La Science de l'Esprit
En fait nous sommes porteurs d'une contradiction constitutive entre notre ego d'un coté et nos quatre exigences fondamentales de sens, justice, paix et amour de l'autre. Chacun gère ce conflit interne comme il peut, depuis la nuit des temps comme l'atteste cette sagesse amérindienne :
Un vieil indien explique à son petit-fils que chacun de nous a en lui deux loups qui se livrent bataille.
Le premier loup représente la Sérénité, l'Amour et la Gentillesse.
Le second loup représente la Peur, l'Avidité et la Haine.
« Lequel des deux loups gagne ? » demande l'enfant.
« Celui que l'on nourrit. » répond le grand-père.
Note du traducteur : Cet article a initialement été publié sur Sott le 11 février dernier, mais après vérifications, la traduction initiale ne rendait absolument pas hommage ni à John Waters ni aux citations d'auteurs. Afin de permettre au lecteur d'avoir accès à une information de qualité, l'article a été entièrement retraduit par nos soins. De plus, les citations ont chaque fois été directement tirées des ouvrages mentionnés et, lorsque cela nous a semblé opportun, élargies par rapport à l'article original. Toutes les emphases sont de notre fait.La propagande n'est plus ce qu'elle était. C'est aujourd'hui quelque chose de bien pire. En partie à cause de l'action efficiente qu'elle exerce sur nous, nous n'avons pas la moindre idée du moment où elle se manifeste, ni de ses conséquences sur nous.
Cet essai est une adaptation aux circonstances actuelles d'un chapitre de mon livre de 2018 Give Us Back the Bad Roads (Currach Press), intitulé « L'ingénierie du consentement ».Je vois le même syndrome s'exprimer partout sur les visages : les gens préfèrent sauter sous un bus plutôt que de passer à proximité les uns des autres ; un journaliste que je croyais au moins vaguement intelligent a écrit sur des « cas » en pensant que les tests PCR font au sujet du Covid exactement ce qu'ils disent faire sur leurs notices d'utilisation ; un mouvement politique censé être pro-liberté qui exige un déploiement plus rapide des vaccins ; une demi-douzaine de policiers assis sur une femme et s'aidant les uns les autres pour la menotter parce qu'elle est à plus de cinq kilomètres de chez elle, sans que personne ne cille. Des signes de quoi ? Des signes de complicité dans une terreur qui dépasse l'entendement. Des signes de renoncement à disposer d'une réflexion personnelle. Des signes de reddition à l'insurmontable, à l'inévitable. Des signes d'emmurement dans les mensonges.
Benjamin Roth était un jeune avocat à Youngstown, OH, alors un important centre de production d'acier de la florissante Rust Belt. Un homme de famille et professionnel ordinaire de la classe moyenne, touché directement par la dévastation économique, Roth essayait de comprendre et de faire face à la folie en cours. Tout cela rend ses observations très convaincantes et ses narrations réalistes.
Nous avons chacun notre langage, qui ne correspond pas forcément à celui de notre partenaire, ce qui peut poser problème dans notre couple. Ce qui suit est un ensemble de mes notes de lecture de ce livre ainsi que mes remarques.
Or, un réflexe simple lorsqu'on a peur est de simplement suivre le groupe parce qu'en moyenne, le groupe se trompe peu. Et si l'on a correctement orienté le groupe en lui faisant peur et en lui fournissant en même temps des solutions (de groupe, évidemment) qui répondent (fortuitement) à un agenda pratique pour celui qui manipule, le groupe fonce alors tête baissée vers la solution présentée, bonne ou mauvaise.
Bien utilisée, la peur fait en effet complètement oublier la liberté aux individus : la liberté, en laissant les possibilités ouvertes, n'apporte jamais de réponse immédiate, émotionnelle, instinctive et définitive aux dangers qu'on croit percevoir. Elle est toujours une réponse argumentée, raisonnée, pondérée et ne fait pas le poids devant les réponses instantanées, toutes faites et rassurantes par leur immédiateté.
Note du traducteur : James Lindsay, co-auteur avec Helen Pluckrose de Cynical Theories [« Théories cyniques », non traduit en français], semble avoir lu la Ponérologie politique d'Andrew Lobaczewski. Lindsay est, selon nous, l'un des premiers universitaires de renom à l'avoir fait et à avoir écrit quelque chose de substantiel à ce sujet (sans toutefois citer l'ouvrage en question, malheureusement). Compte tenu de sa formation en théorie critique, il est le candidat idéal pour accomplir cette mission, et sa manière de traiter de ce sujet présenté ici mérite d'être lue. Nous avons ajouté quelques commentaires qui mettent en corrélation certaines de ses idées avec la terminologie utilisée dans les travaux de Lobaczewski.Les pseudo-réalités, par définition fausses et irréelles, engendreront toujours la tragédie et le Mal à une échelle au moins proportionnelle à la portée de leur emprise sur le pouvoir — ce qui constitue leur principal intérêt — que ce soit d'un point de vue social, culturel, économique, politique ou (surtout) une combinaison de plusieurs ou de tous ces éléments. Ces pseudo-réalités sont, lorsqu'elles surgissent et prennent racine, à ce point importantes pour le développement et les tragédies des sociétés qu'il est utile de souligner leurs caractéristiques et leur structure de base afin de pouvoir les identifier et leur opposer une résistance adéquate avant qu'elles ne débouchent sur des calamités sociopolitiques — qui peuvent aller jusqu'à la guerre, en passant par le génocide et même l'effondrement de la civilisation, toutes ces possibilités étant à même de provoquer la mort de millions de personnes et la ruine de millions d'autres dans la vaine poursuite d'une fiction pour laquelle ses adeptes sont, ou sont amenés à être, suffisamment intolérants.
La nature des pseudo-réalités
Les pseudo-réalités sont, en termes simples, de fausses constructions de la réalité. Il est évident, espérons-le, que parmi les caractéristiques des pseudo-réalités figure le fait qu'elles doivent présenter une compréhension plausible mais délibérément erronée de la réalité. Il s'agit de « réalités » sectaires au sens où elles reflètent la façon dont les membres des sectes vivent et interprètent le monde — tant social que matériel — qui les entoure. Nous devons considérer de prime abord que ces interprétations délibérément erronées de la réalité remplissent deux fonctions connexes. Premièrement, elles sont destinées à modeler le monde pour qu'il puisse accueillir une petite partie des personnes qui souffrent de limitations pathologiques quant à leurs aptitudes à faire face à la réalité telle qu'elle est. Deuxièmement, elles sont conçues pour remplacer avec force toutes les autres analyses et motivations, qui seront tordues jusqu'à déformation par et au profit de ces individus essentiellement ou fonctionnellement psychopathes aussi longtemps que leur règne pseudo-réel pourra durer.
Depuis, ils se sont dit : « Prochain virus, on les inonde, on leur dépouille leur race, on leur sort notre nouveau vaccin qui va leur décalquer leur ADN de mouton, pour en faire des pigeons qui disent « oui oui oui » tout le temps... On va leur balancer tous leurs droits à la con par dessus bord, ils les reverront jamais ! ils auront que le choix d'aller bosser, et c'est déjà bien... Et leur sale progéniture on va la masquer pour qu'ils comprennent bien ce qui les attendent plus tard : un monde où ils auront que le droit de la fermer, et de contempler le ciel de leur usine ou de la fenêtre de leur multinationale, comme des Chinois. On va en faire tous des Chinois, qu'ils deviennent un peu plus compétitifs ces branleurs d'Européens, ces classes moyennes qui nous coûtent chers, et tous ces vieux, quel gâchis d'énergie...
Pour ma part, ce n'est pas possible. Il est urgent que chacun prenne position car, pour agir, il n'y a que vous et moi sur cette planète, avec nos mains et nos idées. Nous sommes les seuls capables d'influer sur le réel. Alors qu'attendons-nous ?
Parlons de « crise sanitaire », ou plutôt de ce qui nous est présenté comme une crise « sanitaire ». N'avez-vous pas, vous aussi, remarqué ces « décalages étranges » entre les mots qui sont prononcés, et les actes qui sont posés ? Décalage étrange que d'entrer dans un commerce où les livres sont sous séquestre mais où, au guichet, on peut vous vendre du tabac. Crise « sanitaire » vraiment ? Décalage étrange que ces cinémas fermés parce qu'il serait dangereux de regarder un film à deux mètres d'une autre personne, mais inoffensif d'être en contact avec une barre de métro touchée par des centaines, voire des milliers de voyageurs. Crise « sanitaire » vraiment ? Décalage étrange que ces manifestations où les seuls journalistes autorisés à pouvoir vous informer sur leur déroulement sont ceux choisis par le préfet, supérieur direct des forces de l'ordre. Quel rapport avec une crise « sanitaire » ? Aucun, évidemment...
Mais alors, s'il ne s'agissait pas d'une crise « sanitaire » ?
En dix mois, notre quotidien a été grandement modifié et nos repères profondément changés. Notre démocratie a subi de fortes turbulences, malmenée par l'état d'urgence et les mesures rongeant nos droits fondamentaux.
L'apparition du virus responsable du Covid-19 peut-elle en être l'explication ?
Dès mars 2020, soit peu de temps après la date supposée d'apparition du virus, certaines incohérences dans la communication et dans la gestion de la maladie pouvaient alerter.
La création d'un conseil scientifique fin mars, composé de personnes ne tenant pas compte des données de terrain et décidant seules de mesures sanitaires nouvelles, court-circuitant toutes les instances en place, constituait une anomalie. Le confinement pour un virus ne se justifiait pas, la France n'étant pas en guerre contrairement à ce qu'annonçait le Président, et l'interdiction faite aux médecins de soigner librement leurs patients était une atteinte à l'un des piliers fondateurs de la médecine. Traiter l'infection avec du paracétamol et ne pas consulter son médecin, ou encore aller à l'hôpital directement, a participé au retard de prise en charge et à l'augmentation de la mortalité, ainsi qu'à la surcharge de certains services. Nombre de structures privées ont vu leurs lits réquisitionnés rester vides. Et dans le même temps, leurs malades habituels n'ont pu être soignés comme ils auraient dû l'être, certains en sont morts. Le traitement donné à cette épidémie, tant médical que médiatique, ne ressemblait en rien à celui donné aux précédents épisodes virologiques. Le comptage quotidien du nombre de victimes rendait l'atmosphère menaçante et contribuait à terroriser la population.
De même l'annonce dès le début de l'épidémie d'un « monde d'après » devant être opposé au « monde d'avant » amorçait une rhétorique étonnante concernant une épidémie virale.
Médecin physiologiste russe, célèbre pour ses expériences sur les chiens. Il est surtout connu pour avoir étudié le concept de conditionnement et la production de salive par des chiens au seul son d'une cloche[2].
Il n'y a aucune raison pour qu'un son provoque une salivation.
La vue de la nourriture est le stimulus normal qui fait saliver un chien. La vue de la nourriture constitue le stimulus inconditionnel (SI). La salivation est la réponse inconditionnelle (RI).
Pavlov associa à la préparation de nourriture un stimulus neutre (SN) : le son d'une cloche. Après peu de temps, le chercheur réalisa que le chien salivait dès qu'il entendait le son (SN), même sans apporter au chien de nourriture.
Le stimulus neutre était devenu stimulus conditionnel (SC), et la salivation, réponse conditionnelle (RC).
Pavlov a varié les stimuli conditionnels.
Cela marchait à tous les coups.
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