« Le cerveau âgé a acquis de l'expérience et sait qu'il ne sert à rien de se mettre en action trop tôt. On savait déjà que le vieillissement n'est pas nécessairement associé à une perte significative des fonctions cognitives. Le cerveau des plus âgés peut, pour certaines tâches, réaliser les mêmes performances à peu près aussi bien que celui des plus jeunes, » a déclaré Dr Monchi. « Maintenant, nous avons des indications neurobiologiques qui expliquent qu'en vieillissant vient également la raison, et que le cerveau apprend à mieux répartir ses ressources. Bref, notre étude montre que Lafontaine avec son lièvre et sa tortue avait drôlement raison et que l'adage voulant qu'il ne sert de courir, mais qu'il vaut mieux partir à point, caractérise fort bien le vieillissement. »
La Science de l'Esprit
Extraits de l'étude traduits :
Quand la direction du champ magnétique à l'intérieur des vents solaires sont dans le sens opposé du champ magnétique de la Terre, de fortes TGM peuvent se produire.
(...)
Les TGM se produisent en trois phases : le commencement soudain ou la phase initiale, la phase principale et la phase de récupération. La phase initiale est associée avec la compression de la magnétosphère, résultant dans un augmentation de l'intensité locale. Elle dure 2 à 8 heures. La phase principale est associée avec une erratique mais certaine diminution dans l'intensité du champ de fond. Celle-ci dure 12 à 24 heures est suivie par la phase de récupération qui peut durer 10 heures à une semaine.
Des résultats similaires, mais de façon plus importante, ont été observées dans le cerveau d'enfants qui ont vécu dans un orphelinat avant d'être adoptés. L'attention personnalisée portée aux besoins des enfants pourrait être un facteur clé. "D'autres études ont démontré que les mères qui se sentent déprimées sont moins sensibles aux besoins de leur enfant et sont plus retirées et désengagées", ont indiqué la Dre Sophie Parent et le Dr Jean Séguin de l'Université de Montréal, qui ont suivi les enfants pendant toutes ces années.
Ces brefs propos n'épuisent pas le sujet des riches, ouvrant vers des perspectives plus savantes sur le concept de classe sociale. En ce domaine, nul consensus savant. Pour les uns, la classe sociale se définit objectivement, en premier lieu avec le niveau de revenu, puis le statut professionnel et enfin, les accès à des types de bien particulier inclus dans ce qu'on appelle le standing. Exemple, monsieur et madame Hautstanding ont une villa de 300 m2 avec piscine, monsieur roule en Béhème, madame se chausse avec des pompes Louboutin à 1500 dollars la paire. Mais monsieur et madame Bastanding louent 60 m2 dans un HLM qu'ils occupent avec leurs deux enfants, monsieur se déplace avec une vieille R5 retapée, madame se chausse avec des boots à 20 euros venus de Chine. Et donc, les riches seraient des gens ordinaires, sauf qu'ils disposent d'un talent (ou d'une naissance) que les autres n'ont pas et qui leur permet d'accéder au standing professionnel et consumériste.
Cette génération verrait donc sa concentration réduite et la gratification instantanée ainsi que de pauvres compétences non verbales comme la capacité d'établir un contact visuel durant la conversation. Certains experts s'inquiètent de la banalité de certains « Tweets ». Les utilisateurs de Facebook ressentiraient le besoin de devenir des « minicélébrités » qui sont admirées quotidiennement. Les gens se définissent alors sur le nombre de gens qui les connaissent. On se demande plus ce que les autres pensent de nous que ce que nous pensons de nous-mêmes.
Selon une nouvelle étude à laquelle ont participé deux écoles privées d'un pays de l'Afrique de l'Ouest, les enfants qui fréquentent une école qui a recours au châtiment corporel réussissent beaucoup moins bien à accomplir des tâches faisant appel aux fonctions exécutives - des processus psychologiques comme la planification, la pensée abstraite et les gratifications dilatoires - que ceux dont l'école s'en remet à des mesures disciplinaires plus douces comme le retrait.
Publiées dans le journal Social Development, les découvertes concluent qu'un environnement très sévère peut avoir des effets néfastes à long terme sur l'intelligence verbale des enfants et leurs fonctions exécutives. Ainsi, l'étude indique que les enfants exposés à un environnement très sévère pourraient développer des problèmes comportementaux liés aux déficits des fonctions exécutives.
Réalisée par la professeure Victoria Talwar, de l'Université McGill, la professeure Stephanie M. Carlson, de l'Université du Minnesota, et le professeur Kang Lee, de l'Université de Toronto, l'étude portait sur 63 enfants de maternelle ou de première année qui fréquentent deux écoles privées de l'Afrique de l'Ouest. Leurs familles vivent dans le même quartier urbain. Les parents étaient pour la plupart fonctionnaires, professionnels et commerçants.
Les humains sont des animaux hautement sociaux et pendant de nombreuses années, les psychologues ont observé une variété d'effets positifs et négatifs résultant d'une tendance humaine appelée "conformité mémorielle"
Quand des groupes de personnes sont exposés à une expérience semblable, les souvenirs de l'expérience, de même que les sentiments et valeurs en relation avec l'événement, tendent à se remodeler avec le temps pour se conformer à ceux de leurs pairs.
Une preuve empirique de conformité mémorielle et de respect de la norme sociale a été suggérée par des études de physiologie classiques conduites depuis les années 50. Des expériences et des études célèbres ont été faites dans des écoles, des prisons et des lieux de travail.
Mais au début de cette semaine, le "Journal of Science" a publié une étude apportant la plus forte preuve neurologique de l'existence de cette conformité mémorielle.
Commentaire: Ils savent ça depuis longtemps. Comment croyez-vous qu'ils ont réussi à changer les souvenirs de tant de personnes à propos du 11 septembre ?
Jeffrey Dahmer. Ted Bundy. Hannibal Lecter. Voici certains des psychopathes dont on voit le manque de conscience ahurissant dans les films et les tabloïdes. Cependant, comme le démontre nettement ce rapport, ces prédateurs, aussi bien hommes que femmes, hantent nos vies de tous les jours, au travail, à la maison et dans nos relations sociales. Voici comment les repérer avant qu'eux ne vous repèrent.
Elle l'a rencontré dans une laverie automatique à Londres. Il était ouvert et amical et ils se sont entendus tout de suite. Dès le départ, elle l'a trouvé hilarant. Bien sûr elle se sentait seule. Le temps était gris et humide, et elle ne connaissait pas une âme à l'est de l'Atlantique.
"Ha, la solitude du voyageur", murmura-t-il gentiment pendant le dîner. "C'est la pire."
Après dîner, il fut embarrassé de découvrir qu'il avait oublié de prendre son portefeuille. Elle fut plus qu'heureuse de régler sa note. Au bar, en prenant un verre, il lui a dit qu'il était traducteur pour les Nations Unies. Il était pour l'instant entre deux affectations.
Des chercheurs allemands ont mené une étude sur l'impact que peut avoir la vie en ville sur le cerveau humain. Publiés dans la revue Nature, ces travaux ont été réalisé sur 159 personnes saines, sans aucun antécédent de maladie mentale, âgées de 18 à 80 ans. Chacune avait précisé son lieu de naissance et l'environnement dans lequel elle avait passé les quinze premières années de sa vie.
Pour identifier les régions cérébrales affectées par l'environnement urbain, les chercheurs ont utilisé la technique d'imagerie par résonance magnétique. Ils ont ainsi pu observer l'activité cérébrale des participants et ont découvert que les risques de troubles anxieux et de l'humeur étaient plus élevés chez les citadins que chez les habitants des zones rurales. La vie en zone urbaine augmenterait de 29% les risques de troubles de l'anxiété, de 39% les risques de troubles de l'humeur, tandis qu'elle multiplierait par deux les risques de schizophrénie. "Nous savions que vivre en milieu urbain augmente les risques de détresse psychologique, mais ce qui se passe précisément dans le cerveau était inconnu. Notre étude montre que certaines régions de cerveau sont sensibles à la vie en ville, même si on n'y vit plus, mais qu'on y a été élevé" explique Jens C. Pruessner, chercheur à l'Institut universitaire en santé mentale Douglas et principal auteur de l'étude.
Commentaire: Il ne faut pas oublier le contexte de l'étude, c'est à dire au sein d'une classe. Un châtiment corporel devant tout le monde est humiliant et improductif. Cependant un enfant à besoin d'être guidé. On ne peut pas l'élever comme si le danger extérieur n'existe pas et que ses actes n'ont aucune conséquence. Un châtiment corporel doit être proportionné, rare et juste.