'Histoire a été revue et corrigée alors même qu'elle s'écrivait !
Il y a aussi un très gentil et excellent film sur la journée de l'assassinat de Robert Kennedy mais sous l'angle des personnes qui travaillaient à l'Hotel Ambassador. Le film ne se veut ni politique ni enquête sur la conspiration. Il pose la question : que faisiez-vous cette journée-là ? et nous sommes témoin de ce que faisaient les travailleurs de l'hotel, cette journée-là. Il y a aussi durant tout le film la présence de Robert Kennedy un peu partout, dans les airs.

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Crusader

SOTT Focus: Le psychopathe Rockefeller est-il à l'origine de la pandémie de « grippe espagnole » de 1918 ?

La pandémie de grippe dite « espagnole » a débuté avec l'expérience brutale de l'Institut Rockefeller sur la vaccination des troupes américaines contre la méningite bactérienne. Cette expérience menée en 1918-1919 pourrait avoir tué cinquante à cent millions de personnes. Et si l'histoire qu'on nous a racontée sur cette pandémie n'était pas vraie ? Et si, au contraire, l'infection mortelle n'était ni la grippe ni d'origine espagnole ?
Rockefeller Spanish Flu
© Inconnu
Des documents récemment analysés révèlent que la « grippe espagnole » pourrait avoir été une expérience vaccinale militaire qui a mal tourné.

Résumé

La raison pour laquelle la technologie moderne n'a pas pu identifier la souche virale mortelle de cette grippe pandémique tient en ce que ce n'était pas la grippe en tant que telle qui était mortelle.

Pendant la Première Guerre mondiale, plus de soldats sont morts de maladies que tués par les balles.

La pandémie n'était par grippale. On estime que 95 pour cent (ou plus) des décès ont été causés par une pneumonie bactérienne, et non par un virus de la grippe.

La pandémie n'était pas d'origine espagnole. Les premiers cas de pneumonie bactérienne en 1918 remontent à des bases militaires, la première à Fort Riley, dans le Kansas.

Du 21 janvier au 4 juin 1918, un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne cultivé sur des chevaux par l'Institut Rockefeller pour le Medical Research de New York a été injecté aux soldats à Fort Riley.

Pendant le reste de l'année 1918, alors que ces soldats — vivant et voyageant souvent dans de mauvaises conditions sanitaires — étaient envoyés en Europe pour combattre, ils ont répandu la bactérie à chaque arrêt entre le Kansas et les tranchées de la ligne de front en France.

Une étude décrit des soldats comme
[...] présentant des infections actives [qui] propageaient par aérosolisation les bactéries qui avaient colonisé leur nez et leur gorge, tandis que d'autres — souvent [confinés] dans les mêmes espaces — étaient extrêmement vulnérables à l'invasion et à la propagation rapide dans leurs poumons de leurs propres bactéries colonisatrices ou de celles des autres. (1)
La grippe dite « espagnole » s'est attaquée à des personnes en bonne santé dans la fleur de l'âge. La pneumonie bactérienne s'attaque aux personnes dans la force de l'âge. La grippe s'attaque aux jeunes, aux personnes âgées et aux personnes immunodéprimées. Lorsque la Première Guerre mondiale a pris fin le 11 novembre 1918, les soldats sont retournés dans leurs pays d'origine et dans les avant-postes coloniaux, propageant la pneumonie bactérienne mortelle dans le monde entier.

Better Earth

La terre plate médiévale

Depuis quelques années, l'idée de la Terre-plate revient au-devant de la scène. Arrêtez de dire qu'au Moyen Âge, on pensait que la Terre était plate, parce que c'est faux. Et arrêtez de dire que la Terre est plate, parce que c'est faux.

terre plate, moyen age

Family

7 000 ans d'Histoire démographique en France

Le génome des hommes préhistoriques confirme l'arrivée de deux grandes vagues de migrants dans l'Hexagone, l'une pendant le Néolithique, il y a environ 6 300 ans, et la deuxième pendant l'Âge du bronze, il y a environ 4 200 ans.

samantha brunel
© Eva-Maria Geigl et Thierry Grange, Institut Jacques Monod (CNRS/Université de Paris)Samantha Brunel examinant un crâne dans le laboratoire de haut confinement de l’Institut Jacques Monod (CNRS/Université de Paris)
Qu'ont découvert les généticiens ?

Pour la première fois en France, une étude menée par Eva-Maria Geigl et Thierry Grange, paléogénéticiens, et leur équipe à l'Institut Jacques Monod (CNRS/Université de Paris), a mis en évidence, en étudiant le génome de fossiles d'hommes et de femmes remontant jusqu'à 7 000 ans avant le présent, que le métissage, entre les chasseurs-cueilleurs autochtones du mésolithique et les premiers migrants du néolithique venant d'Anatolie persiste jusqu'à nos jours dans le génome des Français (1).

Les chercheurs ont également montré que le métissage des populations néolithiques avec celles des steppes pontiques venues du nord-est de la Mer Noire (actuelle Ukraine), les Yamnayas, arrivées il y a 4 200 ans sur ce qui est aujourd'hui le territoire français, a laissé une empreinte pérenne. En effet, le chromosome Y de la majorité des hommes en France porte, aujourd'hui encore, la signature de ces hommes des steppes.

Vader

L'histoire secrète de Fort Detrick, la base de la CIA pour les expériences de contrôle de l'esprit

Fort Detrick
20 septembre 2019 - Aujourd'hui, c'est un laboratoire de pointe. Dans les années 1950 et 1960, il a été le centre des expériences les plus sombres du gouvernement américain.

En 1954, un médecin de prison au Kentucky a isolé sept détenus noirs et leur a administré des doses « doubles, triples et quadruples » de LSD pendant 77 jours d'affilée. Personne ne sait ce qu'il est advenu des victimes. Elles sont peut-être mortes sans savoir qu'elles faisaient partie du programme très secret de la CIA visant à développer des moyens de contrôler les esprits - un programme élaboré à partir d'une base militaire peu connue au passé sombre, Fort Detrick.

L'expansion des banlieues a englouti Fort Detrick, une base militaire située à 80 km de Washington, dans la ville de Frederick, dans le Maryland. Il y a 73 ans, cependant, lorsque l'armée a choisi Detrick pour développer ses plans super-secrets de guerre bactériologique, la zone autour de la base était bien différente. En fait, elle a été choisie pour son isolement. La raison en est que Detrick, toujours florissante aujourd'hui en tant que base principale de l'armée pour la recherche biologique et comprenant maintenant près de 600 bâtiments sur 13 000 acres, a été pendant des années le centre nerveux de l'empire caché de la CIA pour les armes chimiques et le contrôle des esprits.