Santé et Bien-être
Au moment où le salon de l'agriculture ouvre ses portes, c'est l'occasion de faire le point sur ce que nous proposent nos ingénieux commerçants.
Lorsque vous allez acheter votre steack quotidien, pour ceux qui le peuvent encore, des surprises se préparent.
Tout le monde connaît (?) la pratique de la « remballe » qui consiste à enlever les parties périmées d'un morceau de viande afin de redonner à l'entrecôte une seconde jeunesse, et en broyant les parties enlevées, votre boucher « remballeur » en fait d'éventuelles merguez bien épicées. vidéo
Mais il y a pire.
Certains bouchers peu scrupuleux n'hésitent pas à nettoyer la viande avariée avec de l'acide sulfurique, tel ce marseillais mis en examen en 2007. lien
Publiée dans l'Academy of Management Journal, cette étude a porté sur un groupe de chauffeurs de bus. Toute la journée, ils doivent se forcer à sourire, rester polis avec les usagers, mais aussi faire preuve de diplomatie. Les chercheurs ont alors observé les comportements des chauffeurs lorsqu'ils affichaient une bonne humeur de façade, puis lorsque leurs sourires étaient sincères, accompagnant des pensées positives.
L'excès de manganèse dans l'eau potable serait-il dangereux pour le quotient intellectuel (QI) de nos bambins ? Selon un travail mené au Québec, à partir d'un certain seuil en tout cas, il y aurait une relation directe entre la présence de ce métal dans l'eau potable et certains troubles du développement intellectuel.
Maryse Bouchard de l'Université de Montréal rappelle qu'« à forte dose, le manganèse devient neurotoxique et peut entraîner des troubles évoquant la maladie de Parkinson : problèmes moteurs, déficit de mémoire, signes de dépression... »
Le Dr Nora Volkow, une chercheuse aux Instituts nationaux américains de la Santé (NIH), et son équipe ont mené cette étude du 1er janvier au 31 décembre 2009 avec 47 participants pour examiner les effets des téléphones portables sur les activités cérébrales dans une zone donnée du cerveau humain. Les téléphones ont été placés tour à tour sur leur oreille droite et gauche pendant que leur cerveau était observé par un scanner, à travers une caméra tomographique à positrons.
Avant sa naissance, dans les conditions stériles du ventre de sa mère, un foetus n'est normalement exposé à aucun agent infectieux. Les scientifiques pensaient donc que ses défenses immunitaires ne se constituaient qu'à compter du début de sa vie ex utero, au contact des germes - bactéries, virus, champignons... - de l'environnement. Or, des chercheurs de l'Institut Pasteur et du CNRS (unité Développement des tissus lymphoïdes) viennent de montrer, chez l'animal, que le fœtus possède en réalité un arsenal immunitaire qui s'exprime fortement et spontanément, bien avant la naissance.
Cette étude révèle en particulier que les enfants qui sont nés petits, mais avec des placentas relativement volumineux au regard de leur taille, présentent plus d'activité du côté droit de leur cerveau que du côté gauche. Et c'est justement cette structure de l'activité cérébrale qui est liée aux troubles de l'humeur tels que la dépression. Cette étude contribue ainsi à un nombre déjà important de données prouvant que des environnements négatifs subis par les fœtus pendant la grossesse -traduits par une plus petite taille de naissance et une plus grande taille relative du placenta- peuvent être facteurs de changements à long terme dans le fonctionnement du cerveau.
Dans une expérience, ils ont appliqué de la chaleur aux jambes de 22 personnes, en leur demandant d'évaluer l'intensité du mal sur une échelle de 1 à 100. L'évaluation moyenne était de 66.
Par intraveineuse, chaque participant recevait à son insu un puissant analgésique, le rémifentanil. Dans les minutes qui ont suivi, tous disaient être soulagés par le traitement, l'évaluation passant à 55.
On a ensuite dit aux participants qu'on allait commencer à leur administrer le médicament, sans apporter de changement à la dose qui leur était déjà administrée. Leur évaluation est descendue à 39.
Finalement, on a dit aux participants qu'on avait cessé de leur administrer le médicament et qu'ils pourraient ressentir davantage la douleur. En réalité, le médicament leur était toujours donné selon la même dose. L'évaluation de l'intensité de la douleur est remontée à 64, presque autant qu'au début de l'expérience.
L'étude des échantillons de poussières dans les moquettes et tapis de 89 maisons en Californie a révélé la présence de résidus de pesticides agricoles utilisés dans un rayon allant jusqu'à 1.250 mètres autour de ces résidences durant les 730 jours précédents, selon une étude publiée jeudi par la revue Environmental Health Perspectives des Instituts nationaux de santé américains.
Jusqu'ici, les chercheurs n'avaient découvert ce genre de résidus que dans un rayon de 750 m autour des habitations. De plus, l'étude a montré que l'utilisation domestique ou professionnelle des pesticides par les habitants des maisons testées n'avait qu'un impact mineur sur la variabilité de la concentration des pesticides retrouvés.