Traduction copyleft de Pétrus Lombard pour Alter InfoDans une démonstration choquante de totale corruption et ignorance, le comité consultatif d'un Centre de contrôle des maladies (CDC) zunien a déclaré officiellement que les jeunes garçons et les hommes entre 11 et 21 ans devraient être vaccinés contre le papillomavirus humain (VPH), le virus infectieux ayant soi-disant un rapport avec le cancer du col de l'utérus chez la femme.
En dépit du fait que les hommes n'ont pas même de col de l'utérus, 12 des 14 membres du comité du CDC ont décidé que vacciner dès neuf ans les jeunes garçons contre le virus est toujours une bonne idée. Et, lors d'un vote séparé, la majorité des membres du comité a en plus décidé que les hommes jusqu'à 26 ans, aussi bien, devraient être vaccinés contre le VPH, ce qui englobe pratiquement tous les jeunes hommes.
Le CDC a fondé cette décision sur sa croyance selon laquelle le Gardasil de Merck & Co. et le Cervarix de GlaxoSmithKline (GSK), les deux vaccins approuvés pour le VPH, aident aussi à prévenir les verrues génitales et divers types de cancers chez les hommes. Pourtant, ces prétentions n'ont jamais réellement été démontrées. Les études ayant servi de témoignage sont biaisées, et toutes étaient financées par des fabricants de vaccins.
Il n'existe en réalité aucune preuve médicale solide montrant que soit le Gardasil, soit le Cervarix, empêche l'infection du VPH, le cancer ou la transmission du VPH des hommes vers les femmes, comme l'affirment les partisans du vaccin.
Commentaire: "Nos aïeux étaient de bien meilleurs parents que nous ne le sommes aujourd'hui", affirme la très controversée [controversée = qui ne va pas dans le sen de la "science" officielle - NdE] psychologue américaine Darcia Narvaez après ses trois essais consacrés à la comparaison entre les parents d'aujourd'hui et ceux de la préhistoire.
Les enfants parqués ça et là
"Nos ancêtres avaient une bien meilleure idée de ce qu'est être parent que ce que nous en avons au 21e siècle. Nos pratiques actuelles, de laisser les bébés pleurer, de les caser dans des poussettes ou des sièges auto et de ne pas les faire promener ont engendré une brisure dans le coeur de générations entières", argumente Darcia Narvaez.
Epidémie de crainte
"Nos jeunes sont envahis par une épidémie de peurs. Ils ne reçoivent pas les soins dont ils ont besoin, ils manquent d'affection, deviennent égoïstes. Ils témoignent moins d'empathie que ceux qui avaient jadis grandi dans des familles avec une vraie chaleur humaine".
Plus de câlins
"Dans les groupes de chasseurs ou de cueilleurs d'autrefois, les enfants restaient dans les bras et portés où que soient les parents, ils étaient donc immédiatement réconfortés en cas de chagrin, profitaient de l'allaitement maternel des années durant et passaient le plus clair de leur temps à l'extérieur. Sans compter les bons soins prodigués par la famille élargie, la communauté, soit d'autres papas et mamans qui s'occupaient de l'enfant, et avaient une bonne influence sur la conscience parentale. Les enfants n'étaient jamais battus, mais soutenus et cajolés grâce à l'entourage de la maman".
Moralité
"Notre sens moral est formé depuis l'enfance. Mais les parents du 21e siècle gâchent cela pour assouvir leurs envies, répondre à leur bien-être, atteindre leurs buts. La chaleur humaine qu'offraient nos aïeux à leurs enfants avaient le mérite d'apaiser l'esprit du bébé au moment où sa personnalité et son appréhension du monde se forment".
Hyperactifs
"Des études démontrent maintenant que les enfants qui ne jouent pas assez à l'extérieur développent des problèmes d'hyperactivité et mentaux. Le bien-être de l'enfant a dégringolé aux Etats-Unis ces cinquante dernières années", explique encore la psychologue.
Source : 7sur7.be