La Science de l'Esprit
Pour ma part, ce n'est pas possible. Il est urgent que chacun prenne position car, pour agir, il n'y a que vous et moi sur cette planète, avec nos mains et nos idées. Nous sommes les seuls capables d'influer sur le réel. Alors qu'attendons-nous ?
Parlons de « crise sanitaire », ou plutôt de ce qui nous est présenté comme une crise « sanitaire ». N'avez-vous pas, vous aussi, remarqué ces « décalages étranges » entre les mots qui sont prononcés, et les actes qui sont posés ? Décalage étrange que d'entrer dans un commerce où les livres sont sous séquestre mais où, au guichet, on peut vous vendre du tabac. Crise « sanitaire » vraiment ? Décalage étrange que ces cinémas fermés parce qu'il serait dangereux de regarder un film à deux mètres d'une autre personne, mais inoffensif d'être en contact avec une barre de métro touchée par des centaines, voire des milliers de voyageurs. Crise « sanitaire » vraiment ? Décalage étrange que ces manifestations où les seuls journalistes autorisés à pouvoir vous informer sur leur déroulement sont ceux choisis par le préfet, supérieur direct des forces de l'ordre. Quel rapport avec une crise « sanitaire » ? Aucun, évidemment...
Mais alors, s'il ne s'agissait pas d'une crise « sanitaire » ?
En dix mois, notre quotidien a été grandement modifié et nos repères profondément changés. Notre démocratie a subi de fortes turbulences, malmenée par l'état d'urgence et les mesures rongeant nos droits fondamentaux.
L'apparition du virus responsable du Covid-19 peut-elle en être l'explication ?
Dès mars 2020, soit peu de temps après la date supposée d'apparition du virus, certaines incohérences dans la communication et dans la gestion de la maladie pouvaient alerter.
La création d'un conseil scientifique fin mars, composé de personnes ne tenant pas compte des données de terrain et décidant seules de mesures sanitaires nouvelles, court-circuitant toutes les instances en place, constituait une anomalie. Le confinement pour un virus ne se justifiait pas, la France n'étant pas en guerre contrairement à ce qu'annonçait le Président, et l'interdiction faite aux médecins de soigner librement leurs patients était une atteinte à l'un des piliers fondateurs de la médecine. Traiter l'infection avec du paracétamol et ne pas consulter son médecin, ou encore aller à l'hôpital directement, a participé au retard de prise en charge et à l'augmentation de la mortalité, ainsi qu'à la surcharge de certains services. Nombre de structures privées ont vu leurs lits réquisitionnés rester vides. Et dans le même temps, leurs malades habituels n'ont pu être soignés comme ils auraient dû l'être, certains en sont morts. Le traitement donné à cette épidémie, tant médical que médiatique, ne ressemblait en rien à celui donné aux précédents épisodes virologiques. Le comptage quotidien du nombre de victimes rendait l'atmosphère menaçante et contribuait à terroriser la population.
De même l'annonce dès le début de l'épidémie d'un « monde d'après » devant être opposé au « monde d'avant » amorçait une rhétorique étonnante concernant une épidémie virale.
Médecin physiologiste russe, célèbre pour ses expériences sur les chiens. Il est surtout connu pour avoir étudié le concept de conditionnement et la production de salive par des chiens au seul son d'une cloche[2].
Il n'y a aucune raison pour qu'un son provoque une salivation.
La vue de la nourriture est le stimulus normal qui fait saliver un chien. La vue de la nourriture constitue le stimulus inconditionnel (SI). La salivation est la réponse inconditionnelle (RI).
Pavlov associa à la préparation de nourriture un stimulus neutre (SN) : le son d'une cloche. Après peu de temps, le chercheur réalisa que le chien salivait dès qu'il entendait le son (SN), même sans apporter au chien de nourriture.
Le stimulus neutre était devenu stimulus conditionnel (SC), et la salivation, réponse conditionnelle (RC).
Pavlov a varié les stimuli conditionnels.
Cela marchait à tous les coups.
La « guerre contre le coronavirus » n'est pas une lutte contre la maladie et ne repose pas non plus sur sa prévention. Si la « pandémie » se limite à l'impact d'une grippe saisonnière, on constate, suite aux mesures prises, une dégradation globale de la santé des individus, confirmant ainsi que cette hostilité est bien une guerre contre les populations.
Dans son dernier discours, le président Macron en précise les dernières modalités, en énonçant la possibilité d'organiser « l'isolement des personnes contaminées de manière plus contraignante,[2]» ce qui pourrait signifier, selon le sénateur Alain Houpert, la création de camps d'internement.
Bien que son cadre d'application ne soit pas précisé, le principe de précaution présente une primauté sur toute autre politique destinée à « gérer des risques incertains[3] ». Dans le cas du coronavirus, il devient un « outil de gestion virtuel de risques virtuels[4]». La « pratique scientifique » est alors réduite au principe moral de responsabilité. Ce dernier se résume à une monstration de la participation des populations à des mesures qui les asservissent. Les mesures de précaution relèvent alors d'une théologie de l'obscène, d'un faire-voir amalgamant responsabilité et culpabilité. Elles s'inscrivent dans une nouvelle religion basée sur le sacrifice.
Le temps du grand ménage est arrivé. Parce que s'il vous arrive en ce moment d'éprouver la sensation d'être au sein d'une bataille spirituelle, vous n'êtes pas seul. Nombre des plus grands érudits, philosophes et ascètes du monde ont compris l'aspect multidimensionnel du monde dans lequel vivent des êtres non physiques, bons et mauvais, en lutte perpétuelle contre nous et les uns contre les autres. Il convient de cultiver une sensibilité telle que l'existence des êtres spirituels puisse être directement vécue parce que
« [...] les Esprits des ténèbres sont parmi nous, ils sont présents. Il nous faut veiller afin de voir où ils se trouvent sur notre chemin, afin de concevoir à quel endroit ils sont présents. Car la chose la plus dangereuse dans un proche avenir, ce sera d'être abandonné à leurs influences sans en avoir conscience. Leur réalité n'est pas modifiée du fait que l'homme les connaît ou ne les connaît pas. »Vous n'êtes pas seul, mais vous pourriez avoir dans votre entourage des personnes qui entravent votre voie vers la spiritualité et déséquilibrent votre recherche d'harmonie intérieure. L'article qui suit explore ce sujet. Il sera suivi par quelques citations qui aideront peut-être les lectrices et les lecteurs à y voir plus clair.
~ Rudolf Steiner, La Chute des Esprits des ténèbres
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Nous vivons une époque de folie. Il semble que nous soyons entrés dans la zone crépusculaire. Un « tourbillon » tordu de polarisation extrême et de systèmes de valeurs contradictoires. Un monde où la haine est palpable des deux côtés du point de contrôle de la polarité. La volonté orchestrée de provoquer des divisions sur tous les fronts : race, sexe, politique et religion ne devrait pas surprendre ceux qui sont sur le chemin de la spiritualité. L'énergie de l'ancienne ère des Poissons se meurt et les débranchés se battent contre la marée montante de la nouvelle ère du Verseau.
L'enfer se déchaîne. Les émeutes et la violence abondent, les pénuries alimentaires, les confinements, les conditions météorologiques extrêmes et les maladies sont au rendez-vous, et à mesure que la vie s'écoule, nos préjugés profonds et notre instinct de conservation se manifestent. Des instincts de survie délibérément exacerbés par nos sombres dirigeants, des êtres au charisme néfaste qui cherchent désespérément à garder le contrôle d'un paradigme moribond.
Programmés pour les conflits
Les humains sont programmés pour les conflits. Nous possédons tous un schéma interne de type Jekyll et Hyde — un M. Gentil et un M. Méchant qui partagent le même espace. Chacun d'entre nous est soumis à des forces positives et négatives qui envahissent notre esprit et bouleversent notre vie. La lutte pour la polarité devient évidente lorsque nous vérifions nos propres dialogues internes. Nous avons tous un Gollum qui partage notre conscience, et il est parfois inconfortable de surveiller notre pensée... et ce qu'elle révèle sur l'état de notre conscience.
Toi, à qui il est présentement interdit de respirer, et donc de vivre car le souffle est la vie, forcé que tu es de porter un masque toute la journée pour satisfaire cette oligarchie sadique qui veut juste te montrer qui est le maître afin que tu ne t'avises jamais de te rebeller,
Commentaire:
Il est évident que nous vivons sous hypnose : abrutissement médiatique/pédagogique, journaux, actus en bandeaux, « tout m'afflige et me nuit, et conspire à me nuire. » Mais cette hypnose est ancienne et explique aussi bien l'ère d'un Cromwell que celle d'un Robespierre ou d'un Luther-Calvin. L'occident est malade depuis plus longtemps que la télé... jusqu'à Gutenberg...
Je redécouvre des pages extraordinaires de Guénon en relisant Orient et Occident. Il y dénonce le caractère fictif de la notion de civilisation ; puis son caractère hallucinatoire de notre civilisation ; enfin son racisme et son intolérance permanentes (sus aux jaunes ou aux musulmans, dont les pays - voyez le classement des pays par meurtre sur Wikipédia - sont les moins violents au monde). Problème : cette anti-civilisation dont les conservateurs se repaissent, est la fois destructrice et suicidaire. Exemple : on détruit des dizaines de pays ou des styles de vie pour se faire plus vite remplacer physiquement (puisque métaphysiquement nous sommes déjà des zombis)...
J'ai été licencié par un hôpital où je travaillais depuis 9 ans sans aucun problème, pour mes opinions et leur expression, par écrit. Pour la direction de cet hôpital, cette liberté fondamentale dans une démocratie est une faute grave.
Situé dans l'Angleterre hivernale de 2027, Les Fils de l'Homme présente une dystopie ténébreuse, excroissance de nos sociétés actuelles, où les femmes sont stériles depuis 18 ans. Ici, l'État totalitaire applique la tolérance zéro, parquant les minorités stigmatisées dans des camps insalubres.
Des terroristes illuminés commettent des attentats, tandis que d'autres préfèrent acheter des kits de suicide ne voyant plus de sens à leur vie face à cette fin du monde inévitable. Oui, tous ces éléments renvoient forcément à notre présent, où les attentats, manifestations alter-mondialistes violentes, épidémies, Brexit et autres vagues migratoires deviennent de plus en plus légion.
"Qu'est-ce que j'aimerais sortir. On perd des muscles à ne pas marcher", déplore Reine Blain, une résidente d'un Ehpad, qui vit "mal" le confinement pour lutter face au coronavirus. La psychologue Élodie David tente de maintenir le lien avec l'extérieur. Elle distribue une gazette sur laquelle des photos de sa famille sont imprimées. "Je voudrais des sorties", implore Antoinette, une autre résidente.
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