Santé et Bien-être
Plus tôt ce mois-ci (mars 2011), les autorités japonaises ont ordonné aux médecins de cesser d'utiliser les vaccins contre le pneumocoque et le Hib (méningite, pneumonie et autres infections), car quatre enfants sont morts après avoir été piqués. Pourtant, la véritable information n'a jamais été rapportée : plus de 2.000 bébés sont morts en Zunie après vaccination contre ces mêmes maladies, mais les autorités refusent d'avertir les parents et d'arrêter la production. Une enquête sécuritaire est essentielle pour déterminer si un rappel (annulation) des piqûres dangereuses peut être nécessaire pour protéger d'autres bébés d'infirmités et de la mort.
Selon Paul Offit, porte-parole de l'industrie du vaccin, « le ministère japonais de la Santé a été stupide de suspendre les programmes contre le Hib et le pneumocoque. » Offit pense que les décès sont probablement dus au syndrome de mort subite du nourrisson, ou à des conditions sous-jacentes, ou à une autre cause. Bref, à tout, sauf aux vaccins. Souvent, les enfants tombent malades et meurent par hasard.
Comme Offit, William Schaffner, président du département de médecine à la Vanderbilt University School of Medicine, pense que les décès sont « probablement... une coïncidence. » Ironie du sort, se pourrait-il aussi qu'il y ait une coïncidence dans le fait que Schaffner reçoive de l'argent des fabricants de vaccins -- dont les actions sont négociées à la baisse depuis l'annonce du Japon -- pour conseil et faire de la communication sur les vaccins. Offit et Schaffner n'ont jamais vu les enfants morts, ni effectué leur autopsie, de sorte que leurs évaluations concernant la cause réelle de leur mort ne sont pas étayées par la science.
Les barres de combustible nucléaire à l'air libre dans les piscines asséchées et fissurées pourraient relâcher bientôt 130 tonnes d'uranium directement dans l'environnement
Pendant que la plupart des grands médias semblent se désintéresser de la débâcle nucléaire imminente de Fukushima Daiichi, la Nuclear Regulatory Commission (NRC, Commission de contrôle du nucléaire) a publié dernièrement des nouvelles effrayantes sur la piscine des barres de combustible usagé désormais vide (asséchée) du réacteur 4 de la centrale. Selon la NRC, une fissure ou un trou dans la piscine empêche toute tentative de la remplir et, puisqu'elle ne dispose pas des mêmes appareils de confinement que les vrais réacteurs, un incendie ou une explosion pourrait libérer directement dans l'environnement les 130 tonnes d'uranium qu'elle contient.
Mercredi, la NRC a dit au Sous-comité sur l'énergie et le commerce de la Chambre zunienne, que l'unité 4 marche totalement à sec. Et, sans eau dans la piscine, il n'existe aucun moyen de refroidir les milliers de barres de combustible irradié pour les empêcher de prendre feu, d'exploser, et de libérer des tonnes d'uranium toxique directement dans l'atmosphère
«L'épidémie silencieuse du XXIe siècle.» L'expression choisie par Serge Halimi, coauteur du Livre blanc du diabète présenté ce jeudi, n'aurait pu être mieux choisie. La France, qui en une décennie a vu son taux de prévalence quasiment doubler, compte 3,5 millions de malades. Un chiffre que l'on ne pensait atteindre qu'en 2016. En un quart de siècle, la maladie a progressivement franchi les frontières des pays riches pour atteindre tous les pays du monde: Moyen-Orient, Maghreb et même Afrique noire. A eux seuls, des pays comme la Chine ou l'Inde comptabilisent chacun 60 à 70 millions de diabétiques.
C'était dans les tuyaux depuis deux ans, cette fois ca y est, une directive européenne va très sérieusement réguler les plantes et autres herbes millénaires qui ont servi à tous nos ancêtres, et cela juste pour le bénéfice de quelques conglomérats pharmaceutiques. Ben oui, les bonnes recettes de grand-mère qui fonctionnent depuis des millénaires, et pour pas cher, doivent disparaître afin de forcer les gens à se soigner uniquement avec des pilules fabriquées par les labos... Le vote est prévu pour le 30 avril prochain, "interdisant un grand nombre de plantes utilisées en médecine naturelle".
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Le déroulement des événements du réacteur nucléaire endommagé au Japon, augmente l'inquiétude aux États-Unis. Un scénario catastrophe de fusion nucléaire suivi par un important nuage de particules radioactives suivant le Jet Stream vers les États-Unis.
Les vents dominants du Jet Stream impacteraient les USA de Los Angeles jusqu'en Alaska en incluant Hawaï. La pollution radioactive atteindraient les USA en 36 heures. Il suivrait ensuite le même trajet typique du Jet Stream que vous voyez tous les jours à la météo. Bien que nous espérons tous, que ce n'est pas le cas, et que plusieurs experts débattent de l'éventuelle solution sanitaire à adopter au cas où, il n'est jamais inutile de comprendre le sujet.
Plus de 12 000 enfants de 5, 7, 11, et 14 ans ont participé à cette étude. Les chercheurs ont pris en compte leurs résultats scolaires en lecture, en écriture et en mathématiques et ont découvert qu'il y avait une différence significative entre ceux qui avaient été allaités et ceux qui ne l'avaient pas été.

Plusieurs rivières françaises, comme le Rhône, sont touchés par la pollution aux PCB, qui atteint aussi des zones côtières CHAMUSSY/SIPA
Une étude qui a de quoi plomber l'ambiance: selon l'Institut national de veille sanitaire (INVS), les Français ont quatre fois plus de PCB et trois fois plus de pesticides dans le sang que les Américains.
Parmi ces substances, le paradichlorobenzène, présent dans les antimites ou les désodorisants pour toilettes, et les pyréthrinoïdes, classés probablement cancérigènes aux Etats-Unis, ont été retrouvés à des taux élevés dans l'organisme des Français: l'exposition au paradichlorobenzène est dix fois plus importante en France qu'en Allemagne et 80% des échantillons étudiés présentaient des résidus de pyréthrinoïdes. «Ils sont largement utilisés dans l'agriculture, l'horticulture, les antipuces pour les animaux domestiques et les insecticides d'intérieur, explique Nadine Fréry, épidémiologiste à l'INVS. A forte dose, les pyréthrinoïdes jouent sur le système nerveux et entraînent des nausées, des vertiges ou des contractions musculaires.»
Les chercheurs suggèrent que les microglies, qui sont des cellules immunitaires retrouvées dans le système nerveux, jouent un rôle majeur dans les maladies neurodégénératives. Une activation excessive de ces cellules dans le cerveau peut causer une inflammation résultant en la destruction des neurones. D'après les chercheurs, le blocage de ces enzymes, appelées caspases, diminuerait l'activation des microglies et donc l'inflammation du cerveau.