La Science de l'Esprit
Le drame qui survient dans l'existence de Sam Lowry est à porter au crédit d'un erreur informatique, due surtout à la vétusté du matériel employé : un jour, dans un bureau, un scarabée écrasé transforme par hasard le nom d'un certain Harry Buttle en Harry Tuttle, nom d'un redoutable " résistant-plombier ".
Dans « Le monde enfin », paru il y a 14 ans, un virus inconnu, ultra-rapide, le "Piscra", ravage le monde. Avec ce livre, Jean-Pierre Andrevon fait oeuvre de visionnaire.
Aujourd'hui, nous sommes juste en train de vivre dans son univers, en pleine science-fiction.
Cette vidéo a pour but de répondre aux questions concernant les psychoses collectives : Qu'est-ce que c'est ? Comment cela commence-t-il ? S'est-elle déjà produite ? Sommes-nous en train d'en vivre une en ce moment même ? Et si oui, comment peut-on inverser les étapes d'une psychose collective ?
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Face à l'évocation de certains faits qualifiés de « fake news » par les médias mainstream, aussitôt se met en place une stratégie d'évitement, voire de conflictualité. La peur de voir la réalité dans son ensemble s'est-elle emparée du raisonnement dans la société depuis notre amygdale ? Il s'avère que cette partie de notre cerveau joue un rôle déterminant dans le rapport à la réalité et à la manipulation de la population.
L'amygdale du cerveau, la gardienne des souvenirs émotionnels
Nous savons tous que nous avons des amygdales au fond de la gorge, mais le « complexe amygdalien » du cerveau est quant à lui peu connu, il est aussi appelé amygdale. C'est un groupe de cellules en forme d'amende situé derrière l'os temporal, au niveau des tempes. L'amygdale du cerveau sert au décodage et à la régulation des émotions. En elle, les souvenirs de joie, de tristesse, de bonheur se trouvent conservés et associés à des émotions. On parle alors de souvenirs émotionnels dont l'amygdale du cerveau est la gardienne. Elle fait partie du système limbique du cerveau, aussi appelé cerveau émotionnel qui conditionne les réponses émotionnelles et comportementales d'une personne.
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La communion : un rituel de solidarité
Bien au contraire : la communion est un rituel qui implique un geste de solidarité entre les communiants et celui qui a donné sa vie pour l'humanité. La communion est, de facto, un rituel de solidarité et cette prescription de « distanciation sociale » constitue un contre-rituel destiné à annihiler les pouvoirs intrinsèques de ce sacrement. Recevoir le « corps du Christ » revient à reconnaître notre situation de « pauvres pécheurs » appelés à la rédemption via un sacrement qui consacre notre union intime avec le créateur. Et, in fine, pour être en mesure d'accueillir cette « seconde naissance » alchimique, il nous faut briser les entraves de l'égoïsme qui empêchent la lumière christique de faire son chemin dans l'« athanor » de notre CŒUR de simple mortel. La communion n'est pas un sacrement offert aux « puristes ou aux athlètes de la foi ». Que nenni. L'acte de contrition requis avant de se diriger vers l'autel de la communion est l'équivalent d'une « remontée vers la lumière », après avoir « visité les entrailles de notre cœur et avoir rectifié notre état de conscience ».
Convertie très tôt à l'orthodoxie, cette ancienne infirmière a aussi étudié l'hébreu et la théologie pour éclairer son propre cheminement d'abord et puis pour nourrir son enseignement. C'est ce parcours qu'elle retrace avec nous, nous invitant à cheminer grâce aux textes bibliques vers notre monde intérieur.
Ces éléments inspireront l'auteur lors de l'écriture de ce roman qui fut publié en 1953 aux Etats-Unis d'Amérique chez Ballantine Books et en France en 1955 aux éditions Denoël.
L'hypothèse commune en matière d'autocratie ou d'oligarchie est que les gens sont « stupides » et facilement manipulés pour suivre des personnalités convaincantes qui font des promesses qu'elles n'ont pas l'intention de tenir. Il s'agit d'une simplification excessive et stupide. En vérité, le niveau de manipulation nécessaire pour attirer une majorité de personnes dans une dictature est si complexe qu'il requiert une compréhension avancée de la psychologie humaine.
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Voilà la question essentielle posée par Virginia Woolf ici, dans ces réflexions, critiques et articles écrits entre 1917 et 1940 : qu'est-ce que lire ? (plutôt que dire ou écrire)... Et voilà la manière essentielle de la poser : non pas en philosophe, à peine en écrivain, mais d'abord en lectrice...
« Les mots, les mots anglais sont habités d'échos, de souvenirs, d'associations - naturellement. Ils se sont promenés, sur les lèvres des gens, dans leurs maisons, dans les rues, dans les champs, pendant tant de siècles. »Telle est la thèse de Virginia Woolf dans le 1er essai de ce recueil sur les mots, et c'est sa 1re leçon sur la lecture : lire, c'est d'abord élucider l'essence, le fonctionnement, les propriétés des mots.
Mais il s'agit d'y procéder sans manipuler les mots, sans les juger, sans les dominer, mais en voyant ce qu'ils nous font, eux, comment ils nous manipulent, eux. Et c'est bien la 2e leçon de Virginia Woolf : comment ne pas juger les mots, mais se laisser porter eux.
C'est une œuvre de fiction, mais les concepts sur lesquels elle est basée, y compris le pouvoir de conditionner les humains à accepter un état de vie anormal, ne le sont pas. Dans la vidéo ci-dessous, vous pouvez entendre une entrevue de 1962 avec Huxley, dans laquelle il parle de l'utilisation de la persuasion et du conditionnement pour acquérir le pouvoir et le contrôle ultimes sur la société.
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