Changements Terrestres
Je viens de finir de lire ce livre et tout ce que je peux dire est : Wow ! C'est un livre intense ! Pas un livre long, d'ailleurs - juste 208 pages y compris les annexes. Il est concentré et économique sans mots inutiles ou vains radotages. Chaque exemple et diversion temporaire sont cruciaux pour l'argument central qui est - accrochez-vous - Mike Baillie (oui, un vrai scientifique et pas un charlatan), dit que la Peste Noire, une des pandémies les plus mortelles dans l'histoire humaine, qui est supposée avoir tué peut-être deux tiers de toute la population de l'Europe, sans parler des millions de personnes sur toute la planète, n'était probablement pas une peste bubonique mais plutôt une mort due à une(des) comète(s) !
Oh oui ! C'est étonnant, n'est-ce pas ?
Peut-être pas. Baillie a des preuves scientifiques pour soutenir sa théorie et ses preuves soutiennent réellement - et est supportée par - ce que les gens de l'époque disaient : tremblements de terre, comètes, pluies de mort et de feu, atmosphère polluée, et mort à une échelle qui est presque inimaginable. La plupart des gens aujourd'hui ne sont pas réellement conscients de ce qui est arrivé il y a juste 660 ans. (Hummm... l'esprit curieux se demande immédiatement ce qui pourrait arriver quand nous ajoutons 666 ?! Ce pourrait être 2012...)
La Chine, où la Peste Noire est prétendue avoir pris son origine, a perdu la moitié de sa population (passant d'environ 123 millions à environ 65 millions).
Une recherche récente sur les nombreuses traces de morts européennes suggère également un chiffre de 45 à 50% de la population européenne totale qui est morte au cours d'une période de quatre années, bien que les chiffres fluctuent selon les endroits (ce qui est un problème comme nous le verrons).
Dans l'Europe méditerranéenne et en Italie, le Sud de la France et l'Espagne, où la peste dura environ quatre années consécutives, ce fut probablement plus proche de 70 à 75% de la population totale. (Aux États-Unis aujourd'hui, cela serait équivalent à réduire la population des 300 millions actuels à 75 millions en moins de quatre années. Cela se résumerait aussi à devoir enterrer ou se débarrasser d'environ 225 millions de cadavres !)
En Allemagne et en Angleterre, cela fut probablement plus proche de 20%. On croit que l'Allemagne du Nord-Est, la Bohème, la Pologne et la Hongrie ont dû moins souffrir pour quelque raison (et il y a quelques théories qui ne sont pas entièrement satisfaisantes).
Il n'y a pas d'estimations disponibles pour la Russie ou les Balkans, il semble donc qu'ils ont dû peu souffrir, s'ils ont souffert. L'Afrique a perdu approximativement 1/8e de sa population (d'environ 80 millions à 70 millions). (Ces chiffres soulignent réellement un des problèmes que Baillie soulève : la variabilité des taux de décès selon les endroits.)
Quel que soit le taux de décès à un endroit donné, la conclusion est que la Peste Noire a produit le plus grand nombre de morts que toute autre pandémie connue dans l'histoire enregistrée et, comme Baillie le fait remarquer, personne ne sait réellement ce que c'était ! Oh, bien sûr, pendant très longtemps tout le monde « savait » que c'était la peste bubonique, donc pourquoi Baillie remet en question ce fait bien établi ? Il n'est pas le seul.
Si un astéroïde était sur le point de rentrer en collision avec la Terre, serions-nous prêts à nous protéger de son impact destructeur ou serions-nous impuissants et sans défense?
La NASA, l'Agence Nationale de l'espace, a été chargée de s'occuper de la façon de protéger non seulement les États-Unis, mais le monde entier au cas où ce scénario aussi horrifiant soit-il venait à se produire. Le haut conseiller de la Maison Blanche dit que nous devons nous préparer.
C'est en dix lettres séparées, la Maison du Comité des Sciences et Technologies et le Sénat du Comité du Commerce, de la Science et de Transport, John Holdren, directeur de la politique du Bureau des sciences et technologies de la Maison Blanche ou OSTP, que les grandes lignes du plan sont élaborées : « (A) Protéger les États-Unis d'un objet proche de la Terre qui pourrait rentrer en collision avec elle; Et (B) mettre en œuvre une campagne de déviation, en consultation avec les organes internationaux, devrait être nécessaire. »
While Holdren indique qu'aucun gros astéroïde ou comète ne présente actuellement un danger pour notre planète, mais le fait qu'il y a longtemps qu'un impact destructeur eu lieu sur Terre est suffisant pour justifier les précautions à prendre pour le futur.
Cette vague de froid s'est abattue sur les provinces centrales et méridionales du Jiangxi, Hunan, Chongqing, Guizhou et Sichuan, a annoncé ce mardi le ministère chinois des Affaires civiles. Alors qu'une victime est à déplorer, des dizaines de milliers d'habitants ont dû être évacués. Des milliers de maisons sont déjà endommagées ou détruites, et un grand nombre de cultures dévastées. 142.000 hectares de surfaces cultivées seraient touchés par d'importants dégâts, et la perte économique est à ce jour estimée à quelque 1,35 milliard de yuans (154 millions d'euros). La circulation routière est elle aussi touchée par les intempéries qui ont bloqué de nombreux axes.
Une découverte qui interpelle après la mort énigmatique de milliers d'oiseaux dans les Etats américains d'Arkansas et de la Louisiane ainsi qu'à Falkoping, une petite ville du sud-ouest de la Suède. D'après le quotidien Baltimore Sun, deux millions de poissons morts ont été dénombrés dans la baie de Chesapeake. Un décès imputé, selon Dawn Stoltzfus, porte-parole du département de l'Environnement de l'Etat du Maryland, à une crise d'hypothermie ("cold-water stress", dans le texte) consécutive à un brutal bouleversement thermique. D'après D. Stoltzfus, des cas similaires furent relevés en 1976 et 1980.
Cette fois, il semble que le froid pourrait être en cause. On sait que les dernières semaines ont été particulièrement froides dans cette région du globe alors que la Grande-Bretagne a connu son mois de décembre le plus frisquet depuis une centaine d'années.
Selon les autorités locales, des événements semblables se sont produits au même endroit il y a deux ans et il y a cinq ans également.
Une expertise a tout de même été demandée pour tenter de tirer au clair toute cette affaire.
"Nous avons pris une décision et elle est très claire. On ne peut pas mettre nos agents en danger, en amenant des vivres (dans ces maisons)", a déclaré Brad Carter, maire de Rockhampton, une ville rurale et minière du nord-est de l'Australie, submergée par les inondations.
Depuis une cinquantaine d'année, le pétrole brut exploité dans le delta du Niger par des multinationales comme Shell se déverse librement et massivement dans cette région. Conséquence d'une surexploitation pétrolière incontrôlée, cette pollution a été estimée à 1,5 million de tonnes de brut sur cette période, issue de fuites de plateformes offshore en service ou abandonnées.
Suite à la rupture d'un oléoduc d'ExxonMobil le 1er mai 2010, 4 millions de litres de brut ont été déversés dans le delta du Niger pendant une semaine avant que la fuite soit colmatée. Cette pollution a déversé d'épaisses galettes de pétrole le long des côtes, générant des dégâts majeurs pour des habitants de côtes touchées, déjà sans ressource. Un accident parmi des dizaines d'autres qui enfoncent chaque jour encore un peu plus une population qui ne profite pas de cette faramineuse richesse, mais qui doit la subir quotidiennement.
Horrifiés, des amoureux de la nature ont vu la rivière Goldstream, située dans le Parc provincial Goldstream, tourner au vert fluo en fin de journée mercredi, le 29 décembre 2010.
La coloration verte fluorescente a semblé commencer à apparaître à environ 500 mètres sur le côté de de l'entrée du parc et en une heure, la substance coulait dans l'estuaire écologiquement sensible.